ESCLAVES DOIVENT ETRE ÉRECTION NUE DEVANT PROPRIÉTAIRE ET AMIS DU PROPRIÉTAIRE   

Pour beaucoup d’hommes la première difficulté qu’ils rencontrent avec la vie comme esclave est l’exigence de leur propriétaire d’être nu ou seulement peu vêtu – mais cela passe dès que les jeunes hommes sont après l’habitude d’être nu dans les vestiaires et ainsi de suite, et il est pas si terrible pour eux, même si ceux qui l’entourent sont habillés.

Le problème suivant est que les érections – comme nous le savons, les jeunes ajustement hommes obtenir ces fréquemment, et aucun nouvel esclave est utilisé pour être debout avec les autres à regarder – ils se cachent dans le vestiaire, et il est normalement seulement leur petite amie qui le voit. Mais la plupart des propriétaires aiment à voir un mâle en bonne santé sportive une érection, surtout si elles ont pas eu la salve circoncire et il y a l’intérêt de voir le gland de l’esclave.

Cette image montre bien que les indignités que certains esclaves ont à supporter !

Lorsque son propriétaire est d’avoir des amis autour pour les boissons son esclave doit prendre des pilules pour assurer une érection constante, puis porter cet ornement comme il sert les boissons.

L’esclave se sent constamment humilié que les hommes admirent et le sentir – mais alors il ne doit pas, que l’humiliation est quelque chose qu’un homme libre peut éprouver. Et tant que l’esclave obéit à son maître, qui est tout ce qui est nécessaire.

HISTOIRE VÉCUE 5 : CONÇU POUR LA DÉFAITE

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Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma
vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le
net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au
reconditionnement de l’esclave.

Durant tout mon parcours scolaire, j’étais le souffre-douleur de l’école.
Il
y avait Florent, beau et baraqué, aussi méchant que sur de lui. Mais il
y avait également des plus faibles, des petites frappes maigrichonnes
et laides, comme David, blond chétif aux oreilles décollées et aux
grands yeux bleus, vicieux, qui voyait en moi la seule victime
potentielle de son besoin de supériorité. Il y avait Mickaël, même
profil, petit, faible, méchant et vulgaire, qui prenait plaisir à
m’insulter et à me bousculer un peu partout. Ces types étaient tellement
faibles qu’il ne leur restait que moi, le soumis, sur qui se défouler.
J’ai toujours été au bas de la chaîne alimentaire.

Étrangement,
tous mes rêves érotiques portaient sur les humiliations que me faisaient
subir ces types. Ils se déroulaient devant une large foule – à l’école
-, et j’y étais écrasé par mes tortionnaires. De préférence par les plus
faibles et insignifiants d’entre eux, mais qui, face à ma propre nature
de perdant, me restaient supérieurs. Ils n’étaient pas bien grands,
mais moi j’étais un être insignifiant, rampant, sur lequel tout le monde
marchait sans même y faire attention. Dans ces rêves, David m’écrasait
le visage sous son pied nu, me forçait à le lécher, me crachait au
visage.

Lorsque, plus tard, j’eus ma première relation sexuelle
avec un garçon, je ne parvins pas à bander. Pour toutes celles qui
suivirent, ce fut le même problème ; je me suis vite rendu à l’évidence :
la seule chose pour laquelle la nature m’avait autorisé à être excité,
c’était l’humiliation. Plus précisément, la défaite ; lorsque j’étais
vaincu, lorsque durant un conflit, j’étais forcé à la défaite, puis
résigné, me laissais humilier, et trainer en laisse dans la boue, devant
tout le monde, pour être ensuite esclave à vie.…

Quelques temps
plus tard, je m’inscrivis sur Smboy, à la recherche de dominants qui
voudraient bien partager mes fantasmes. J’ai fait quelques rencontres,
pratiqué un peu. Mais rien n’y faisait : on pouvait me pisser dessus, me
marcher sur le visage, je n’étais pas excité. La raison à cela, c’est
que dans tous les cas, il s’agissait de jeu, de mise en scène, où le
bien être de chacun était pris en compte. Je pouvais arrêter quand je
voulais. C’était un consentement mutuel, pas une véritable défaite, et
malgré moi, mon esprit le savait ! J’étais programmé pour n’être excité
que par la défaite. Je voulais être un véritable esclave, capturé,
vaincu, sans possibilité de retour en arrière.

J’ai commencé à
réfléchir. Y avait-il une logique scientifique pareille excitation ? Nos
désirs sexuels sont programmés pour assurer la pérennisation de
l’espèce. Ils sont à la base de tout, et justifient tous nos actes. Si
je suis attiré par la défaite et l’humiliation de mon corps et de mon
esprit, c’est qu’elles contribuent à la préservation de l’espèce ; être
humilié, écrasé, vaincu, c’est mon rôle à jouer dans le cycle de la vie.
Peut-être pour favoriser les dominants ? Il serait logique que tout
groupe ait besoin de ce genre de souffre-douleur.
Mes désirs et mes
besoins étaient donc définis par la défaite, et ramper au pied des
hommes; c’était le seul instant où je me sentais serein, à ma place.

Résigné,
je décidais donc de consacrer ma vie entière à la véritable défaite. Je
contactai Maître Pascal, et lui fis part de mon désir de devenir
esclave, mais selon une charte bien particulière : je ne voulais pas
d’un jeu sexuel, comme on en fait tous, à petite échelle, pour combler
des moitiés de désir. Il allait devoir m’y forcer, et m’empêcher de
repartir, surtout. M’écraser, me briser, me séquestrer. Là, peut-être,
assouvirais-je mes besoins sexuels.
L’esclavage devait débuter le 5 Janvier 2016. Voici la procédure que nous avions discutée :
J’arrive
chez Maître Pascal avec mes papiers et le moins de vêtements possible.
Dès que j’arrive, il me branche un collier de dressage électrique autour
du cou. Partant de là, toute non obéissance sera punie par une décharge
; il me force à me déshabiller, et jette les quelques vêtements que
j’avais pris. Rasage complet du corps, mise en place d’un plug à clef,
d’une cage de chasteté, moufle – chien à cadenas, pour m’empêcher d’ôter
quoi que ce soit. Puis décrire ma personnalité de perdant sur mon front
et mon torse, au marqueur indélébile, pour m’empêcher de partir en
attendant le tatouage. Enfin, il me force à lui donner mes codes
facebook, yahoo, et diffuse tous ces textes, témoignages et ce qui va
avec auprès de tous mes contacts.

Me voilà en véritable esclavage
à vie, enfin. Là, je suis vaincu, car je ne peux pas revenir en
arrière. Si je ne fais pas ce qu’on me dit, la décharge. Je suis le
premier véritable esclave sexuel, et je me sens serein.

HISTOIRE VÉCUE 5 : RAMPER

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Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au reconditionnement de l’esclave.

Durant mon adolescence, le besoin d’humiliation est monté crescendo avec l’apparition de la libido.
Comme je n’avais personne dans mon entourage pour m’humilier régulièrement – ma cousine était un peu grande pour me marcher encore sur le visage – j’ai longtemps refoulé mes besoins, me contentant de masturbations très régulières. Mais un jour, j’ai craqué, et j’ai trouvé l’audace d’aller m’humilier tout seul, et de superbe manière.

Je devais avoir 14 ans, et j’habitais un petit village Ariègeois, Le Sautel, seul avec ma mère. Tout était entouré de champs, de collines et de forêts. Alors, un week-end, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai décidé d’aller me masturber dans la forêt.

Lorsque je fus bien enfoncé dans le bois, j’ai sorti mon pénis, et j’ai commencé à me masturber. Dans ces moments là, le stress est omniprésent; je tendais l’oreille, voir si personne n’arrivait. J’étais tout seul.
J’aurais dû me contenter d’une simple branlette, mais lorsque je sentis le terrain boueux sous mes chaussures, je n’ai pas résisté. C’était plus fort que moi, comme un besoin impérieux; j’ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et j’ai commencé à marcher pieds nus, dans la boue froide de la forêt.
Puis j’ai enlevé mon haut. Puis le pantalon. Puis, n’y tenant plus, je me suis mis nu, et me suis allongé dans la boue, rampant sur plusieurs mètres. Mon gland complètement sorti frottait sur les herbes et la terre. C’était une sensation délicieuse! Pas seulement physique, mais aussi psychologique: j’avais le sentiment d’être au sommet du plaisir mental. C’était LA, dans cette situation, que je voulais demeurer pour le restant de mes jours. A cet instant, j’aurais dû réfléchir à ce que pareille affirmation disait de ma personnalité et de ma nature profonde, mais j’étais bien trop occupé à m’imaginer tiré en laisse par un groupe de soldats, prisonnier changé en chien humain, rampant derrière ses vainqueurs, décrassant leurs bottes avec ma langue.
Après avoir joui dans la boue, je me suis essuyé avec quelques feuilles, et suis rentré vite fait, honteux et dégouté.

Lorsque je suis rentré, ma mère s’est demandée pourquoi il y avait quelques trace de boue sur mes vêtements. Je lui ai simplement répondu que j’étais tombé. Je ne suis pas sur qu’elle m’ait cru.
Les années qui ont suivies, je suis retourné dans la forêt quelques dizaines de fois, changeant d’endroit, à la recherche des lieux les plus boueux. Je sortais surtout après la pluie, bien sur.

Lorsque je suis arrivé à la fac de Montpellier, en 2012, j’ai habité un an dans un appartement à Montferrier sur Lez, petite commune au nord de la ville. Le fait de vivre seul était une bénédiction, pour une nature de perdant comme la mienne; le village était entouré de petits bois, et si j’ai craint un temps que la végétation du Sud ne soit trop sèche pour reproduire mes dégoutantes expériences, c’était sans compter les travaux du rond point Agropolis. En effet, la ville ayant décidé de construire un nouveau tramway, il y avait à 500 mètres de chez moi, en descendant une longue route entourée de végétation, un grand carrefour de six voies, dominé par un énorme terre plein central. A cette époque, il était donc en travaux, et le gazon avait été remplacé par du sable, de la terre, et des outils de chantier. La lironde, le petit ruisseau qui passait sous l’un des principaux axes routiers, avait été asséché pour l’occasion, et le chantier se poursuivait en d’immenses tracés de glaise aménagée, plantée de petits ponts de bois, de pylônes de cuivres.

Le lit de la rivière était maintenant une grosse étendue de boue profonde et claire.
Aussi, quand je trouvai le temps, j’attendis la nuit, et, prenant soin d’éviter les phares des voitures, je me glissai dans le lit de la rivière asséchée. Là, j’ôtai les trois vêtements que j’avais pris pour l’occasion – anorak, pantalon, chaussures -, les posai à l’entrée de la rivière, et me couchais sur la gadoue.
J’ai rampé sur plus de cent mètre dans le chantier, frottant mon gland contre les gravillons, laissant un tracé profond derrière moi. L’axe routier donnait en plein sur la rivière, et si il avait fait jour, ma séance d’humiliation aurait été visible de chaque conducteur.
Je me suis rapproché du pont où passaient les voitures, trébuchant dans l’eau trouble, m’écorchant sur la végétation rugueuse, et j’ai commencé à me masturber.
Je suis retourné au chantier presque chaque nuit.
Mais au bout d’un moment, j’ai fini par me rendre compte que ça n’était pas la boue qui me plaisait, mais le fait d’être dégradé, d’écraser mon corps nu contre tout ce qu’il y avait de plus sale.

Aussi, à cette époque, et du fait de mes libertés, j’ai commencé à chercher non plus des endroits naturels, mais bien des lieux de civilisation abandonnés. Ça n’était plus la boue qui m’intéressait, mais le béton, les déchets, l’eau croupie. J’ai souvent trouvé mon bonheur sous les ponts entourant le village, quelques clochards y laissant de vieux matelas, et un béton bien crade.

Aujourd’hui, j’ai toujours envie de plus; intérieurement, j’ai besoin de plus. Il me faut des excréments, de l’urine, du cambouis. En réfléchissant à ce que je cherchais exactement, j’ai fini par établir une liste de priorité à mes fantasmes: toilettes publiques, les plus sales possibles. Déchetterie. Carrelage des parkings et des aires d’autoroute. Tout endroit plein de pisse et de merde. Là bas, je veux franchir un cap dans l’humiliation: non plus ramper, mais bien lécher, et m’établir plus encore comme un esclave naturel.

La chance qui m’a été donnée de devenir l’esclave de MAÎTRE PASCAL m’aidera à réaliser ces vœux, j’en suis certain.

HISTOIRE VÉCUE 4 : L’IMAGINATION D’UN ADOLESCENT

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A l’âge de 14 ans, je vivais seul avec ma mère au Sautel, une minuscule commune d’Ariège. Je commençais à accepter mes premières envies d’humiliation, et en avait même pratiqué quelques unes: marcher pieds nus dans la boue, par exemple.

Régulièrement, lorsqu’il était l’heure de me laver, je m’enfermais dans la salle de bain, et répandais une bonne dose de gel douche sur l’émail, au fond de la baignoire. Je me déshabillais, et m’allongeais dedans, rampant, frottant mon pénis contre la paroi gluante. Je m’imaginais être un esclave qu’on aurait séquestré dans une cave glauque et moite, forcé à rester vautré dans des matières dégoutantes  par une lourde chaîne.

Je m’imaginais que mes tortionnaires entraient dans la pièce, à moment donné, et me pissaient dessus. Un jour, j’ai fini par me coucher sur le dos, et à laisser mon pénis uriner, sans me retenir, les mains sur le côté. La pisse m’a aspergé le torse, le visage. J’ai ouvert la bouche pour en recevoir dedans. L’urine s’est mélée au gel gluant sur le fond de la baignoire.
Je me suis remis sur le ventre, et imaginai à nouveau l’un de mes plus gros fantasmes de l’époque, être séquestré dans sa propre urine. Je rampai dans l’urine, et allai jusqu’à lécher les gouttes sur la paroi, m’imaginant y être contraint par mes maîtres.

Je ne savais pas encore que MAÎTRE PASCAL me permettrait de faire de ce fantasme une vérité à plein temps.

HISTOIRE VÉCUE 3 : PREMIÈRE MASTURBATION

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Je me suis masturbé pour la première fois chez ma grand mère, à Carcassonne, à l’âge de 11 ans.
Je dormais seul dans la chambre d’ami, enfoui dans un gros lit, et me passais la vieille cassette de la série Tom Sawyer, celle en image réelle.

Dedans, Tom et Huckleberry Finn partent à la chasse au trésor, et marchent pieds nus dans la terre.
En voyant les deux gamins, leurs habits déchirés, leurs petits pieds nus salis par la terre, mon pénis s’est durci, mon gland est sorti, et j’ai ressenti le besoin de me toucher.

J’ai joui plusieurs fois, sans vraiment savoir ce qui m’arrivait. Mais j’ai adoré l’expérience.
Aussi, les années suivantes, à chaque fois que je retournais chez ma grand mère, je m’enfermais dans la chambre pour regarder la vieille cassette de Tom Sawyer.

HISTOIRE VÉCUE 2 : LES GRANDS VAINCUS DE LA LITTÉRATURE

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J’ai commencé à lire très jeune.
Les personnages aux pieds nus étaient mes préférés.

Au CP, déjà, un petit livre d’image retenait particulièrement mon attention: on y voyait un policier, attaqué par trois voleurs, qui lui arrachaient tous ses vêtements, et le piétinaient en s’enfuyant. Le policier devait reprendre sa traque en slip avec une chaussette. Je ne savais pas encore ce qui me plaisait là dedans, mais j’aimais ça, c’est certain.

Ma sœur s’était fait prêter un tome de Ranma, où l’héroïne combattait un adversaire sur un ring, devant un large public. L’adversaire était bien meilleur qu’elle, et grâce à un clou sous sa chaussure, déchirait les vêtements de Ranma les uns après les autres. Au bout d’un moment, Ranma, défaite, se retrouve totalement nue face à son adversaire, et à la foule en liesse. J’adorais ce passage.
A l’âge de 10 ans, je raffolais particulièrement des récits de mythologie grecque. J’avais l’édition “Contes et légendes de l’Illiade et de l’Odyssée”, un livre de poche ponctué de quelques dessins à la mode grecque antique.
Je me souviens que l’un des passages du livre m’excitait énormément: au cours du combat entre Achille et Hector, le second se prend une raclée mémorable. D’abord, le narrateur racontait l’échec de chacune des tentatives d’Hector pour frapper Achille, et la réussite de chacun des coups de son adversaire. Prenant le point de vue omniscient, il décrivait comment Hector s’affaiblissait, abattu par l’humiliation que lui faisait subir Achille, et portait des coups de plus en plus mou, se résignant peu à peu.
Puis, à cet instant du récit, un soldat d’Achille se glisse derrière Hector et tranche les liens de son armure, qui tombe au sol, révélant son torse. Un autre fait de même pour ses jambières, un autre pour le bas, et très vite, Hector se retrouve désarmé, en pagne face à son pire adversaire, totalement vaincu et humilié, et surtout résigné, offrant son corps à Achille alors que celui ci ne l’avait même pas encore blessé.
A chacune de mes lectures de ce passage, j’avais une grosse érection. Souvent, j’enlevais mes sous vêtements, et je me mettais nu sous mon peignoir, lisant le livre allongé sur mon lit. Je m’imaginais être Hector, et dénouait le noeud de la ceinture du peignoir pour simuler les liens tranchés de l’armure. Puis j’écartais les pans de la veste, pour simuler la chute du plastron. Là, j’étais nu, à la merci de mon ennemi, avec une énorme érection pointant vers le plafond. Je m’imaginais, allongé nu dans la terre, surplombé, par une dizaine d’hommes en armes, Achille écrasant mon pénis en érection sous sa sandale.

Mon père m’a un jour surpris comme ça. Ca a du le choquer, mais il a juste sorti un “Hé alors, Nicolas!”. J’ai ri, et me suis empressé de me rhabiller.

HISTOIRE VÉCUE 1 : ÉCRASÉ PAR MA COUSINE

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Je ne me suis jamais défendu. Je n’en ai pas l’instinct. Lorsqu’on me frappe, ça me rend triste, honteux, j’ai envie de pleurer, mais instinctivement, je me résigne, et reste là, tout mou, me mettant même en meilleure position pour que la personne puisse se défouler autant qu’elle le souhaite.

Mon instinct de soumission ne date pas d’hier.
Lorsque j’avais 7 ou 8 ans, je passais mes vacances chez mon oncle et ma tante, à l’Aiguillon, en Ariège. Une petite maison de campagne, perdue au milieu des champs, meublée à l’ancienne. Ma cousine ayant vingt jours de plus que moi, nous passions la plupart du temps à jouer ensemble.
Elle s’appelle Marlène, et à l’époque, c’était une petite fille très dynamique, gâtée et capricieuse.
Face à moi qui étais déjà timide et soumis, elle tenait lieu d’Alpha, décidant de tout, me reprenant lorsqu’elle n’était pas satisfaite de la tournure des choses, n’hésitant pas à me frapper par pur sadisme, et parce qu’elle savait très bien que je ne rendais pas les coups. Marlène ne se souciait pas de mes émotions. Lorsqu’elle s’intéressait à moi, c’était plutôt comme on s’intéresse à un cobaye; voir ce qu’il se passait si elle m’écrasait telle partie du corps, comment elle pouvait se servir de moi pour obtenir ce qu’elle voulait, jusqu’où elle pouvait me dominer sans que je me défende. J’avais accepté la situation, et je la suivais comme un petit chien.

Ce jour là, c’était les vacances d’été, et on jouait dans le salon, sur le gros fauteuils en tissus gris, très poussiéreux.
Je ne me rappelle pas du jeu, mais on grimpe sur le dossier, comme deux explorateurs, pieds nus, pendant que ma mère et ma tante bavardent à la table en face. Chacun posté sur l’un des gros accoudoirs, on se fait face. Marlène commence à m’embêter avec ses pieds, en me poussant pour me faire tomber, en rigolant. Moi, je ne me défends pas, mais je lui dis d’arrêter, et je me déplace vers le centre du siège pour ne pas chuter. Je me retrouve en dessous de Marlène, restée sur son accoudoir. Voyant cela, elle s’accroche au dossier et commence à me marcher dessus, en rigolant pour donner le change. Elle appuie bien fort, pour m’enfoncer dans le coussin du fauteuil, et je me retrouve écrasé sous elle. A un instant, elle s’arrête, debout sur mon torse, et me lance

“Eh. Regarde moi!”

Je fais l’erreur de lever les yeux vers elle, qui me surplombe entièrement. Ni une ni deux, dès que j’ai révélé mon visage, Marlène pose la plante de son pied bien à plat sur ma figure, et m enfonce le crâne dans le coussin fessier. Percevant le sens très dégradant de ce qu’elle avait fait, elle pèse de tout son poids pour m’enfoncer dans le coussin. Je me souviens de la poussière grise qui était collée à son pied, de l’odeur et de la texture. C’était moite, tiède, et ça sentait le renfermé. J’avais ses orteils crispés sur le front, mon nez enfoui dans sa plante, dont la peau bouchait mes narines, et ma bouche sous sont talon. C’était bien trop lourd pour que je puisse me défendre, alors je me suis contenté de gémir, laissant son pied malaxer mon visage sans même essayer de la repousser. Sans que je me l’avoue, j’aimais un peu ça, et j’aurais voulu rester des heures broyé sous ses pieds. Ça n’était pas tant le pied lui même qui me plaisait, mais le fait d’être humilié, écrasé, sans défense, devant un public. Au bout de trente secondes, comme je ne réagissais pas, Marlène cesse d’appuyer, et, gardant son pied fermement posé sur mon visage vaincu, elle pose les mains sur les hanches, souriante, et appelle sa mère.

“Maman! Regarde!”

Ma tante nous a jeté un bref coup d’œil, et lui a répondu que c’était sale. Puis elle est retournée à sa conversation.
Tacitement, c’était comme si les parents avaient donné leur accord pour que ma cousine continue à m’humilier. Au fond, ça n’était pas pour me déplaire. Alors Marlène est restée debout, jouant à me marcher sur le visage, un pied après l’autre,en rythme, en riant, pendant une bonne dizaine de minutes.