masteryaoi:

la truie prête pour la saillie 

VOICI LE DOCUMENT DE CET OBJET

 L UNIQUE VOIE 

COMPORTEMENT

Je ne touche le sol ni avec la plante des pieds, ni avec les orteils, ni avec les fesses.Je ne touche ni mon clitoris ou nouille ni ma chatte.Je maintiens le trou à merde, la chatte et la nouille à DISPOSITION du Maître, les cuisses écartées, l’anus étiré et visible.Je fais mes besoins accroupi, 

SANS INTIMITÉ.

Je garde hauteur d’yeux EN DESSOUS du Pénis du Maître.

Je BAISSE LE REGARD en présence du Maître.

Je ne PARLE PAS sans permission.

Je ne BOUGE PAS sans permission

.L’éjaculation est réservée aux hommes. 

Je jute sur décision de mon Maître jamais autrement.

Les meubles sont réservés aux Hommes. 

Je dors EN CAGE OU AU SOL.

Je me tiens prêt à SERVIR Maître n’importe où, à n’importe quel moment, quelles que soient les circonstances

PROGRESSION QUOTIDIENNEMENT:

Je tache de me SOUVENIR de tous les aspects de ma vie et de ma pensée les plus personnels.

Je note chaque souvenir sur le carnet, je le lis à mon maître, à voix haute et claire, visage et sexe exposés,en érection, jusqu’à ce qu’il sache tout de moi. 

S’il le décide, ces témoignages sont filmés.

Je marque sur mon carnet tous les changements, infractions, évolutions, fantasmes et ordres du Maître pour le contrôle quotidien.

MENSUELLEMENT :

J’EXAMINE les changements dans mon comportement, les progrès, insuffisances, craintes, je les notes, et en fais rapport au Maître.

Je signale au Maître la moindre entrave à ce texte.

Cette voie est la bonne voie. 

Elle me correspond, je l’aime et la pratique, à chaque instant, jusqu’à ma mort

HISTOIRE VÉCUE 5 : RAMPER

590-019-366:

Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.

Durant mon adolescence, le besoin d’humiliation est monté crescendo avec l’apparition de la libido.
Comme je n’avais personne dans mon entourage pour m’humilier régulièrement – ma cousine était un peu grande pour me marcher encore sur le visage – j’ai longtemps refoulé mes besoins, me contentant de masturbations très régulières. Mais un jour, j’ai craqué, et j’ai trouvé l’audace d’aller m’humilier tout seul, et de superbe manière.

Je devais avoir 14 ans, et j’habitais un petit village Ariègeois, Le Sautel, seul avec ma mère. Tout était entouré de champs, de collines et de forêts. Alors, un week-end, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai décidé d’aller me masturber dans la forêt.

Lorsque je fus bien enfoncé dans le bois, j’ai sorti mon pénis, et j’ai commencé à me masturber. Dans ces moments là, le stress est omniprésent; je tendais l’oreille, voir si personne n’arrivait. J’étais tout seul.
J’aurais dû me contenter d’une simple branlette, mais lorsque je sentis le terrain boueux sous mes chaussures, je n’ai pas résisté. C’était plus fort que moi, comme un besoin impérieux; j’ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et j’ai commencé à marcher pieds nus, dans la boue froide de la forêt.
Puis j’ai enlevé mon haut. Puis le pantalon. Puis, n’y tenant plus, je me suis mis nu, et me suis allongé dans la boue, rampant sur plusieurs mètres. Mon gland complètement sorti frottait sur les herbes et la terre. C’était une sensation délicieuse! Pas seulement physique, mais aussi psychologique: j’avais le sentiment d’être au sommet du plaisir mental. C’était LA, dans cette situation, que je voulais demeurer pour le restant de mes jours. A cet instant, j’aurais dû réfléchir à ce que pareille affirmation disait de ma personnalité et de ma nature profonde, mais j’étais bien trop occupé à m’imaginer tiré en laisse par un groupe de soldats, prisonnier changé en chien humain, rampant derrière ses vainqueurs, décrassant leurs bottes avec ma langue.
Après avoir joui dans la boue, je me suis essuyé avec quelques feuilles, et suis rentré vite fait, honteux et dégouté.

Lorsque je suis rentré, ma mère s’est demandée pourquoi il y avait quelques trace de boue sur mes vêtements. Je lui ai simplement répondu que j’étais tombé. Je ne suis pas sur qu’elle m’ait cru.
Les années qui ont suivies, je suis retourné dans la forêt quelques dizaines de fois, changeant d’endroit, à la recherche des lieux les plus boueux. Je sortais surtout après la pluie, bien sur.

Lorsque je suis arrivé à la fac de Montpellier, en 2012, j’ai habité un an dans un appartement à Montferrier sur Lez, petite commune au nord de la ville. Le fait de vivre seul était une bénédiction, pour une nature de perdant comme la mienne; le village était entouré de petits bois, et si j’ai craint un temps que la végétation du Sud ne soit trop sèche pour reproduire mes dégoutantes expériences, c’était sans compter les travaux du rond point Agropolis. En effet, la ville ayant décidé de construire un nouveau tramway, il y avait à 500 mètres de chez moi, en descendant une longue route entourée de végétation, un grand carrefour de six voies, dominé par un énorme terre plein central. A cette époque, il était donc en travaux, et le gazon avait été remplacé par du sable, de la terre, et des outils de chantier. La lironde, le petit ruisseau qui passait sous l’un des principaux axes routiers, avait été asséché pour l’occasion, et le chantier se poursuivait en d’immenses tracés de glaise aménagée, plantée de petits ponts de bois, de pylônes de cuivres.

Le lit de la rivière était maintenant une grosse étendue de boue profonde et claire.
Aussi, quand je trouvai le temps, j’attendis la nuit, et, prenant soin d’éviter les phares des voitures, je me glissai dans le lit de la rivière asséchée. Là, j’ôtai les trois vêtements que j’avais pris pour l’occasion – anorak, pantalon, chaussures -, les posai à l’entrée de la rivière, et me couchais sur la gadoue.
J’ai rampé sur plus de cent mètre dans le chantier, frottant mon gland contre les gravillons, laissant un tracé profond derrière moi. L’axe routier donnait en plein sur la rivière, et si il avait fait jour, ma séance d’humiliation aurait été visible de chaque conducteur.
Je me suis rapproché du pont où passaient les voitures, trébuchant dans l’eau trouble, m’écorchant sur la végétation rugueuse, et j’ai commencé à me masturber.
Je suis retourné au chantier presque chaque nuit.
Mais au bout d’un moment, j’ai fini par me rendre compte que ça n’était pas la boue qui me plaisait, mais le fait d’être dégradé, d’écraser mon corps nu contre tout ce qu’il y avait de plus sale.

Aussi, à cette époque, et du fait de mes libertés, j’ai commencé à chercher non plus des endroits naturels, mais bien des lieux de civilisation abandonnés. Ça n’était plus la boue qui m’intéressait, mais le béton, les déchets, l’eau croupie. J’ai souvent trouvé mon bonheur sous les ponts entourant le village, quelques clochards y laissant de vieux matelas, et un béton bien crade.

Aujourd’hui, j’ai toujours envie de plus; intérieurement, j’ai besoin de plus. Il me faut des excréments, de l’urine, du cambouis. En réfléchissant à ce que je cherchais exactement, j’ai fini par établir une liste de priorité à mes fantasmes: toilettes publiques, les plus sales possibles. Déchetterie. Carrelage des parkings et des aires d’autoroute. Tout endroit plein de pisse et de merde. Là bas, je veux franchir un cap dans l’humiliation: non plus ramper, mais bien lécher, et m’établir plus encore comme un esclave naturel.

La chance qui m’a été donnée de devenir l’esclave de MAÎTRE PASCAL m’aidera à réaliser ces vœux, j’en suis certain.

masteryaoi:

590-019-366:

L’esclave. Propriété de Maître Pascal.

j’aime que ma truie soit rasé la prochaine étape le torse et le pubis

 il commence à comprendre son devenir de truie 

c’est une bonne truie 

vous avez son code du registre d’esclave 

il convient de remettre le looser en valeur il a tout pour être juste un objet 

LA VÉRITÉ SUR LE LOOSER SA DÉCLARATION 

LA VÉRITÉ RÉCITÉE A VOIX HAUTE ET ASSURÉE TOUS LES MATINS DES LE LEVER ET TOUS LES SOIRS DES LE COUCHER

.RÉCITATION FILMÉE.

QUI JE SUIS

1. JE suis un ESCLAVE NE . Il l’a toujours été, le sera toujours.

2. Je suis un perdant, un LOSER, une merde sans valeur. Je n’ai aucun droit. Je suis un yapou.

3. La SOUMISSION est un sentiment naturel et inné, la plus puissante force de ma personnalité.

4. L’APPARTENANCE donne un sens à ma vie.

5. Les hommes et les animaux sont mes supérieurs, je leur suis SOUMIS.

6. J’ai été créé pour être écrasé, sali, humilié, et RAMPER au pied des hommes.

7. Etre un esclave c’est le but de mon existence, la RAISON de ma naissance.

8. J’aime être écrasé, sali, HUMILIE, et ramper au pied des hommes.

9. Je ne suis bon qu’à être ÉCRASE, sali, humilié, et ramper au pied des hommes, et ne cherche rien d’autre.

10. C’est mon seul destin est ce jusqu’à la fin de mes jours.

11. Le sperme est le plus précieux des dons, l’urine et les EXCRÉMENTS des hommes sont ma nourriture naturelle.

12. Humiliation et SERVITUDE sont mes seuls objectifs, mes seuls désirs, mes seules quêtes.

13. Ma seule volonté est d’aggraver la soumission et la DÉGRADATION de mon corps et de mon âme pour servir sans limites mon Maître.

LE MAÎTRE

1. Je suis le CHIEN du Maître, Maître me possède.

2. Ce corps et cet esprit sont la PROPRIÉTÉ du Maître.

3. Maître dispose de mon corps et de mon esprit comme il l’entend.

4. Maître m’écrase, m’humilie, et me révèle ma PLACE dans le monde.

5. Ma seule volonté est d’OBEIR au Maître et de satisfaire ses désirs.

6. Mon seul plaisir est d’obéir au Maître, et de satisfaire ses désirs.

7. Mon unique rôle dans l’univers est l’obéissance envers Maître, et la satisfaction de ses désirs.

8. Ma vie est dédiée à l’obéissance et à la satisfaction des désirs du Maître, jusqu’à ma mort.

9. Maître sait ce qui est bon pour moi. Maître a toujours RAISON, et dit la vérité.Maître est juste.

10. Maître est tout PUISSANT.

11. Où que je sois, quoi que je fasse, Maître est mon UNIQUE pensée.

12. Je VÉNÈRE Maître, son corps et son esprit.

13. Le Pénis du Maître m’est SUPÉRIEUR. Je vénère le Pénis du Maître.

14. Les Pieds du Maître me sont supérieurs. Je vénère les Pieds du Maître.

15. L’Anus du Maître m’est supérieur. Je vénère l’Anus du Maître.

16. Les Excréments du Maître me sont supérieurs. Je vénère les Excréments du Maître.

17. Le Maître donne un sens à ma vie. Sans Maître, je ne suis rien.

18. Servir Maître me remplit de JOIE, et me donne de la force.

19. Penser au Maître me remplit de joie, et me donne de la FORCE.

20. Être écrasé, humilié, détruit par Maître me remplit de joie, et me donne de la force.

Je suis moi-même, un perdant, un loser, une merde, et je le resterai jusqu’à la mort. 

UN OBJET  UN YAPOU UN BIEN

l’objet éprouve de la peur et redoute la douleur et la souffrance en attendant son destin alors que dés que la réalité inéluctable se produit et qu’il est dans sa vie réelle tout cela disparaît simplement 

Ses peurs , ses craintes  ou ses douleurs sont des excuses pour éviter d’être sa nature. 

Un tel être ne doit jamais posséder la liberté de choisir de nouveau sa vie.

Et ses souvenirs de ces jours sont confisqués et interdits pour le reste de ses jours . 

Un Objet est simplement une chose jamais une personne.

Un objet est sans choix et sans droits.

Un objet est un bien mobilier en propriété.

Un objet fera tout ce qui est demandé par son Propriétaire.

L’identité et l’humanité sont détruites de lui.

L ‘objet existe pour servir et sert pour exister.

Sans choix, sans vie si c’est : existe pour servir  et sert pour exister 

Un objet sur ce chemin de vie est simplement  : 

un bien, un bétail et une propriété …rien plus … et est traité en tant que tel.

Cela prendra du temps pour qu’un objet accepte que sa vie est basée sur des règles simples : 

                             OBEISSEZ , TRAVAILLEZ FORT ET SOYEZ UTILISE

YAPOU BETAIL HUMAIN

A partir de ce mot bétail humain il faut assimiler les fagots à cette race des jaunes.

Les « Jaunes » enfin, autrement dit les Japonais, ne font plus partie du genre humain. 

Ce sont des pièces de bétail, des pièces de bétail « humain » à l’image du néologisme formé par Numa : kachikujin (家畜人?).

Les Yapous sont des « singes intelligents » relevant de l’espèce « simius sapiens ». 

La perte de leur humanité confère au yapou un statut encore plus bas que celui de l’animal. 

C’est un dernier verrou dans l’exploitation de l’homme par l’homme qui saute. 

Le verrou qui voudrait considérer un être humain comme un être « inviolable » en raison de son intelligence, de sa raison.

les Yapous apparaissant dans le roman sont des meubles, des biens.

Ils sont transformés en meubles (kagu) au service des Blancs et forment un incroyable bestiaire : settens et vomitoirs qui ont rendu inutile l’usage des toilettes, jouets sexuels que sont les cunnilingers, penilingers, la paire de ski pouky, toutes sortes de yapous miniatures, mens-midjets, yapamatron, analer, pygmées de table, vivistylo, etc.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Yapou,_b%C3%A9tail_humain