UNE LECTURE QUE TOUT PROPRIETAIRE DOIT FAIRE POUR COMPRENDRE ET MIEUX GERER SES BIENS ET L ‘ESCLAVE QU’IL ACQUIERT EN PROPRIETE 

Master Yaoi 

Voici enfin un manuel clair pour s’initier à l’art de gouverner ses esclaves à la romaine. 

Marcus Sidonius Falx, citoyen romain de noble extraction qui partage son temps entre ses propriétés de Campanie, d’Afrique et sa villa romaine, livre ici une multitude de conseils pratiques pour le néophyte : où acheter ses esclaves ? Combien coûtent-ils ? Comment les punir ? Comment les récompenser ? Quelle liberté sexuelle peut-on leur accorder ou se permettre avec eux ? Quand les affranchir ?

Pendant des siècles, l’esclavage constitua une institution majeure du monde romain que nul ne songeait à remettre en cause ni à blâmer. 

Cet ouvrage, nourri d’une multitude de sources originales, explore les pratiques de l’esclavage sous une forme insolite : un récit mené sur un ton alerte par un noble romain, suivi du point de vue, plus grave, de l’auteur, Jerry Toner, pour les lecteurs désireux d’en savoir plus. 

Ainsi se trouve brillamment éclairées les réalités d’une pratique qu’on croirait à tort éteinte : on compte aujourd’hui dans le monde plus d’individus esclavagisés qu’il n y en eut à aucun moment dans l’empire romain.

LE MILKING : OU LA TRAITE MASCULINE.

Le milking of mâle ou la traite du mâle en français est une technique de massage de la prostate qui implique trois organes du système de reproduction masculin : la glande prostatique, les vésicules séminales et les glandes, lesquelles représentent les réservoirs qui contiennent le sperme prêt à être éjaculé. Afin de repérer physiquement ces différents organes, introduisez (ou faite-vous introduire) un doigt (que vous avez préalablement lubrifié) dans l’anus, puis remontez le long de la paroi rectale jusqu’à sentir une excroissance de la taille d’une noix : il s’agit de la prostate. Au delà de la prostate se trouve une zone étroite contenant les vésicules séminales.

Durant un acte sexuel classique, les corps caverneux contenant le sperme se contractent à la suite de l’excitation et projettent les spermatozoïdes en jets fins contre la paroi de l’urètre. En même temps, les vésicules séminales expulsent aussi en jets fins leur contenu jaunâtre et gluant dans l’urètre. La violence du choc de ce liquide déclenche l’activité de la prostate. Celle-ci se contracte et projette le contenu de ses petites glandes, également en jets fins, dans l’urètre, où les différentes parties du liquide spermatique se mélangent.

L’éjaculation du sperme est accompagnée de contractions rythmiques très fortes des muscles situés à la racine du pénis. Une fois commencé, le processus de l’éjaculation ne peut être interrompu. Il y a généralement 4 à 8 contractions musculaires que l’homme ressent d’une manière consciente.

Chez l’homme, l’éjaculation est associée à l’orgasme. Tous les muscles du bas-ventre contribuent, de différentes manières, aux contractions rythmiques. La force avec laquelle le sperme est projeté de l’urètre grâce à la collaboration des muscles du bas-ventre, est relativement grande.

Mais revenons à l’exploration annale de l’esclave mâle.

Attendez qu’il se détende, puis commencez à masser fermement d’avant en arrière.
Continuez la stimulation jusqu’à ce qu’il parvienne à l’orgasme… Cela peut prendre un petit moment, le sperme est évacué non plus en jets, mais plutôt de façon continue.

Les vésicules séminales, les glandes et la prostate peuvent être entièrement vidé par leur massage. Un massage rythmé de ces organes à l’aide d’un gode est une solution qui peut être remplacé d’une façon plus simple avec votre majeur ou votre majeur et votre index (bien sûr lubrifiés). Le massage forcera le liquide séminal et le sperme à franchir les valves menant aux conduits éjaculatoires, et videra la prostate (qui se videra directement dans l’urètre).

Si le massage débute suffisamment longtemps après avoir stoppé toute manœuvre d’excitation, l’éjaculation se fera sans spasmes du pénis. Seul signe de succès de l’opération : l’apparition du produit de l’éjaculation au méat. Vous pouvez à partir de là aider l’urètre à se vider en masturbant fermement votre esclave qui n’aura donc pas connu d’orgasme.

Une variante de se massage permet de limiter efficacement la tendance de certains esclaves à éprouver un certain plaisir dans leur traite, il s’agit du “ massage glacé ”. Cette méthode consiste à installer 10 minutes avant le massage : un sac plastique plein de glaçons sur le sexe et les parties de votre mâle. Le sac doit rester installé durant tout le temps du massage de sa prostate. Lorsque le massage est sur le point de se terminer (le mâle doit vous prévenir lorsqu’il sent qu’il va décharger), vous pouvez retirer le sac. Cette technique est idéale pour conserver un mâle chaste. (La technique peut être poussée au paroxysme du vice en installant le sac de glace sur son sexe alors qu’il ne bande pas encore afin de le conserver dans cet état). Ainsi, il ne ressentira aucun plaisir lorsque le sperme se frayera un passage au travers des conduits éjaculatoires.

Un préservatif peut être utilisé pour collecter le sperme, afin que la maîtresse puisse en apprécier la quantité et vérifier qu’elle correspond au produit d’un orgasme normal. A ce moment là, le massage peut prendre fin et la maîtresse peut demander à son esclave de vider le contenu du préservatif dans sa bouche et de l’avaler. Nombreux sont les hommes qui ressentent encore du plaisir lorsque l’on masse leur prostate tout en branlant leur pénis. Mais lorsqu’une quantité suffisante de sperme est déjà évacuée, la pression du fluide n’est plus suffisante pour provoquer de nouveaux réflexe éjaculatoires. En tous cas pas temps que les glandes ne se soient rechargées. Cela peut prendre plusieurs heures voir plusieurs jours.

Cette technique peut être utilise pour frustrer un mâle en le privant de sa masturbation ou d’orgasme à condition qu’elle soit réalisé à intervalles réguliers. Comptez sur un à deux massage par jour si vous souhaitez que votre mâle se passe de ceinture de chasteté. Quant aux mâles équipés d’une ceinture de chasteté, une traite sera nécessaire une seule fois sur un intervalle de plusieurs semaines ou au maximum tout les trois mois. Ceci afin d’éviter les éjaculations nocturnes avec orgasmes. Avec un massage régulier de la prostate, un mâle peut être privé d’orgasme durant un temps relativement long sans effet néfaste pour la santé pour peu que le massage soit effectué sans brutalité (un massage brutal provoquerait une infection).

La durée entre deux traites sera jaugée en fonction de votre expérience. Vous chercherez à définir combien de temps votre esclave peut ne pas jouir durant son sommeil. La période la plus longue durant laquelle un homme n’a pas d’éjaculation nocturne n’excède généralement pas 1 mois. Si la traite est faite correctement votre esclave sera privé d’érection au maximum pour dix jours ensuite il est plus sûr de lui installer une ceinture de chasteté pour l’empêcher de se soulager.

masteryaoi:

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cette truie a un fort potentiel en plus elle doit manger la merde pour survivre car son organisme n’a plus les bactéries nécessaire  plus simple que la transplantation fécale non !

https://www.topsante.com/medecine/digestion-et-transit/maladie-de-crohn/maladie-de-crohn-une-transplantation-fecale-bientot-possible-61667

j’aime quand la truie se présente en position du muezzin 

la truie accepte sa nature elle est prête à sa fécondation car c’est une femelle 

ce qui pendouille c’est un clitoris d’objet ou une nouille

le témoignage du léchage par l’objet de sa chienne et de son cul par sa chienne 

Petit, j’habitais à la campagne. 

À l’époque de mes premières excitations sexuelles, je devais avoir 10 ou 11 ans.

À côté de chez nous il y a avait une autre maison, les deux habitations n’étaient seulement séparées que par un grillage.

 Je connaissais les voisins, deux garçons, un du même âge que moi, l’autre un peu plus âgés.Nous passions beaucoup de temps dans le jardin et discutions souvent à travers le grillage.

Ils avaient trois ou quatre chiens.Je ne me souviens plus de leurs races mais dans mon souvenir ils étaient de grande de taille.

Un jour, je vois un des deux garçon faisant semblant d’enculer le chien, son frère le regardait en riant. J’ai été fasciné par ce spectacle.

Moi, je n’avais pas de chien mais une chienne, croisement entre berger allemand et chien-loup.

Un jour alors que je me trouvais dans le jardin, j’ai baissé mon pantalon, j’ai appelé ma chienne, et je lui ai fait lécher ma nouille. 

Je ne bandais pas mais j’ai trouvé cela très bon, sentir la langue râpeuse sur ma nouille. 

Je ne sais pas pourquoi mais j’en ai parlé à mon frère, en lui disant que je m’était fait “lécher le kiki“ par notre chienne, je trouvais cela naturel, je crois que je ne le reliais pas vraiment au sexe. 

Bien entendu mon frère à prévenu mes parents et je me suis fait bien engueuler : “cela ne se fait pas s’est sale!”. Je n’ai pas compris la réaction, juste qu’il y avait un interdit, et je n’ai pas recommencé.

Plusieurs années après, je devais avoir 16 ans, mais parents ayant divorcés, j’allais chez mon père un week-end sur deux. C’est mon père qui avait gardé le chien, car nous nous avions déménagés dans un appartement.

Donc vers l’âge de 16 ans, âge où je passais mes journées à me branler, je repensais souvent à l’histoire du “léchage du kiki”. Trois ou quatre fois, quand je me suis retrouvé seul à la maison, mon père était soit dans le jardin, soit sorti faire des courses, je me suis enduis la bite et la chatte de Nutella pour me faire lécher la nouille à nouveau. 

Je me mettais d’abord debout devant elle, puis elle bouffait tout le Nutella sur ma nouille, je sentais sa langue sur mon gland. 

Après, je me mettais à quatre pattes, la chatte bien ouverte, pour qu’elle vienne fouiller mon cul. Je prenais beaucoup de plaisir.

Au bout d’un moment, elle repartait dans son coin. Alors, je la faisais s’allonger de tout son long, je commençais par lui caresser le ventre et les tétines, puis je rapprochais ma gueule de son museau et je lui léchais les babine provocant bien évidemment sur elle une réaction et me léchant directement la bouche.

Je sentais sa langue fouiller ma gueule, cela m’excitait beaucoup. 

En même temps, je descendais ma main sur sa vulve, un petit triangle rose boursouflé, et je la caressais pour agrandir le trou, au fur et à mesure il y a avait comme une sorte de liquide qui la lubrifiait et qui faisait que la vulve s’ouvrait et devenait de plus en plus élastique, la vulve bougeait comme un anus. 

Alors, je mettais mon doigt, sans l’enfoncer, j’aimais ce contact avec la vulve et regarder grossir. 

Pour terminer, une fois que j’étais bien excité, je la plaçais sur le dos, me mettais face à sa croupe, levais et écartais ses deux pattes arrières pour poser ma langue sur sa vulve, je la léchais et la gobais.

 C’était doux, et à la fois le contact me donnait des frissons dans tout le corps. 

Cette expérience a contribué à révéler ma vraie nature, ma condition profonde de sous race truie. 

masteryaoi:

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c est un animal un bétail humain 

elle le sait lorsqu’elle était en couple elle a demandé à manger la merde de son partenaire.

ce qui est normal pour une truie comme elle 

c est une femelle en devenir

Elle le sait Elle commence à s épanouir de la chatte

elle a besoin d’être fourrée en truie 

voici le témoignage de l’objet :

La première fois que j’ai gouté à la merde, c’était avec mon ex-copain. 

Nous étions ensemble depuis 6 ans. Il était typé espagnol, poilu, assez viril.
J’adorais lui lécher le trou du cul, me mettre face à sa raie ou que lui mette son trou au-dessus de ma gueule, j’aimais voir son trou poilu et y mettre ma langue. 

Je crois que je préférais ça à lui sucer la bite, j’avais le sentiment d’être humilié quand je léchais son cul. 

Parfois, je mettais la langue et essayais d’aller au plus profond comme un affamé. 

Je crois qu’il comprenait ce que je voulais mais c’est moi qui est proposé l’idée un jour : je voulais qu’il me chie sur le visage. 

Je voulais le voir accroupi au-dessus de ma gueule et voir le bronze sortir de son cul et se déposer sur ma gueule. 

Il a accepté,m’a demandé si cela ne me dégoûtait pas, j’ai répondu que non. Je crois que cela l’ excitait aussi.

Nous nous sommes mis à poil, moi allongeais sur le sol de la salle de bain et lui à commencé à s’accroupir sur ma gueule.

Je voyais son trou du cul poilu s’approcher et je bandais comme une truie. 

Il avait les fesses bien écartés au-dessus de moi (j’adore cette vision) et j’ai commencé à lui lécher le trou. 

Je voyais sur son visage qu’il poussait pour faire sortir la merde et je voyais son anus entrer et sortir. 

À un moment, alors qu’il s’était légèrement relevé il m’a dit “rapproche ta gueule, je vais péter.” 

Ces paroles m’ont presque faites jouir. 

Puis, il s’est remis à l’aise, le trou sur ma bouche et a commencé à pousser. 

Son trou s’ouvrait et je voyais un bout de merde sortir : “tu vois la merde sortir, ça te plaît?”. 

Je répondais avec un sourire.

 Il s’est relevé légèrement car il voulait voir la merde se poser sur mon visage. 

Il me regardait avec un petit sourire. 

Une fois la merde sur le visage, je l’ai prise (elle était assez dure) et j’ai commencé à l’ étaler sur mon torse. 

Lui était debout, se branlait et me regardait.

J’ai léché ma main où il y avait un peu de merde.

 Il a remis son trou poli devant ma gueule pour que je le lèche à nouveau, sûrement pour le nettoyer. 

Puis, il s’est à nous eau relevé face à moi et m’a giclé sur le visage.

Nous n’avons jamais renouvelé l’expérience malgré l’excitation.

Il m’a fait comprendre ma position de sous merde et de truie même s’il n’en a pas profité. 

Je rêve souvent encore de son cul poilu.