Les anthropologues ont fait il y a une trentaine d’année une découverte tellement hallucinantes, que les états leurs ont demandé de garder celle-ci secrète tout en poursuivant leurs études pour la confirmer. L’Organisation des Nations Unies a publié les résultats il y a dix ans.
Grâce aux nouvelles découvertes sur le génome, l’ADN et la façon de les rechercher, les chercheurs ont découvert que l’ADN de l’australopithèque comportait un gène différent de celui de l’Homo sapiens. Gène qui les distingue donc l’un de l’autre. L’un malgré des caractéristiques extérieures semblables est bien inférieure à l’autre. L’un est animal, l’autre humain. Et la chose extraordinaire qu’ils ont découvert ensuite est que malgré les croyances de tous les chercheurs, cette espèce n’est pas disparue et qu’elle se reproduit beaucoup plus rapidement que notre espèce humaine. Ceci mettant en péril même notre existence, car avec les années et les croisements entre les deux espèces, les différences physiques ont totalement disparu. Ils ont pu cependant, après de nombreuses études sur des centaines de milliers d’individus, déterminer ce qui nous différencie d’eux, et cela, dans tous les cas.
Les premières études se sont effectuées sur les militaires de tous les pays, puis sur la population médicale et enfin sur les fonctionnaires (populations pour lesquels il était plus facile de demander le secret). Il en est résulté qu’aucun de ceux qui ont été identifié comme australopithèque n’avait une haute fonction ou responsabilité : aucun officier et seulement des caporaux. Dans le corps médical aucun chirurgien, médecin, ni d’infirmier ou infirmière avec responsabilité. Dans l’administration que des subalternes, bien sur aucun ministre ou président. Ils ont conclu que cette espèce est inférieure à la nôtre. Les scientifiques se sont testés eux même et constaté les mêmes conclusions : Ils étaient tous Homo sapiens parmi les responsables des recherches et certains australopithèques parmi les derniers de leurs collaborateurs.
Après, ils ont poussé leur recherche sur les différences de comportement des deux espèces et surprise : tous ceux testé australopithèques avaient tous des attitudes de soumission, se sentaient toujours inférieur. Tandis que les testés Homo sapiens à part quelques unités et ceux-ci par choix personnel aiment commander, diriger, se faire obéir, dominer. Ils ont présenté leurs conclusions, secrètement aux chefs d’état, qui était tous des homos sapiens. Ayant constaté la diminution des personnes pouvant accéder à des hautes fonctions ou responsabilité que compte tenu du taux de fécondité des australopithèques, que ceux-ci s’unissant parfois aux homo-sapiens et que le gène qui les différencie de nous se retrouvent alors dans leurs progénitures qu’il est temps de protéger notre espèce par rapport aux êtres inférieurs que sont les descendants des australopithèques.
Une commission fut alors créée pour proposer des solutions aux gouvernants de la planète pour endiguer cette invasion. Après un an de travail la commission a rendu ses propositions dont la plus parts ont été retenues à l’unanimité par les états qui les ont fait appliquer immédiatement et conjointement sur la terre entière. On ne pouvait éliminer cette espèce comme ont éradique des insectes nuisibles, car il était nécessaire d’avoir de la main d’œuvre, des petites mains, des serviteurs aussi il a été décidé principalement que :
– Toutes les populations qui n’avaient pas été testées jusqu’à présent devaient l’être.
– Tout individu testé australopithèque serait bien entendu destitué de la condition humaine, de tous ses droits, identifié dans un fichier national, tatoué à l’arrière du cou. Ceux-ci seront appelés esclaves et n’auront plus aucun droit.
– Dans les familles mixtes, les Humains doivent rompre sans aucune procédure le lien qui les unissent aux esclaves, mari ou femme et enfants. Ils peuvent les conserver à leur service, mais aussi les vendre, les céder, les louer ou les confier à des structures de dressage.
– Les esclaves sont exclus des écoles, collèges, lycées et universités. Une formation de base pourra leur être donnée en fonction de leur utilisation.
– Pour endiguer leur prolifération, toutes reproductions entre eux seront soumises à autorisation ou décision de leurs maîtres en particulier pour l’élevage.
– Les relations entre Hommes et esclaves sont soumises aux règles suivantes : L’Homme peut toujours utiliser l’esclave pour son plaisir. Les relations homos ou lesbiennes sont bien entendu autorisées selon la volonté de l’Homme. Par contre les relations hétérosexuelles, pour éviter tous mélanges d’espèces, sont interdites où alors avec des esclaves castrés pour les mâles ou avoir subie une ovariectomie pour les femelles.
– En cas de rébellion caractérisé au seul jugement du propriétaire, l’esclave devra être puni selon sa faute. Le Maître ayant droit de vie ou de mort sur ses esclaves.
– Les esclaves, considérés comme des objets, donc moins que les animaux, porterons les vêtements, objets, selon la décision de leur Maître. La nudité totale étant leur tenue ordinaire.
– Des centres d’élevage, de dressage pourront être ouverts. Les vétérinaires sont habilités à soigner, mutiler, euthanasier ou améliorer le physique des esclaves.
– Des établissements de plaisir pourront ouvrir ainsi que des lieux de divertissements en utilisant des esclaves de tous sexes et de tous âges.