Formation d’esclaves 2
– Oui, ce n’est pas notre plaisir que nous devons rechercher mais bien celui de nos Maîtres et si nos Maîtres ont du plaisir et que nous n’en avons pas tant mieux, cela doit nous réjouir.
– Tu as bien compris notre condition et continuons à progresser.
Le serveur s’approche de nous avec la note
– Cela fera 3€
Et se penchant à mon oreille et en me montrant la braguette
– et une petit pipe…
Selon ce que nos Maîtres nous ont dit de répondre dans ces cas, je lui réponds tout rouge, et Eric rougit également car il sait ce que je dois répondre mais il sait que c’est notre condition
– Nous n’avons pas l’autorisation de nos Maîtres, il faut leur demander
Le barman surpris
– …et comment ?
– au 06 80 60… en leur disant que nous sommes Pierre et Eric.
– C’est pas de la blague ? Vous avez des Maîtres ? Vous êtes des esclaves ? Eh patron venez voir…
– Nous n’avons pas encore la condition esclave, nous sommes actuellement que des soumis à nos Maîtres.
– Patron ce sont deux fiottes qui veulent bien me tirer une pipe si j’obtiens le consentement de leurs Maîtres
– Qu’est-ce que tu attends ? Et en plus ils sont deux, je pourrais peut-être en profiter.
Il prends sont téléphone portable, compose le numéro
– Allo ?
– …
– Bonjour nous sommes avec Pierre et Eric. Ils nous ont dit que vous deviez leur donner l’autorisation pour qu’ils nous tirent une pipe ? C’est vrai ?
Nous étions rouge de confusion… Ceci nous montre que nous ne sommes pas encore prêt à l’esclavage.
– …
– C’est ok, je vous passe Pierre
– Bonjour Maître
Le patron et le barman sont pliés en deux…
– Pierre, vous devrez avec Eric leur tirer une pipe mais ils ne doivent pas jouir dans vos gueules, sur votre visage s’ils veulent. Mais c’est tout
– Oui Maître. Il faut vraiment ? …Bien Maître
– Notre Maître vous autorise à utiliser nos orifices supérieurs, mais sans jouir à l’intérieur.
– Alors debout les touzes
– Nous sommes des soumis mâles mais pas des touzes.
– C’est pareille pour nous… allons à l’arrière boutique
Ils nous poussent devant eux.
– Allez ! à genoux
Nous nous mettons en position, comme on nous l’a montré : à genoux, jambes écartées, mains dans le dos, bouche à moitié ouverte…
– Regardez moi ça des vrais pros.
Ils ouvrent tous les deux leurs pantalons et sortent leur membre.
– Patron c’est moi qui les ai levé, alors je choisi… Je prends le plus vieux car il doit avoir plus d’expérience…
– Cela tombe bien car j’aime bien les jeunots…
– Hum…
– Allez suce chien
Les deux verges enfoncées jusqu’à la garde, les mains sur la tête pour nous donner le rythme, nous pompons le patron et le barman du mieux que nous pouvons afin d’honorer nos Maîtres qui avaient souhaité leur donner satisfaction.
– Ah ! Ah ! c’est bon
Je sentis la verge du barman prête à éjecter sa liqueur aussi en forçant un peu je la sortis de ma bouche à son grand déplaisir mais je ne devais par recevoir son sperme dans la bouche, ce que je lui confirmai
– Je n’ai pas le droit de boire votre sperme
– Dommage et bien tu vas le prendre sur ta gueule
Je vois le patron qui semble devoir jouir
– Eric sort son membre de ta bouche
Il ne se fit pas dire deux fois
Le patron dans un grand râle jeta toute sa semence sur la figure d’Eric qui ferme les yeux. Mon barman en fait autant en criant de plaisir
– Oh que c’était bon… Maintenant les poufiasses foutez moi le camp…
Et sans nous laisser le temps de nous laver il nous mettent dehors en rigolant…
– Ils semblent avoir pris leur pieds, dis-je à Eric
– Oui, mais il avait une verge énorme et il me l’enfonçait à fond, j’avais de haut le cœur.
– Eric, nous n’avons pas à juger nos Maîtres ou ceux à qui ils nous envoi. Notre seul plaisir c’est d’avoir fait plaisir et je crois que cela été le cas, en dehors de cela…
– Tu as raison Pierre., Approche, que je t’essuie la figure…
– Toi aussi tu en as besoin.
Nous effaçons mutuellement les traces de sperme qui maculent nos visages.
– Que faisons nous de ces mouchoirs ?
– Nous pouvons les jeter car ce n’est pas de la semence de nos Maîtres. Si cela avait été le cas nous aurions dû les brûler.
– Je crois qu’il est temps de nous séparer car cela fait plus de 2 heures que nous sommes ensemble et que nous n’avons pas le droit à plus par semaine.
– Oui Eric, dommage… Attends cet après-midi pour envoyer ton message.
– Bonne semaine Pierre.
– Toi de même Eric