cette truie a un fort potentiel en plus elle doit manger la merde pour survivre car son organisme n’a plus les bactéries nécessaire plus simple que la transplantation fécale non !
j’aime quand la truie se présente en position du muezzin
la truie accepte sa nature elle est prête à sa fécondation car c’est une femelle
ce qui pendouille c’est un clitoris d’objet ou une nouille
le témoignage du léchage par l’objet de sa chienne et de son cul par sa chienne
Petit, j’habitais à la campagne.
À l’époque de mes premières excitations sexuelles, je devais avoir 10 ou 11 ans.
À côté de chez nous il y a avait une autre maison, les deux habitations n’étaient seulement séparées que par un grillage.
Je connaissais les voisins, deux garçons, un du même âge que moi, l’autre un peu plus âgés.Nous passions beaucoup de temps dans le jardin et discutions souvent à travers le grillage.
Ils avaient trois ou quatre chiens.Je ne me souviens plus de leurs races mais dans mon souvenir ils étaient de grande de taille.
Un jour, je vois un des deux garçon faisant semblant d’enculer le chien, son frère le regardait en riant. J’ai été fasciné par ce spectacle.
Moi, je n’avais pas de chien mais une chienne, croisement entre berger allemand et chien-loup.
Un jour alors que je me trouvais dans le jardin, j’ai baissé mon pantalon, j’ai appelé ma chienne, et je lui ai fait lécher ma nouille.
Je ne bandais pas mais j’ai trouvé cela très bon, sentir la langue râpeuse sur ma nouille.
Je ne sais pas pourquoi mais j’en ai parlé à mon frère, en lui disant que je m’était fait “lécher le kiki“ par notre chienne, je trouvais cela naturel, je crois que je ne le reliais pas vraiment au sexe.
Bien entendu mon frère à prévenu mes parents et je me suis fait bien engueuler : “cela ne se fait pas s’est sale!”. Je n’ai pas compris la réaction, juste qu’il y avait un interdit, et je n’ai pas recommencé.
Plusieurs années après, je devais avoir 16 ans, mais parents ayant divorcés, j’allais chez mon père un week-end sur deux. C’est mon père qui avait gardé le chien, car nous nous avions déménagés dans un appartement.
Donc vers l’âge de 16 ans, âge où je passais mes journées à me branler, je repensais souvent à l’histoire du “léchage du kiki”. Trois ou quatre fois, quand je me suis retrouvé seul à la maison, mon père était soit dans le jardin, soit sorti faire des courses, je me suis enduis la bite et la chatte de Nutella pour me faire lécher la nouille à nouveau.
Je me mettais d’abord debout devant elle, puis elle bouffait tout le Nutella sur ma nouille, je sentais sa langue sur mon gland.
Après, je me mettais à quatre pattes, la chatte bien ouverte, pour qu’elle vienne fouiller mon cul. Je prenais beaucoup de plaisir.
Au bout d’un moment, elle repartait dans son coin. Alors, je la faisais s’allonger de tout son long, je commençais par lui caresser le ventre et les tétines, puis je rapprochais ma gueule de son museau et je lui léchais les babine provocant bien évidemment sur elle une réaction et me léchant directement la bouche.
Je sentais sa langue fouiller ma gueule, cela m’excitait beaucoup.
En même temps, je descendais ma main sur sa vulve, un petit triangle rose boursouflé, et je la caressais pour agrandir le trou, au fur et à mesure il y a avait comme une sorte de liquide qui la lubrifiait et qui faisait que la vulve s’ouvrait et devenait de plus en plus élastique, la vulve bougeait comme un anus.
Alors, je mettais mon doigt, sans l’enfoncer, j’aimais ce contact avec la vulve et regarder grossir.
Pour terminer, une fois que j’étais bien excité, je la plaçais sur le dos, me mettais face à sa croupe, levais et écartais ses deux pattes arrières pour poser ma langue sur sa vulve, je la léchais et la gobais.
C’était doux, et à la fois le contact me donnait des frissons dans tout le corps.
Cette expérience a contribué à révéler ma vraie nature, ma condition profonde de sous race truie.