La première fois que j’ai gouté à la merde, c’était avec mon ex-copain. Nous étions ensemble depuis 6 ans.
Il était typé espagnol, poilu, assez viril.
J’adorais lui lécher le trou du cul, me mettre face à sa raie ou que lui mette son trou au-dessus de ma gueule, j’aimais voir son trou poilu et y mettre ma langue. Je crois que je préférais ça à lui sucer la bite, j’avais le sentiment d’être humilié quand je léchais son cul. Parfois, je mettais la langue et essayais d’aller au plus profond comme un affamé. Je crois qu’il comprenait ce que je voulais mais c’est moi qui est proposé l’idée un jour : je voulais qu’il me chie sur le visage. Je voulais le voir accroupi au-dessus de ma gueule et voir le tbronze sortir de son cul et se déposer sur ma gueule. Il a accepté,m’a demandé si cela ne me dégoûtait pas, j’ai répondu que non. Je crois que cela l’ excitait aussi.
Nous nous sommes mis à poil, moi allongeais sur le sol de la salle de bain et lui àa commencé à s’accroupir sur ma gueule. Je voyais son trou du cul poilu s’approcher et je bandais comme une truie. Il avait les fesses bien écartés au-dessus de moi (j’adore cette vision) et j’ai commencé à lui lécher le trou. Je voyais sur son visage qu’il poussait pour faire sortir la merde et je voyais son anus entrer et sortir. À un moment, alors qu’il s’était légèrement relevé il m’a dit “rapproche ta gueule, je vais péter.” Ces paroles m’ont presque faites jouir. Puis, il s’est remis à l’aise, le trou sur ma bouche et a commencé à pousser. Son trou s’ouvrait et je voyais un bout de merde sortir : “tu vois la merde sortir, ça te plaît?”. Je répondais avec un sourire. Il s’est relevé légèrement car il voulait voir la merde se poser sur mon visage. Il me regardait avec un petit sourire. Une fois la merde sur le visage, je l’ai prise (elle était assez dure) et j’ai commencé à l’ étaler sur mon torse. Lui était debout, se branlait et me regardait J’ai léché ma main où il y avait un peu de merde. Il a remis son trou poli devant ma gueule pour que je le lèche à nouveau, sûrement pour le nettoyer. Puis, il s’est à nous eau relevé face à moi et m’a giclé sur le visage.
Nous n’avons jamais renouvelé l’expérience malgré l’excitation.
Il m’a fait comprendre ma position de sous merde et de truie même s’il n’en a pas profité. Je rêve souvent encore de son cul poilu.
La truie accepte sa nature d animal