Cela ne fait même pas encore 12 heures qu’Axel et Alain sont entrés dans la vie de Vincent que moi, le narrateur, me rend déjà compte qu’Axel, le grand prédateur, ne perd pas une seconde pour piéger tout le monde et les mettre tous à sa merci. Bien sûr il a infligé une fameuse correction à son frère ; d’abord une bonne fessée à la main puis 20 coups de ceinture et ensuite après l’avoir mis au coin pour qu’il se calme et arrête de chialer il a obligé son puni de frère de le sucer à fond. Et c’est seulement après cette bonne jouissance qu’Axel appelle Vincent. Pendant qu’il s’amène, Axel a tout fait pour qu’Alain bande un maximum et, avant de ‘louer’ son frère à Vincent il tient à voir jusqu’où va se baisser ce dernier pour se payer une heure de bon temps. « Tu vois, mon frère et moi sommes encore toujours à poil et en plus, comme tu peux le constater, j’ai chauffé mon frérot à blanc » dit-il en caressant les couilles de son frère et poursuit « A toi maintenant de te foutre à poil pour que je puisse juger à qui j’offre mon frère et jauger si tu mérites mon frère ». Et Vincent d’ôter ses chaussures, chaussettes, polo, jeans et boxer en moins de deux et de présenter à Axel et Alain son corps un peut-être un tant soi peu grassouillet (-note du narrateur– cela a bien changé depuis) et sa belle bite bandante. Alors en maître magnanime, axel lance « Bon, vous avez maintenant une bonne heure pour faire connaissance si je puis dire mais avant cela, Alain, comme d’habitude, tu viendras me remercier pour mes largesses et toi Vincent tu en feras autant. » Et Alain de se jeter à genoux devant son frère et de lui embrasser les pieds en disant très distinctement « Merci Maître ». Vincent à l’air très surpris mais comme il a franchement envie de tirer son coup, à son tour il se met à genoux devant Axel, lui embrasse les pieds et ajoute aussi un « Merci Maître » plutôt murmuré. Alors, sans ménagement, Axel attrape sa tignasse blonde et mettant son visage à moins de trois centimètres de sa bouche, il lui dit « dorénavant tu me remercieras d’une façon plus audible. » Et obligeant Vincent maintenant à le regarder au fonds des yeux il ajoute « Allez faire vos galipettes dans la chambre d’Alain ; je reste dans la tienne pour me choisir les 50 frusques que tu me dois et 20 autres pour mon frangin. Tu n’y vois pas d’inconvénient ? » Et Vincent toujours empoigné par Axel et tenant compte de sa remarque laisse échapper « Non Maître, merci Maître.» Et quand enfin, Axel repousse Vincent et lui permet de se relever il quitte sa chambre en compagnie d’Alain.
Axel, lui, a plus d’une idée vicieuse derrière la tête pour l’instant. Il commence par se choisir un short et a vite fait d’enfiler un Dolce & Gabana tout blanc ; lui, Maître ne va quand même pas rester à poil ! Puis il laisse vagabonder son esprit. Comme vont les choses, il sait déjà que Vincent ne fait pas le poids malgré ses 18 ans. C’est un fils de riche, il n’a jamais dû se battre pour quoi que ce soit et il sent très bien que pour la fin des vacances scolaires il aura un contrôle presque complet sur lui.
Alors, plutôt que de se choisir des vêtements, Axel commence à fouiller systématiquement toute la chambre à la recherche de ce qui lui permettra d’avoir Vincent sous son emprise. Et il commence par le froc que Vincent a ôté si précipitamment et y trouve un portable qu’il met en poche et un portefeuille qu’il vide de son contenu : la pêche fut bonne : une carte bancaire, une carte de crédit, deux cents euro, une carte d’un vidéo club, et des cartes de membres de différents clubs de sport : tennis, golf et fitness. Dans sa table de chevet, rien que des mouchoirs en papier, du lubrifiant et quelques capotes. Mais c’est dans le meuble bureau sur lequel se trouvait l’ordinateur qu’il fait les meilleures découvertes. Sous une pile de livre de cul, il découvre une liste avec un nombre incroyable d’adresses du web accompagnés d’un identifiant et des mots de passe. Il est très satisfait de son butin et comme il se met à vider la garde-robe de Vincent pour se choisir ses frusques il met la main sur un coffre genre coffre à outil et y découvre les jouets sexuels de Vincent : godes, plugs, menottes, cordes, pinces, fouet, cravache, bougies. « Le petit vicieux…. Mais j’aime ça » se dit-il tout en entretenant avec sa main la subite érection que le contenu du coffre a fait naître chez lui.
Ensuite, Axel a vite fait de trouver un grand sac où il fourre d’abord toutes ses trouvailles, toutes ses confiscations comme il appelle cela dans son jargon, ensuite il y fourre les habits qu’il a sélectionnés. Il ne les a pas comptés mais quand il a fini de sélectionner ses frusques et ceux destinés à son frère, il ne reste plus que dans la garde-robe que 3 vestes horribles, 3 jeans, 2 shorts, 1 pantalon, 5 t-shirt, 5 polos et deux paires de shoes. Et en définitive, en plus du sac quatre valises sont nécessaires pour emporter son butin. Avant que l’heure ne soit, Axel a tout emporté dans sa chambre…
Et puis, quand l’heure est venue, en propriétaire convaincu, il entre sans frapper dans la chambre d’Alain qui se fait à cet instant lécher le cul par Vincent et clame « Bon Vincent, c’est terminé, l’heure est passée. Tu as tout juste le temps de prendre ta douche et d’être prêt pour passer à table avec ton père. Quant à toi Alain tu descends prendre les frusques que j’ai sélectionnées pour toi et qui sont sur le lit de Vincent, ensuite tu prends une douche en quatrième vitesse et tu me rejoins dans ma chambre. Tous deux, exécution » Et les deux amants, malgré leur trique tendue entre les jambes de dire respectueusement « oui Maître » et de disparaître. Axel n’en revient pas et cela l’excite fortement et il murmure « si cela continue ainsi il sera totalement à moi avant un mois. Et je serai fixé dès ce soir ! »
Comme ils sont tous trois pressés par le temps, rien ne transparaît au souper. C’est la cuisinière qui a tout préparé. Le repas est simple et bon. Et après le souper, à la surprise de Vincent, son père annonce qu’il doit s’absenter quelques jours, une petite semaine. Vincent est surpris parce que ce généralement son père l’averti mais cette fois-ci apparemment il s’agit d’une affaire importante et urgence qui ne peut attendre.
Il demande aux garçons s’ils pourront se débrouiller et si la cuisinière doit venir. Mais aussi bien Alain – ce qui est tout à fait normal – que Vincent regardent Axel et attendent sa réponse. « Je pense monsieur, que nous nous débrouillerons à trois, n’est ce pas Vincent » Qui fait oui de la tête et ajoute : « ne t’en fait pas, père, mes frères et moi, on s’occupera de tout et quand tu reviendras la maison sera en ordre et nous aurons mangé à notre faim ». « Je pars demain de bonne heure mais j’espère bien encore pouvoir prendre le petit déjeuner avec vous ». Et les trois garçons de répondre « avec plaisir »
En remontant vers les chambres, Axel s’attend à une réaction de Vincent et tout en grimpant les escaliers elle arrive : « Axel, on avait convenu que tu me prennes 50 pièces vestimentaires et 20 pour Alain en plus de ma chaîne stéréo et mon ordi pour que ton frère et moi puissions passer une heure et ensuite toute la nuit ensemble. Mais en définitive tu m’as taxé de toutes mes fringues et je n’ai même plus de boxer et chaussettes à me mettre et les jeans, je n’entre plus dedans. Je ne suis vraiment pas content. Rends-moi ce que tu as pris en trop !» Alors Axel, se retourne brusquement vers Vincent, lui envoie deux gifles à la retourne, l’attrape par la tignasse et l’oblige à le suivre dans sa chambre qu’il ferme à double tour. Il tient encore toujours Vincent par les cheveux et quand il s’assied sur son lit il oblige Vincent à se coucher en travers de ses genoux. Axel n’a pas dit un mot et Vincent non plus à part quelques ‘aïe, ou ouille’. Et sans perdre une seconde, Axel commence à fesser Vincent qui ne porte qu’un mince short. Le fessé est surpris et tente de se débattre mais Axel le tient fermement et après cinq minutes de ce tarif là, Vincent le supplie déjà d’arrêter mais ce n’est qu’après cinq autres minutes qu’Axel s’arrête. Et après l’avoir obligé de se mettre à genoux devant lui, Axel prend enfin la parole « Pour commencer, je pensais que tu avais compris que dès que nous somme seuls tous les trois tu m’appelles maître, si je t’ai taxé de tous tes frusques c’est pour plus d’une raison et la première est qu’en tant que ton maître je peux tout et toi tu ne peux rien. Ensuite, j’ai trouvé entre tes affaires quelques jouets que si je les montrais à ton père tu passerais un mauvais quart d’heure ou si tes copains les voyaient tu serais rejeté comme étant un malade. Moi, je les ai confisqués. Enfin, je t’avais laissé quelques vêtements et ce n’est pas de ma faute que tu t’es laissé gonfler. Fais plus de sport, plus de fitness… tu as quand même un abonnement et tu rentreras à nouveau dans tes culottes. Et pour ce qui est des slips et des chaussettes, Alain ne t’as rien dit ? Ceux qui m’appellent leur maître n’ont pas droit à porter des caleçons ni des chaussettes à la maison. Aussi, voici ma sentence. Mais bien sûr, tu peux toujours refuser mon autorité, te rebeller, faire appel à ton paternel. Moi, j’attends. Mets-toi à genoux, dans le coin, les mains sur la tête et prends le temps de la réflexion. Je te donne cinq minutes, le temps de m’occuper d’Alain. » Axel est passé par la salle de bain pour aller dans la chambre de son frère. Vincent est seul dans la chambre. Il a tout le loisir de se lever, d’ouvrir la porte, en un mot de quitter l’emprise d’Axel, de se rebeller, mais non. Il reste le nez au mur attendant effectivement son Maître. Et quand Axel revient, il retrouve son demi-frère dans la même position. Il jubile. « Alors tu veux entendre ma sentence ? » « Oui, maître » répond Vincent à haute voix. « Alors, commence par te foutre à poil et retiens que dorénavant quand nous ne sommes qu’à trois, cela sera ton costume obligatoire » « Oui, Maître » Et Vincent de s’exécuter. Et la lecture de la sentence commence : « Pour ne pas m’avoir appelé ‘maître’, dix ; pour mon plaisir, dix de plus ; des jouets interdits, j’en ai compté treize, cela fera donc treize, j’estime que tu devras maigrir de 5 kg, cela en fera 15. Grand total : 48 que j’arrondi à 50. » Et sans ajouter un mot, Axel indique à Vincent de prendre ses chevilles en main et sans attendre et sans temps mort il lui inflige 50 coups de ceinture. Bien sûr, bien avant le dernier coup, Vincent pleure, il transpire, il a mal, son nez plein de morve coule et « Merci Maître ». Et tout en faisant se remettre à genoux dans le coin les mains sur la tête et en conclusion Axel lui administre le coup de grâce en ajoutant « Comme j’ai dû te punir, tu es bien entendu priver de ta nuit avec Alain et à la place tu passeras ta nuit ici dans le coin où tu te trouves sous ma surveillance et totalement à mon service. » Et Vincent de commencer à pleurer à chaudes larmes pendant qu’Axel ouvre l’ordinateur à la recherche d’autres faiblesses de Vincent.