LE MILKING : OU LA TRAITE MASCULINE.

Le milking of mâle ou la traite du mâle en français est une technique de massage de la prostate qui implique trois organes du système de reproduction masculin : la glande prostatique, les vésicules séminales et les glandes, lesquelles représentent les réservoirs qui contiennent le sperme prêt à être éjaculé. Afin de repérer physiquement ces différents organes, introduisez (ou faite-vous introduire) un doigt (que vous avez préalablement lubrifié) dans l’anus, puis remontez le long de la paroi rectale jusqu’à sentir une excroissance de la taille d’une noix : il s’agit de la prostate. Au delà de la prostate se trouve une zone étroite contenant les vésicules séminales.

Durant un acte sexuel classique, les corps caverneux contenant le sperme se contractent à la suite de l’excitation et projettent les spermatozoïdes en jets fins contre la paroi de l’urètre. En même temps, les vésicules séminales expulsent aussi en jets fins leur contenu jaunâtre et gluant dans l’urètre. La violence du choc de ce liquide déclenche l’activité de la prostate. Celle-ci se contracte et projette le contenu de ses petites glandes, également en jets fins, dans l’urètre, où les différentes parties du liquide spermatique se mélangent.

L’éjaculation du sperme est accompagnée de contractions rythmiques très fortes des muscles situés à la racine du pénis. Une fois commencé, le processus de l’éjaculation ne peut être interrompu. Il y a généralement 4 à 8 contractions musculaires que l’homme ressent d’une manière consciente.

Chez l’homme, l’éjaculation est associée à l’orgasme. Tous les muscles du bas-ventre contribuent, de différentes manières, aux contractions rythmiques. La force avec laquelle le sperme est projeté de l’urètre grâce à la collaboration des muscles du bas-ventre, est relativement grande.

Mais revenons à l’exploration annale de l’esclave mâle.

Attendez qu’il se détende, puis commencez à masser fermement d’avant en arrière.
Continuez la stimulation jusqu’à ce qu’il parvienne à l’orgasme… Cela peut prendre un petit moment, le sperme est évacué non plus en jets, mais plutôt de façon continue.

Les vésicules séminales, les glandes et la prostate peuvent être entièrement vidé par leur massage. Un massage rythmé de ces organes à l’aide d’un gode est une solution qui peut être remplacé d’une façon plus simple avec votre majeur ou votre majeur et votre index (bien sûr lubrifiés). Le massage forcera le liquide séminal et le sperme à franchir les valves menant aux conduits éjaculatoires, et videra la prostate (qui se videra directement dans l’urètre).

Si le massage débute suffisamment longtemps après avoir stoppé toute manœuvre d’excitation, l’éjaculation se fera sans spasmes du pénis. Seul signe de succès de l’opération : l’apparition du produit de l’éjaculation au méat. Vous pouvez à partir de là aider l’urètre à se vider en masturbant fermement votre esclave qui n’aura donc pas connu d’orgasme.

Une variante de se massage permet de limiter efficacement la tendance de certains esclaves à éprouver un certain plaisir dans leur traite, il s’agit du “ massage glacé ”. Cette méthode consiste à installer 10 minutes avant le massage : un sac plastique plein de glaçons sur le sexe et les parties de votre mâle. Le sac doit rester installé durant tout le temps du massage de sa prostate. Lorsque le massage est sur le point de se terminer (le mâle doit vous prévenir lorsqu’il sent qu’il va décharger), vous pouvez retirer le sac. Cette technique est idéale pour conserver un mâle chaste. (La technique peut être poussée au paroxysme du vice en installant le sac de glace sur son sexe alors qu’il ne bande pas encore afin de le conserver dans cet état). Ainsi, il ne ressentira aucun plaisir lorsque le sperme se frayera un passage au travers des conduits éjaculatoires.

Un préservatif peut être utilisé pour collecter le sperme, afin que la maîtresse puisse en apprécier la quantité et vérifier qu’elle correspond au produit d’un orgasme normal. A ce moment là, le massage peut prendre fin et la maîtresse peut demander à son esclave de vider le contenu du préservatif dans sa bouche et de l’avaler. Nombreux sont les hommes qui ressentent encore du plaisir lorsque l’on masse leur prostate tout en branlant leur pénis. Mais lorsqu’une quantité suffisante de sperme est déjà évacuée, la pression du fluide n’est plus suffisante pour provoquer de nouveaux réflexe éjaculatoires. En tous cas pas temps que les glandes ne se soient rechargées. Cela peut prendre plusieurs heures voir plusieurs jours.

Cette technique peut être utilise pour frustrer un mâle en le privant de sa masturbation ou d’orgasme à condition qu’elle soit réalisé à intervalles réguliers. Comptez sur un à deux massage par jour si vous souhaitez que votre mâle se passe de ceinture de chasteté. Quant aux mâles équipés d’une ceinture de chasteté, une traite sera nécessaire une seule fois sur un intervalle de plusieurs semaines ou au maximum tout les trois mois. Ceci afin d’éviter les éjaculations nocturnes avec orgasmes. Avec un massage régulier de la prostate, un mâle peut être privé d’orgasme durant un temps relativement long sans effet néfaste pour la santé pour peu que le massage soit effectué sans brutalité (un massage brutal provoquerait une infection).

La durée entre deux traites sera jaugée en fonction de votre expérience. Vous chercherez à définir combien de temps votre esclave peut ne pas jouir durant son sommeil. La période la plus longue durant laquelle un homme n’a pas d’éjaculation nocturne n’excède généralement pas 1 mois. Si la traite est faite correctement votre esclave sera privé d’érection au maximum pour dix jours ensuite il est plus sûr de lui installer une ceinture de chasteté pour l’empêcher de se soulager.

masteryaoi:

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cette truie a un fort potentiel en plus elle doit manger la merde pour survivre car son organisme n’a plus les bactéries nécessaire  plus simple que la transplantation fécale non !

https://www.topsante.com/medecine/digestion-et-transit/maladie-de-crohn/maladie-de-crohn-une-transplantation-fecale-bientot-possible-61667

j’aime quand la truie se présente en position du muezzin 

la truie accepte sa nature elle est prête à sa fécondation car c’est une femelle 

ce qui pendouille c’est un clitoris d’objet ou une nouille

le témoignage du léchage par l’objet de sa chienne et de son cul par sa chienne 

Petit, j’habitais à la campagne. 

À l’époque de mes premières excitations sexuelles, je devais avoir 10 ou 11 ans.

À côté de chez nous il y a avait une autre maison, les deux habitations n’étaient seulement séparées que par un grillage.

 Je connaissais les voisins, deux garçons, un du même âge que moi, l’autre un peu plus âgés.Nous passions beaucoup de temps dans le jardin et discutions souvent à travers le grillage.

Ils avaient trois ou quatre chiens.Je ne me souviens plus de leurs races mais dans mon souvenir ils étaient de grande de taille.

Un jour, je vois un des deux garçon faisant semblant d’enculer le chien, son frère le regardait en riant. J’ai été fasciné par ce spectacle.

Moi, je n’avais pas de chien mais une chienne, croisement entre berger allemand et chien-loup.

Un jour alors que je me trouvais dans le jardin, j’ai baissé mon pantalon, j’ai appelé ma chienne, et je lui ai fait lécher ma nouille. 

Je ne bandais pas mais j’ai trouvé cela très bon, sentir la langue râpeuse sur ma nouille. 

Je ne sais pas pourquoi mais j’en ai parlé à mon frère, en lui disant que je m’était fait “lécher le kiki“ par notre chienne, je trouvais cela naturel, je crois que je ne le reliais pas vraiment au sexe. 

Bien entendu mon frère à prévenu mes parents et je me suis fait bien engueuler : “cela ne se fait pas s’est sale!”. Je n’ai pas compris la réaction, juste qu’il y avait un interdit, et je n’ai pas recommencé.

Plusieurs années après, je devais avoir 16 ans, mais parents ayant divorcés, j’allais chez mon père un week-end sur deux. C’est mon père qui avait gardé le chien, car nous nous avions déménagés dans un appartement.

Donc vers l’âge de 16 ans, âge où je passais mes journées à me branler, je repensais souvent à l’histoire du “léchage du kiki”. Trois ou quatre fois, quand je me suis retrouvé seul à la maison, mon père était soit dans le jardin, soit sorti faire des courses, je me suis enduis la bite et la chatte de Nutella pour me faire lécher la nouille à nouveau. 

Je me mettais d’abord debout devant elle, puis elle bouffait tout le Nutella sur ma nouille, je sentais sa langue sur mon gland. 

Après, je me mettais à quatre pattes, la chatte bien ouverte, pour qu’elle vienne fouiller mon cul. Je prenais beaucoup de plaisir.

Au bout d’un moment, elle repartait dans son coin. Alors, je la faisais s’allonger de tout son long, je commençais par lui caresser le ventre et les tétines, puis je rapprochais ma gueule de son museau et je lui léchais les babine provocant bien évidemment sur elle une réaction et me léchant directement la bouche.

Je sentais sa langue fouiller ma gueule, cela m’excitait beaucoup. 

En même temps, je descendais ma main sur sa vulve, un petit triangle rose boursouflé, et je la caressais pour agrandir le trou, au fur et à mesure il y a avait comme une sorte de liquide qui la lubrifiait et qui faisait que la vulve s’ouvrait et devenait de plus en plus élastique, la vulve bougeait comme un anus. 

Alors, je mettais mon doigt, sans l’enfoncer, j’aimais ce contact avec la vulve et regarder grossir. 

Pour terminer, une fois que j’étais bien excité, je la plaçais sur le dos, me mettais face à sa croupe, levais et écartais ses deux pattes arrières pour poser ma langue sur sa vulve, je la léchais et la gobais.

 C’était doux, et à la fois le contact me donnait des frissons dans tout le corps. 

Cette expérience a contribué à révéler ma vraie nature, ma condition profonde de sous race truie. 

masteryaoi:

masteryaoi:

c est un animal un bétail humain 

elle le sait lorsqu’elle était en couple elle a demandé à manger la merde de son partenaire.

ce qui est normal pour une truie comme elle 

c est une femelle en devenir

Elle le sait Elle commence à s épanouir de la chatte

elle a besoin d’être fourrée en truie 

voici le témoignage de l’objet :

La première fois que j’ai gouté à la merde, c’était avec mon ex-copain. 

Nous étions ensemble depuis 6 ans. Il était typé espagnol, poilu, assez viril.
J’adorais lui lécher le trou du cul, me mettre face à sa raie ou que lui mette son trou au-dessus de ma gueule, j’aimais voir son trou poilu et y mettre ma langue. 

Je crois que je préférais ça à lui sucer la bite, j’avais le sentiment d’être humilié quand je léchais son cul. 

Parfois, je mettais la langue et essayais d’aller au plus profond comme un affamé. 

Je crois qu’il comprenait ce que je voulais mais c’est moi qui est proposé l’idée un jour : je voulais qu’il me chie sur le visage. 

Je voulais le voir accroupi au-dessus de ma gueule et voir le bronze sortir de son cul et se déposer sur ma gueule. 

Il a accepté,m’a demandé si cela ne me dégoûtait pas, j’ai répondu que non. Je crois que cela l’ excitait aussi.

Nous nous sommes mis à poil, moi allongeais sur le sol de la salle de bain et lui à commencé à s’accroupir sur ma gueule.

Je voyais son trou du cul poilu s’approcher et je bandais comme une truie. 

Il avait les fesses bien écartés au-dessus de moi (j’adore cette vision) et j’ai commencé à lui lécher le trou. 

Je voyais sur son visage qu’il poussait pour faire sortir la merde et je voyais son anus entrer et sortir. 

À un moment, alors qu’il s’était légèrement relevé il m’a dit “rapproche ta gueule, je vais péter.” 

Ces paroles m’ont presque faites jouir. 

Puis, il s’est remis à l’aise, le trou sur ma bouche et a commencé à pousser. 

Son trou s’ouvrait et je voyais un bout de merde sortir : “tu vois la merde sortir, ça te plaît?”. 

Je répondais avec un sourire.

 Il s’est relevé légèrement car il voulait voir la merde se poser sur mon visage. 

Il me regardait avec un petit sourire. 

Une fois la merde sur le visage, je l’ai prise (elle était assez dure) et j’ai commencé à l’ étaler sur mon torse. 

Lui était debout, se branlait et me regardait.

J’ai léché ma main où il y avait un peu de merde.

 Il a remis son trou poli devant ma gueule pour que je le lèche à nouveau, sûrement pour le nettoyer. 

Puis, il s’est à nous eau relevé face à moi et m’a giclé sur le visage.

Nous n’avons jamais renouvelé l’expérience malgré l’excitation.

Il m’a fait comprendre ma position de sous merde et de truie même s’il n’en a pas profité. 

Je rêve souvent encore de son cul poilu. 

masteryaoi:

la truie prête pour la saillie 

VOICI LE DOCUMENT DE CET OBJET

 L UNIQUE VOIE 

COMPORTEMENT

Je ne touche le sol ni avec la plante des pieds, ni avec les orteils, ni avec les fesses.Je ne touche ni mon clitoris ou nouille ni ma chatte.Je maintiens le trou à merde, la chatte et la nouille à DISPOSITION du Maître, les cuisses écartées, l’anus étiré et visible.Je fais mes besoins accroupi, 

SANS INTIMITÉ.

Je garde hauteur d’yeux EN DESSOUS du Pénis du Maître.

Je BAISSE LE REGARD en présence du Maître.

Je ne PARLE PAS sans permission.

Je ne BOUGE PAS sans permission

.L’éjaculation est réservée aux hommes. 

Je jute sur décision de mon Maître jamais autrement.

Les meubles sont réservés aux Hommes. 

Je dors EN CAGE OU AU SOL.

Je me tiens prêt à SERVIR Maître n’importe où, à n’importe quel moment, quelles que soient les circonstances

PROGRESSION QUOTIDIENNEMENT:

Je tache de me SOUVENIR de tous les aspects de ma vie et de ma pensée les plus personnels.

Je note chaque souvenir sur le carnet, je le lis à mon maître, à voix haute et claire, visage et sexe exposés,en érection, jusqu’à ce qu’il sache tout de moi. 

S’il le décide, ces témoignages sont filmés.

Je marque sur mon carnet tous les changements, infractions, évolutions, fantasmes et ordres du Maître pour le contrôle quotidien.

MENSUELLEMENT :

J’EXAMINE les changements dans mon comportement, les progrès, insuffisances, craintes, je les notes, et en fais rapport au Maître.

Je signale au Maître la moindre entrave à ce texte.

Cette voie est la bonne voie. 

Elle me correspond, je l’aime et la pratique, à chaque instant, jusqu’à ma mort

HISTOIRE VÉCUE 5 : RAMPER

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Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.

Durant mon adolescence, le besoin d’humiliation est monté crescendo avec l’apparition de la libido.
Comme je n’avais personne dans mon entourage pour m’humilier régulièrement – ma cousine était un peu grande pour me marcher encore sur le visage – j’ai longtemps refoulé mes besoins, me contentant de masturbations très régulières. Mais un jour, j’ai craqué, et j’ai trouvé l’audace d’aller m’humilier tout seul, et de superbe manière.

Je devais avoir 14 ans, et j’habitais un petit village Ariègeois, Le Sautel, seul avec ma mère. Tout était entouré de champs, de collines et de forêts. Alors, un week-end, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai décidé d’aller me masturber dans la forêt.

Lorsque je fus bien enfoncé dans le bois, j’ai sorti mon pénis, et j’ai commencé à me masturber. Dans ces moments là, le stress est omniprésent; je tendais l’oreille, voir si personne n’arrivait. J’étais tout seul.
J’aurais dû me contenter d’une simple branlette, mais lorsque je sentis le terrain boueux sous mes chaussures, je n’ai pas résisté. C’était plus fort que moi, comme un besoin impérieux; j’ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et j’ai commencé à marcher pieds nus, dans la boue froide de la forêt.
Puis j’ai enlevé mon haut. Puis le pantalon. Puis, n’y tenant plus, je me suis mis nu, et me suis allongé dans la boue, rampant sur plusieurs mètres. Mon gland complètement sorti frottait sur les herbes et la terre. C’était une sensation délicieuse! Pas seulement physique, mais aussi psychologique: j’avais le sentiment d’être au sommet du plaisir mental. C’était LA, dans cette situation, que je voulais demeurer pour le restant de mes jours. A cet instant, j’aurais dû réfléchir à ce que pareille affirmation disait de ma personnalité et de ma nature profonde, mais j’étais bien trop occupé à m’imaginer tiré en laisse par un groupe de soldats, prisonnier changé en chien humain, rampant derrière ses vainqueurs, décrassant leurs bottes avec ma langue.
Après avoir joui dans la boue, je me suis essuyé avec quelques feuilles, et suis rentré vite fait, honteux et dégouté.

Lorsque je suis rentré, ma mère s’est demandée pourquoi il y avait quelques trace de boue sur mes vêtements. Je lui ai simplement répondu que j’étais tombé. Je ne suis pas sur qu’elle m’ait cru.
Les années qui ont suivies, je suis retourné dans la forêt quelques dizaines de fois, changeant d’endroit, à la recherche des lieux les plus boueux. Je sortais surtout après la pluie, bien sur.

Lorsque je suis arrivé à la fac de Montpellier, en 2012, j’ai habité un an dans un appartement à Montferrier sur Lez, petite commune au nord de la ville. Le fait de vivre seul était une bénédiction, pour une nature de perdant comme la mienne; le village était entouré de petits bois, et si j’ai craint un temps que la végétation du Sud ne soit trop sèche pour reproduire mes dégoutantes expériences, c’était sans compter les travaux du rond point Agropolis. En effet, la ville ayant décidé de construire un nouveau tramway, il y avait à 500 mètres de chez moi, en descendant une longue route entourée de végétation, un grand carrefour de six voies, dominé par un énorme terre plein central. A cette époque, il était donc en travaux, et le gazon avait été remplacé par du sable, de la terre, et des outils de chantier. La lironde, le petit ruisseau qui passait sous l’un des principaux axes routiers, avait été asséché pour l’occasion, et le chantier se poursuivait en d’immenses tracés de glaise aménagée, plantée de petits ponts de bois, de pylônes de cuivres.

Le lit de la rivière était maintenant une grosse étendue de boue profonde et claire.
Aussi, quand je trouvai le temps, j’attendis la nuit, et, prenant soin d’éviter les phares des voitures, je me glissai dans le lit de la rivière asséchée. Là, j’ôtai les trois vêtements que j’avais pris pour l’occasion – anorak, pantalon, chaussures -, les posai à l’entrée de la rivière, et me couchais sur la gadoue.
J’ai rampé sur plus de cent mètre dans le chantier, frottant mon gland contre les gravillons, laissant un tracé profond derrière moi. L’axe routier donnait en plein sur la rivière, et si il avait fait jour, ma séance d’humiliation aurait été visible de chaque conducteur.
Je me suis rapproché du pont où passaient les voitures, trébuchant dans l’eau trouble, m’écorchant sur la végétation rugueuse, et j’ai commencé à me masturber.
Je suis retourné au chantier presque chaque nuit.
Mais au bout d’un moment, j’ai fini par me rendre compte que ça n’était pas la boue qui me plaisait, mais le fait d’être dégradé, d’écraser mon corps nu contre tout ce qu’il y avait de plus sale.

Aussi, à cette époque, et du fait de mes libertés, j’ai commencé à chercher non plus des endroits naturels, mais bien des lieux de civilisation abandonnés. Ça n’était plus la boue qui m’intéressait, mais le béton, les déchets, l’eau croupie. J’ai souvent trouvé mon bonheur sous les ponts entourant le village, quelques clochards y laissant de vieux matelas, et un béton bien crade.

Aujourd’hui, j’ai toujours envie de plus; intérieurement, j’ai besoin de plus. Il me faut des excréments, de l’urine, du cambouis. En réfléchissant à ce que je cherchais exactement, j’ai fini par établir une liste de priorité à mes fantasmes: toilettes publiques, les plus sales possibles. Déchetterie. Carrelage des parkings et des aires d’autoroute. Tout endroit plein de pisse et de merde. Là bas, je veux franchir un cap dans l’humiliation: non plus ramper, mais bien lécher, et m’établir plus encore comme un esclave naturel.

La chance qui m’a été donnée de devenir l’esclave de MAÎTRE PASCAL m’aidera à réaliser ces vœux, j’en suis certain.

masteryaoi:

590-019-366:

L’esclave. Propriété de Maître Pascal.

j’aime que ma truie soit rasé la prochaine étape le torse et le pubis

 il commence à comprendre son devenir de truie 

c’est une bonne truie 

vous avez son code du registre d’esclave 

il convient de remettre le looser en valeur il a tout pour être juste un objet 

LA VÉRITÉ SUR LE LOOSER SA DÉCLARATION 

LA VÉRITÉ RÉCITÉE A VOIX HAUTE ET ASSURÉE TOUS LES MATINS DES LE LEVER ET TOUS LES SOIRS DES LE COUCHER

.RÉCITATION FILMÉE.

QUI JE SUIS

1. JE suis un ESCLAVE NE . Il l’a toujours été, le sera toujours.

2. Je suis un perdant, un LOSER, une merde sans valeur. Je n’ai aucun droit. Je suis un yapou.

3. La SOUMISSION est un sentiment naturel et inné, la plus puissante force de ma personnalité.

4. L’APPARTENANCE donne un sens à ma vie.

5. Les hommes et les animaux sont mes supérieurs, je leur suis SOUMIS.

6. J’ai été créé pour être écrasé, sali, humilié, et RAMPER au pied des hommes.

7. Etre un esclave c’est le but de mon existence, la RAISON de ma naissance.

8. J’aime être écrasé, sali, HUMILIE, et ramper au pied des hommes.

9. Je ne suis bon qu’à être ÉCRASE, sali, humilié, et ramper au pied des hommes, et ne cherche rien d’autre.

10. C’est mon seul destin est ce jusqu’à la fin de mes jours.

11. Le sperme est le plus précieux des dons, l’urine et les EXCRÉMENTS des hommes sont ma nourriture naturelle.

12. Humiliation et SERVITUDE sont mes seuls objectifs, mes seuls désirs, mes seules quêtes.

13. Ma seule volonté est d’aggraver la soumission et la DÉGRADATION de mon corps et de mon âme pour servir sans limites mon Maître.

LE MAÎTRE

1. Je suis le CHIEN du Maître, Maître me possède.

2. Ce corps et cet esprit sont la PROPRIÉTÉ du Maître.

3. Maître dispose de mon corps et de mon esprit comme il l’entend.

4. Maître m’écrase, m’humilie, et me révèle ma PLACE dans le monde.

5. Ma seule volonté est d’OBEIR au Maître et de satisfaire ses désirs.

6. Mon seul plaisir est d’obéir au Maître, et de satisfaire ses désirs.

7. Mon unique rôle dans l’univers est l’obéissance envers Maître, et la satisfaction de ses désirs.

8. Ma vie est dédiée à l’obéissance et à la satisfaction des désirs du Maître, jusqu’à ma mort.

9. Maître sait ce qui est bon pour moi. Maître a toujours RAISON, et dit la vérité.Maître est juste.

10. Maître est tout PUISSANT.

11. Où que je sois, quoi que je fasse, Maître est mon UNIQUE pensée.

12. Je VÉNÈRE Maître, son corps et son esprit.

13. Le Pénis du Maître m’est SUPÉRIEUR. Je vénère le Pénis du Maître.

14. Les Pieds du Maître me sont supérieurs. Je vénère les Pieds du Maître.

15. L’Anus du Maître m’est supérieur. Je vénère l’Anus du Maître.

16. Les Excréments du Maître me sont supérieurs. Je vénère les Excréments du Maître.

17. Le Maître donne un sens à ma vie. Sans Maître, je ne suis rien.

18. Servir Maître me remplit de JOIE, et me donne de la force.

19. Penser au Maître me remplit de joie, et me donne de la FORCE.

20. Être écrasé, humilié, détruit par Maître me remplit de joie, et me donne de la force.

Je suis moi-même, un perdant, un loser, une merde, et je le resterai jusqu’à la mort. 

UN OBJET  UN YAPOU UN BIEN

l’objet éprouve de la peur et redoute la douleur et la souffrance en attendant son destin alors que dés que la réalité inéluctable se produit et qu’il est dans sa vie réelle tout cela disparaît simplement 

Ses peurs , ses craintes  ou ses douleurs sont des excuses pour éviter d’être sa nature. 

Un tel être ne doit jamais posséder la liberté de choisir de nouveau sa vie.

Et ses souvenirs de ces jours sont confisqués et interdits pour le reste de ses jours . 

Un Objet est simplement une chose jamais une personne.

Un objet est sans choix et sans droits.

Un objet est un bien mobilier en propriété.

Un objet fera tout ce qui est demandé par son Propriétaire.

L’identité et l’humanité sont détruites de lui.

L ‘objet existe pour servir et sert pour exister.

Sans choix, sans vie si c’est : existe pour servir  et sert pour exister 

Un objet sur ce chemin de vie est simplement  : 

un bien, un bétail et une propriété …rien plus … et est traité en tant que tel.

Cela prendra du temps pour qu’un objet accepte que sa vie est basée sur des règles simples : 

                             OBEISSEZ , TRAVAILLEZ FORT ET SOYEZ UTILISE

YAPOU BETAIL HUMAIN

A partir de ce mot bétail humain il faut assimiler les fagots à cette race des jaunes.

Les « Jaunes » enfin, autrement dit les Japonais, ne font plus partie du genre humain. 

Ce sont des pièces de bétail, des pièces de bétail « humain » à l’image du néologisme formé par Numa : kachikujin (家畜人?).

Les Yapous sont des « singes intelligents » relevant de l’espèce « simius sapiens ». 

La perte de leur humanité confère au yapou un statut encore plus bas que celui de l’animal. 

C’est un dernier verrou dans l’exploitation de l’homme par l’homme qui saute. 

Le verrou qui voudrait considérer un être humain comme un être « inviolable » en raison de son intelligence, de sa raison.

les Yapous apparaissant dans le roman sont des meubles, des biens.

Ils sont transformés en meubles (kagu) au service des Blancs et forment un incroyable bestiaire : settens et vomitoirs qui ont rendu inutile l’usage des toilettes, jouets sexuels que sont les cunnilingers, penilingers, la paire de ski pouky, toutes sortes de yapous miniatures, mens-midjets, yapamatron, analer, pygmées de table, vivistylo, etc.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Yapou,_b%C3%A9tail_humain