Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.
Je ne me suis jamais défendu. Je n’en ai pas l’instinct. Lorsqu’on me frappe, ça me rend triste, honteux, j’ai envie de pleurer, mais instinctivement, je me résigne, et reste là, tout mou, me mettant même en meilleure position pour que la personne puisse se défouler autant qu’elle le souhaite.
Mon instinct de soumission ne date pas d’hier.
Lorsque j’avais 7 ou 8 ans, je passais mes vacances chez mon oncle et ma tante, à l’Aiguillon, en Ariège. Une petite maison de campagne, perdue au milieu des champs, meublée à l’ancienne. Ma cousine ayant vingt jours de plus que moi, nous passions la plupart du temps à jouer ensemble.
Elle s’appelle Marlène, et à l’époque, c’était une petite fille très dynamique, gâtée et capricieuse.
Face à moi qui étais déjà timide et soumis, elle tenait lieu d’Alpha, décidant de tout, me reprenant lorsqu’elle n’était pas satisfaite de la tournure des choses, n’hésitant pas à me frapper par pur sadisme, et parce qu’elle savait très bien que je ne rendais pas les coups. Marlène ne se souciait pas de mes émotions. Lorsqu’elle s’intéressait à moi, c’était plutôt comme on s’intéresse à un cobaye; voir ce qu’il se passait si elle m’écrasait telle partie du corps, comment elle pouvait se servir de moi pour obtenir ce qu’elle voulait, jusqu’où elle pouvait me dominer sans que je me défende. J’avais accepté la situation, et je la suivais comme un petit chien.Ce jour là, c’était les vacances d’été, et on jouait dans le salon, sur le gros fauteuils en tissus gris, très poussiéreux.
Je ne me rappelle pas du jeu, mais on grimpe sur le dossier, comme deux explorateurs, pieds nus, pendant que ma mère et ma tante bavardent à la table en face. Chacun posté sur l’un des gros accoudoirs, on se fait face. Marlène commence à m’embêter avec ses pieds, en me poussant pour me faire tomber, en rigolant. Moi, je ne me défends pas, mais je lui dis d’arrêter, et je me déplace vers le centre du siège pour ne pas chuter. Je me retrouve en dessous de Marlène, restée sur son accoudoir. Voyant cela, elle s’accroche au dossier et commence à me marcher dessus, en rigolant pour donner le change. Elle appuie bien fort, pour m’enfoncer dans le coussin du fauteuil, et je me retrouve écrasé sous elle. A un instant, elle s’arrête, debout sur mon torse, et me lance“Eh. Regarde moi!”
Je fais l’erreur de lever les yeux vers elle, qui me surplombe entièrement. Ni une ni deux, dès que j’ai révélé mon visage, Marlène pose la plante de son pied bien à plat sur ma figure, et m enfonce le crâne dans le coussin fessier. Percevant le sens très dégradant de ce qu’elle avait fait, elle pèse de tout son poids pour m’enfoncer dans le coussin. Je me souviens de la poussière grise qui était collée à son pied, de l’odeur et de la texture. C’était moite, tiède, et ça sentait le renfermé. J’avais ses orteils crispés sur le front, mon nez enfoui dans sa plante, dont la peau bouchait mes narines, et ma bouche sous sont talon. C’était bien trop lourd pour que je puisse me défendre, alors je me suis contenté de gémir, laissant son pied malaxer mon visage sans même essayer de la repousser. Sans que je me l’avoue, j’aimais un peu ça, et j’aurais voulu rester des heures broyé sous ses pieds. Ça n’était pas tant le pied lui même qui me plaisait, mais le fait d’être humilié, écrasé, sans défense, devant un public. Au bout de trente secondes, comme je ne réagissais pas, Marlène cesse d’appuyer, et, gardant son pied fermement posé sur mon visage vaincu, elle pose les mains sur les hanches, souriante, et appelle sa mère.
“Maman! Regarde!”
Ma tante nous a jeté un bref coup d’œil, et lui a répondu que c’était sale. Puis elle est retournée à sa conversation.
Tacitement, c’était comme si les parents avaient donné leur accord pour que ma cousine continue à m’humilier. Au fond, ça n’était pas pour me déplaire. Alors Marlène est restée debout, jouant à me marcher sur le visage, un pied après l’autre,en rythme, en riant, pendant une bonne dizaine de minutes.