Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.
J’ai commencé à lire très jeune.
Les personnages aux pieds nus étaient mes préférés.Au CP, déjà, un petit livre d’image retenait particulièrement mon attention: on y voyait un policier, attaqué par trois voleurs, qui lui arrachaient tous ses vêtements, et le piétinaient en s’enfuyant. Le policier devait reprendre sa traque en slip avec une chaussette. Je ne savais pas encore ce qui me plaisait là dedans, mais j’aimais ça, c’est certain.
Ma sœur s’était fait prêter un tome de Ranma, où l’héroïne combattait un adversaire sur un ring, devant un large public. L’adversaire était bien meilleur qu’elle, et grâce à un clou sous sa chaussure, déchirait les vêtements de Ranma les uns après les autres. Au bout d’un moment, Ranma, défaite, se retrouve totalement nue face à son adversaire, et à la foule en liesse. J’adorais ce passage.
A l’âge de 10 ans, je raffolais particulièrement des récits de mythologie grecque. J’avais l’édition “Contes et légendes de l’Illiade et de l’Odyssée”, un livre de poche ponctué de quelques dessins à la mode grecque antique.
Je me souviens que l’un des passages du livre m’excitait énormément: au cours du combat entre Achille et Hector, le second se prend une raclée mémorable. D’abord, le narrateur racontait l’échec de chacune des tentatives d’Hector pour frapper Achille, et la réussite de chacun des coups de son adversaire. Prenant le point de vue omniscient, il décrivait comment Hector s’affaiblissait, abattu par l’humiliation que lui faisait subir Achille, et portait des coups de plus en plus mou, se résignant peu à peu.
Puis, à cet instant du récit, un soldat d’Achille se glisse derrière Hector et tranche les liens de son armure, qui tombe au sol, révélant son torse. Un autre fait de même pour ses jambières, un autre pour le bas, et très vite, Hector se retrouve désarmé, en pagne face à son pire adversaire, totalement vaincu et humilié, et surtout résigné, offrant son corps à Achille alors que celui ci ne l’avait même pas encore blessé.
A chacune de mes lectures de ce passage, j’avais une grosse érection. Souvent, j’enlevais mes sous vêtements, et je me mettais nu sous mon peignoir, lisant le livre allongé sur mon lit. Je m’imaginais être Hector, et dénouait le noeud de la ceinture du peignoir pour simuler les liens tranchés de l’armure. Puis j’écartais les pans de la veste, pour simuler la chute du plastron. Là, j’étais nu, à la merci de mon ennemi, avec une énorme érection pointant vers le plafond. Je m’imaginais, allongé nu dans la terre, surplombé, par une dizaine d’hommes en armes, Achille écrasant mon pénis en érection sous sa sandale.Mon père m’a un jour surpris comme ça. Ca a du le choquer, mais il a juste sorti un “Hé alors, Nicolas!”. J’ai ri, et me suis empressé de me rhabiller.