HISTOIRE VÉCUE 5 : RAMPER

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Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.

Durant mon adolescence, le besoin d’humiliation est monté crescendo avec l’apparition de la libido.
Comme je n’avais personne dans mon entourage pour m’humilier régulièrement – ma cousine était un peu grande pour me marcher encore sur le visage – j’ai longtemps refoulé mes besoins, me contentant de masturbations très régulières. Mais un jour, j’ai craqué, et j’ai trouvé l’audace d’aller m’humilier tout seul, et de superbe manière.

Je devais avoir 14 ans, et j’habitais un petit village Ariègeois, Le Sautel, seul avec ma mère. Tout était entouré de champs, de collines et de forêts. Alors, un week-end, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai décidé d’aller me masturber dans la forêt.

Lorsque je fus bien enfoncé dans le bois, j’ai sorti mon pénis, et j’ai commencé à me masturber. Dans ces moments là, le stress est omniprésent; je tendais l’oreille, voir si personne n’arrivait. J’étais tout seul.
J’aurais dû me contenter d’une simple branlette, mais lorsque je sentis le terrain boueux sous mes chaussures, je n’ai pas résisté. C’était plus fort que moi, comme un besoin impérieux; j’ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et j’ai commencé à marcher pieds nus, dans la boue froide de la forêt.
Puis j’ai enlevé mon haut. Puis le pantalon. Puis, n’y tenant plus, je me suis mis nu, et me suis allongé dans la boue, rampant sur plusieurs mètres. Mon gland complètement sorti frottait sur les herbes et la terre. C’était une sensation délicieuse! Pas seulement physique, mais aussi psychologique: j’avais le sentiment d’être au sommet du plaisir mental. C’était LA, dans cette situation, que je voulais demeurer pour le restant de mes jours. A cet instant, j’aurais dû réfléchir à ce que pareille affirmation disait de ma personnalité et de ma nature profonde, mais j’étais bien trop occupé à m’imaginer tiré en laisse par un groupe de soldats, prisonnier changé en chien humain, rampant derrière ses vainqueurs, décrassant leurs bottes avec ma langue.
Après avoir joui dans la boue, je me suis essuyé avec quelques feuilles, et suis rentré vite fait, honteux et dégouté.

Lorsque je suis rentré, ma mère s’est demandée pourquoi il y avait quelques trace de boue sur mes vêtements. Je lui ai simplement répondu que j’étais tombé. Je ne suis pas sur qu’elle m’ait cru.
Les années qui ont suivies, je suis retourné dans la forêt quelques dizaines de fois, changeant d’endroit, à la recherche des lieux les plus boueux. Je sortais surtout après la pluie, bien sur.

Lorsque je suis arrivé à la fac de Montpellier, en 2012, j’ai habité un an dans un appartement à Montferrier sur Lez, petite commune au nord de la ville. Le fait de vivre seul était une bénédiction, pour une nature de perdant comme la mienne; le village était entouré de petits bois, et si j’ai craint un temps que la végétation du Sud ne soit trop sèche pour reproduire mes dégoutantes expériences, c’était sans compter les travaux du rond point Agropolis. En effet, la ville ayant décidé de construire un nouveau tramway, il y avait à 500 mètres de chez moi, en descendant une longue route entourée de végétation, un grand carrefour de six voies, dominé par un énorme terre plein central. A cette époque, il était donc en travaux, et le gazon avait été remplacé par du sable, de la terre, et des outils de chantier. La lironde, le petit ruisseau qui passait sous l’un des principaux axes routiers, avait été asséché pour l’occasion, et le chantier se poursuivait en d’immenses tracés de glaise aménagée, plantée de petits ponts de bois, de pylônes de cuivres.

Le lit de la rivière était maintenant une grosse étendue de boue profonde et claire.
Aussi, quand je trouvai le temps, j’attendis la nuit, et, prenant soin d’éviter les phares des voitures, je me glissai dans le lit de la rivière asséchée. Là, j’ôtai les trois vêtements que j’avais pris pour l’occasion – anorak, pantalon, chaussures -, les posai à l’entrée de la rivière, et me couchais sur la gadoue.
J’ai rampé sur plus de cent mètre dans le chantier, frottant mon gland contre les gravillons, laissant un tracé profond derrière moi. L’axe routier donnait en plein sur la rivière, et si il avait fait jour, ma séance d’humiliation aurait été visible de chaque conducteur.
Je me suis rapproché du pont où passaient les voitures, trébuchant dans l’eau trouble, m’écorchant sur la végétation rugueuse, et j’ai commencé à me masturber.
Je suis retourné au chantier presque chaque nuit.
Mais au bout d’un moment, j’ai fini par me rendre compte que ça n’était pas la boue qui me plaisait, mais le fait d’être dégradé, d’écraser mon corps nu contre tout ce qu’il y avait de plus sale.

Aussi, à cette époque, et du fait de mes libertés, j’ai commencé à chercher non plus des endroits naturels, mais bien des lieux de civilisation abandonnés. Ça n’était plus la boue qui m’intéressait, mais le béton, les déchets, l’eau croupie. J’ai souvent trouvé mon bonheur sous les ponts entourant le village, quelques clochards y laissant de vieux matelas, et un béton bien crade.

Aujourd’hui, j’ai toujours envie de plus; intérieurement, j’ai besoin de plus. Il me faut des excréments, de l’urine, du cambouis. En réfléchissant à ce que je cherchais exactement, j’ai fini par établir une liste de priorité à mes fantasmes: toilettes publiques, les plus sales possibles. Déchetterie. Carrelage des parkings et des aires d’autoroute. Tout endroit plein de pisse et de merde. Là bas, je veux franchir un cap dans l’humiliation: non plus ramper, mais bien lécher, et m’établir plus encore comme un esclave naturel.

La chance qui m’a été donnée de devenir l’esclave de MAÎTRE PASCAL m’aidera à réaliser ces vœux, j’en suis certain.

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