plus soumise de jour en jour

CHAPITRE V

Pour quinze jours, j’allais vivre seule dans ce bel appartement. Mon Amant parti au petit matin, la première journée c’est déroulé dans une grande nonchalance. Je n’ai même pas eu envie de m’habiller. Je suis restée nue sous la longue chemise de nuit en dentelle rouge achetée la veille. Chaque fois que je passais devant une glace, perchée sur mes mules à talon aiguille, je me trouvais très belle.

C’est alors qu’en fouillant dans la bibliothèque j’ai découvert un roman érotique que je ne connaissais pas : HISTOIRE D’O. Je l’ai dévoré, relisant certains chapitres plusieurs fois. Je me voyais dans le pensionnat de Roissy, au milieu de toutes ces jeunes femmes subissant une éducation sévère dans une soumission complète :

? Porter le corset de cuir qui étouffe mais affine la taille. Accepter sans gémir la pose des anneaux ce qui me rappelait la séance d’hier chez le médecin (chapitre précédent). Aller au réfectoire un plug énorme planté dans les fesses en punition, incapable de m’asseoir, obligée de prendre mon repas à genoux, humiliation totale devant mes consoeurs. Enfermée en cellule hurler de douleur sous les coups de fouets infligés par un domestique répugnant. Descendre au salon entièrement nue, subir les attouchements d’inconnus hautains et dominateurs sans avoir le droit de parler, être prise comme une chienne devant tout le monde ?.

A la fin de ma lecture j’étais dans un état d’excitation intense. Je me suis masturbée. Le soir au téléphone j’ai tout raconté à mon Amant, il était ravi.

Mes journées de solitude passaient ainsi dans la nonchalance. Les hormones que je prenais tous les matins commençaient à produire leur effet. Les pointes de mes seins devenaient turgescentes et douloureuses je sentais que ma poitrine enflait. Tous les matins je prenais mon lavement, je voulais être impeccable si mon Amant arrivait à l’improviste. Tous les jours je portais le plug au moins pendant une heure pour éviter que mon petit oeillet se resserre, je n’avais pas envie de supporter à nouveau les douleurs que j’avais enduré le jour de mon dépucelage (chapitre I).

Ayant refait mon pansement dans l’entrejambe, la petite incision était déjà cicatrisée, je pouvais maintenant mettre une culotte et un pantalon. Au troisième jour j’ai décidé de m’habiller et de sortir. Pour la première fois j’allais me promener seule dans ma nouvelle apparence, j’étais maintenant une fille. Mon Amant toujours généreux m’avait laissé beaucoup d’argent. J’ai pris plaisir à faire quelques achats féminins, chaussures, ceinture, sac à mains. Je suis allée au restaurant puis au cinéma. Plusieurs hommes ont cherché à me draguer, j’en étais très fière mais je savais que je ne devais pas céder. Il me fallait attendre samedi où j’avais rendez-vous avec le médecin et les vendeurs de prêt-à-porter et là j’avais ordre de mon Amant, mon Maître de tout accepter d’eux.

Enfin ce samedi tant attendu est arrivé. C’était le printemps, il faisait très beau. Après beaucoup d’hésitations sur ma tenue, finalement j’ai décidé de mettre un string noir en dentelle, un pantalon assez moulant, un chemisier de soie qui mettait en valeur ma poitrine naissante et bien sur mes talons aiguilles.

Quand je suis arrivée chez le médecin la salle d’attente était pleine, il m’a reçu sans trop me faire attendre, toujours aussi courtois :

– bonjour ma petite Florence, comment allez vous ? J’espère que ma petite intervention de samedi dernier ne vous a pas fait trop souffrir. Je vous ai fait passer avant mes autres patients, vous devez avoir hâte d’être débarrassée de ce pansement qui encombre votre entrejambes. Veuillez vous déshabiller et allongez vous sur la table de soin.

– merci docteur, mais en réalité je n’ai vraiment un peu souffert que le premier jour. Le seul problème est que je ne pouvais supporter ni culotte ni pantalon et je n’osais pas sortir seule en minijupe sans rien en dessous.

– il vous fallait oser Florence, je suis sur que votre Maître vous aurait ordonné de le faire s’il avait été là.

Pendant qu’il parlait, je m’étais déshabillée et allongée sur la table de soins jambes écartées. Je n’ai ressenti qu’un léger picotement quand il m’a enlevé les points de suture.

– c’est parfait et maintenant vous voyez d’une main vous entrouvrez l’anneau, de l’autre vous y enfilez votre petite queue et l’anneau se resserre en arrière du gland, comme je viens de le faire. Vous pouvez vous relever Florence et regardez vous dans la glace, vous êtes une fille.

– oh merci docteur ! maintenant je pourrais me mettre en maillot de bains et sortir en minijupe sans culotte si mon Maître me l’impose.

– Je vois que vos seins commencent à pousser Florence, le traitement me parait efficace. Malheureusement je n’ai pas le temps de vous ausculter en détail et de m’occuper de vous ce matin, il y a trop de clients qui attendent. Revenez mercredi prochain à cinq heures nous serons tranquilles.

Je suis repartie un peu déçue, j’avais tellement envie d’être à nouveau enculée par ce bel homme qui m’impressionnait. Il me restait, en consolation, le rendez vous pour essayage chez les vendeurs de prêt-à-porter.

Quand je suis arrivée au magasin les deux amis étaient là. Comme me l’avait expliqué mon Amant, ils vivaient en couple. Pierre le plus âgé était l’actif, Gerald bien plus jeune était le passif. Il y avait beaucoup de clientes dans le magasin et j’ai vite compris que là aussi une déception m’attendait. Ils ne pourraient pas ? s’occuper de moi ? comme samedi dernier. Gerald m’a conduit vers une cabine d’essayage où je me suis déshabillée devant lui. Il a trouvé mon petit string noir charmant mais je l’ai enlevé, voulant lui montrer l’anneau qui maintenait ma petite queue. Il était admiratif et a fait venir Pierre qui lui aussi s’est montré enthousiaste. Je leurs ai expliqué que maintenant je n’étais plus Ysan mais Florence , ainsi en avait décidé mon Maître. Ils ont trouvé son idée géniale. Les essayages ont été rapides, les retouches parfaites, mais ces deux hommes adorables m’avaient mis dans un état d’excitation intense, ils l’ont bien compris, c’est Pierre qui a parlé :

– avec tout ce monde quel dommage Florence que nous ne puissions pas nous occuper de vous comme la semaine dernière, mais vous n’allez pas pouvoir emporter tous ces paquets on vous les livrera nous même ce soir.

– excellente idée mes amis je vous attend ce soir pour prendre l’apéritif.

Et je suis repartie avec l’espoir d’une soirée amoureuse excitante. J’ai vite téléphoné à mon Maître pour lui demander la permission de recevoir ses deux amis. Il était ravi et m’a imposé la tenue que je devais porter pour la circonstance: le long déshabillé en dentelle noire acheté chez eux ? cela leur fera plaisir ? et en dessous uniquement le serre taille porte jarretelles en satin noir des soirées de ?dressage?(chapitre II), bas noirs et escarpins.

Dès le milieu de l’après midi j’a commencé à me préparer. Lavement, un peu de crème autour de mon oeillet, petite séance de plug pour être bien ouverte puis je me suis habillée. Attente voluptueuse avant d’être livrée à ces deux hommes. En arrivant ils m’ont complimenté sur l’érotisme de ma tenue, je faisais la belle devant eux. Pendant que je servais l’apéritif Gerald s’intéressait à ma petite queue prise dans son anneau pendant que Pierre pelotait ma poitrine naissante et pinçait mes pointes de seins douloureuses. Dans la souffrance je gémissais de plaisir. Ils n’ont pas tardé à se déshabiller et pendant qu’ils sirotaient leur apéritif, moi, à genoux je passais de l’un à l’autre pour les sucer.

Nous n’avons pas tardé à nous diriger vers la chambre et c’est Pierre qui a organisé nos jeux amoureux. Il a demandé à Gerald de s’allonger sur le lit et après avoir libéré ma petite queue de son anneau, je me suis placée sur lui tête aux pieds. Ainsi nous avons commencé à nous pomper réciproquement. Dans cette position, ma croupe bien cambrée laissait mon petit trou offert à qui voulait le prendre. Sans tarder Pierre m’a embrochée et par ses coups saccadés rythmait notre jouissance. Nous avons fais durer le plaisir pour éjaculer tous les trois en même temps. Mes amis sont repartis ravis moi je restais un peu frustrée, il me manquait la violence de mon Maître, une soumission à toutes ses volontés, la jouissance dans la douleur et l’humiliation. Le soir même au téléphone je le lui ai dit :

– Florence je te comprends, tu ais faite pour trouver ton plaisir dans la souffrance. Demain soir je te téléphonerai et là il te faudra te soumettre à ma volonté. Il te faudra attendre mon appel entièrement nue et n’oublie pas de bien préparer ton petit trou comme si j’allais t’enculer. Dors bien ma petite Florence et rendez vous demain soir à vingt heures au téléphone.

J’ai passé toute la journée du lendemain dans l’excitation et l’angoisse. Qu’allait me demander mon Maître ? A vingt heures précises j’étais nue et pantelante, debout dans notre chambre attendant son appel :

– bonsoir Florence es-tu prête ?

– oui mon chéri, j’attendais ton appel

– il me tarde de voir ta petite queue fixée dans son anneau, et tes seins ont-ils poussé sous l’effet des hormones ?

– oui mon chéri, le résultat est formidable j’ai maintenant de petits seins en forme de pomme et des boutons turgescents très sensibles.

– Florence tu m’excites, je veux me branler en t’entendant jouir. Vas chercher le gode dans le tiroir de la commode.

– Mais mon chéri il est énorme, bien plus gros que celui que tu m’avais fait prendre la dernière fois. Jamais je ne pourrais enfiler un tel engin dans mon petit trou.

– Florence tu dois m’obéir, ce gode est au diamètre de six et souviens toi de ce qu’a dit le médecin, tu peux le supporter. Encule toi à quatre pattes sur le tapis !

– oui mon chéri, je t’obéis mais j’ai mal, terriblement mal, je n’arrive pas à forcer ma rondelle.

– insiste Florence tu dois y arriver et mets la vibration en marche, je veux l’entendre.

– oh oui il est rentré !! je souffre mon chéri mais je jouis c’est bon, c’est bon !

– fais comme moi Florence, branle toi, nous allons jouir ensemble.

– je jouis je jouis mon chéri je vais décharger

– mois aussi Florence c’est délicieux, je gicle, imagine que tu prends tout mon sperme dans la bouche.

J’étais épuisée, meurtrie mais comblée, nous venions de faire l’amour par téléphone. Mon Maître était très amoureux de moi.

Le lendemain, mercredi tant attendu, j’avais rendez vous avec le médecin en fin d’après midi. Longtemps j’ai réfléchi pour choisir ma tenue. Finalement j’ai opté pour un petit boxer en soie rose, son caraco assorti, une minijupe et un top très moulant sous lequel pointaient mes petits seins maintenant bien formés. Perchée sur mes talons aiguilles je me trouvais très sexy. Je voulais absolument séduire cet homme que j’admirais, je voulais qu’il m’encule comme le jour de ma première visite.

Quand je suis arrivée, il n’y avait personne dans la salle d’attente. Le médecin m’attendait, il m’a fait entrer dans son bureau :

– bonjour ma petite Florence, vous êtes de plus en plus belle et votre tenue est particulièrement excitante.

– oh merci docteur, je suis contente de vous plaire, enculez moi tout de suite, j’ai tellement envie de sentir à nouveau votre longue bite fouiller au plus profond de mon ventre.

– Florence ce langage ordurier est indigne de vous, vous parlez comme une prostituée de bas étage et puis ce n’est pas à vous de demander ce qui vous plairait. Vous êtes à la disposition de votre maître et des amants qu’il vous choisit. Eux seuls décident comment vous utiliser.

– docteur, je vous demande pardon, à l’avenir je serai toujours très soumise et je parlerai correctement.

– Vos excuses ne me suffisent pas Florence, les petites filles mal élevées et désobéissantes doivent être punies. Déshabillez vous !

J’avais perdu ma belle assurance et c’est en pleurant que je retirais mes vêtements. Lui aussi s’est déshabillé, nu il était encore plus beau. Il s’est assis sur le canapé et d’un geste violent m’a attiré sur lui, j’étais à plat ventre sur ses genoux. J’ai compris ce qui m’attendait : la fessée. Ses larges mains, de véritables battoirs martelaient ma croupe à vive cadence. Je pleurais, je gémissais, mes fesses étaient en feu :

– Florence, je taperais tant que vous ne m’aurais pas énuméré tous les mots à bannir de votre langage. Ce que vous devez dire et quel doit être votre comportement

– j’ai bien compris docteur, il ne me faut pas dire enculer mais sodomiser, il ne me faut pas prononcer le mot bite mais parler de sexe, de verge ou de pénis. Et puis je dois rester entièrement soumise aux amants que me choisit mon Maître eux seuls décident de l’utilisation de mon corps. Pitié docteur, j’ai les fesses en feu !!

– bon, j’espère que vous avez compris, mais votre punition n’est pas finie. Vous vouliez avoir ma longue verge au plus profond de vous-même et bien vous allez l’avoir mais pas comme vous le souhaitiez.

Il s’est levé et m’a fait agenouiller devant lui, mon supplice n’était pas fini. Dès que j’ai eu son sexe en bouche par une violente poussée sur ma nuque il l’a enfoncé au plus profonde de ma gorge. J’avais des hauts le coeur et je m’étouffais. Les mouvements de vas et vient qu’il imprimait à ma tête accentuaient ma souffrance. Quand il s’est retiré, j’étais au bord de l’asphyxie.

– maintenant Florence mettez vous en levrette au bout du canapé je vais vous sodomiser parce que c’est moi qui en ai envie.

Quand il s’est approché de moi j’ai pris en main la hampe de son sexe pour bien diriger son gland sur mon petit oeillet qui attendait cette pénétration. Je n’avais pas oublié ses reproches de la semaine dernière (chapitre IV)

– c’est bien Florence, vous avez retenu la leçon maintenant nous allons jouir ensemble, la punition est terminée vous avez mérité un bel orgasme.

Nous avons joui dans un ensemble parfait. J’ai eu droit à un long baiser profond pendant qu’il caressait mes seins. Il était satisfait du traitement aux hormones et rendez vous fut pris pour la semaine suivante.

Malgré ma croupe en feu, j’avais envie de faire les boutiques. Je savais maintenant me comporter en femme dans les magasins pour choisir vêtements, chaussures ou lingerie. J’ai fais tellement d’achats qu’il m’a fallu prendre un taxi pour rentrer. Le chauffeur était un gros bonhomme assez répugnant et dégageant une odeur nauséabonde.

Quand nous sommes arrivés il a voulu me porter les paquets jusqu’à l’appartement mais une fois le seuil franchi il a refermé la porte et s’est collé contre moi pour m’embrasser :

– maintenant, ma petite dame vous allez me payer la course gentiment.

– mais monsieur, je ne suis pas une fille, je suis un garçon.

– Je m’en fous salope, c’est ton cul qui m’intéresse. Il ne te fallait pas me le montrer sous ta minijupe quand tu ais monté dans le taxi. Maintenant prends la position ou je cogne.

Il a accompagné son propos d’une paire de gifles à me décrocher la mâchoire. Je savais que je ne pourrais pas résister à ce monstre et puis, au fond, j’avais très envie de me soumettre à ses violences. De moi-même j’ai enlevé ma petite culotte, ce sauvage me l’aurait déchirée. Courbée en deux, me tenant à la commode de l’entrée je lui ai présenté ma croupe sans rien dire. Il avait déjà sorti sa queue un engin énorme comparable au gode que j’avais pris la veille. Il m’a forcée d’un coup de rein violent et a déchargé très vite. Moi j’ai réalisé que je trouvais ma jouissance dans une soumission complète à ce monstre répugnant.

Le soir au téléphone, j’ai tout raconté à mon Maître. Il m’a grondé pour mon comportement chez le médecin et m’a félicité pour ma soumission à ce chauffeur de taxi répugnant. Maintenant il ne me restait plus que deux jours à attendre son arrivée. J’avais de plus en plus besoin de lui.

encore plus pour la petite soumise

CHAPITRE IV

Epuisé par nos jouissances multiples de la soirée, je me suis vite endormi dans les bras de mon Amant. Le lendemain au réveil, c’était donc un samedi, il m’a annoncé le programme de la journée. En fin de matinée nous avions rendez-vous dans un grand magasin de prêt-à-porter pour choisir des vêtements ? qui correspondent à ma vraie nature ? et l’après-midi nous irions voir un médecin ? qui avait des solutions pour développer ma féminité?.

J’étais un peu inquiet par ces propos obscurs d’autant que je savais, depuis la veille, qu’à l’avenir il me faudrait toujours porter des sous-vêtements féminins et j’en avais maintenant un petit stock à ma disposition (voir chapitre précédent). Mon Amant était lui particulièrement calme et décontracté. Il est entré dans la salle de bain quand j’étais sous la douche. Il était nu mais sa queue ne manifestait pas le moindre signe d’érection. Toujours sous la douche, je l’ai provoqué lui présentant ma croupe, ondulant des hanches, caressant mes seins.

Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il se mette à bander, j’étais fier de l’avoir excité. J’allais enfiler un peignoir et le conduire vers notre chambre, il ne m’a pas laissé faire. Sans un mot il m’a plaqué debout face contre le mur et s’est collé contre moi. Heureusement j’avais pris mon lavement avant la douche et bien crémé mon petit trou. J’allais être enculé dans cette position inconfortable. En vraie petite pute en chaleur je cambrais les reins pour mieux lui offrir mes fesses et faciliter son intromission. Je savais que j’allais souffrir, mais peu importe j’avais trop envie de sa bite.

D’un seul coup de reins puissant il m’a embroché jusqu’à la garde. Je hurlais de douleur, mais très vite mes cris se sont transformés en gémissements de plaisir qui se mêlaient aux rugissements de sa jouissance. Il me pétrissait rageusement les seins, me mordait violemment dans le cou. A chacun de ses coups de butoir il me soulevait. Mes pieds ne touchaient plus terre, plaqué contre le mur, je ne tenais debout qu’embroché sur cette bite énorme. Moi au physique très féminin, frêle et menu, je n’imaginais pas que je pourrais trouver ma jouissance dans des assauts aussi puissants et douloureux et pourtant quand il s’est vidé dans mon ventre tout mon corps a été parcouru de spasmes violents, une nouvelle fois j’ai eu un orgasme de fille.

Quand nous avons retrouvé notre calme j’étais délicieusement meurtri, mon Amant lui était épuisé et pourtant nous n’avions pas de temps à perdre pour arriver avant midi au magasin de prêt-à-porter.

– habille toi vite Ysan, nous n’avons pas de temps à perdre. Tu mettras ton petit boxer et le caraco en soie rose, un jean, un tee-shirt et les escarpins noirs.

Depuis la veille je savais que je ne devais plus porter que des dessous féminins, mais les escarpins me surprenaient davantage, jusqu’alors je ne les avais mis que dans l’intimité, pour exciter et charmer mon Amant. J’ai pourtant obéi sans rien dire.

Nous sommes arrivés à destination en fin de matinée. Les propriétaires des lieux nous attendaient sur le pas de la porte. C’étaient deux hommes très élégants et fort courtois, l’un avait une quarantaine d’années l’autre paraissait beaucoup plus jeune. Mon Amant les connaissait depuis longtemps, il m’avait expliqué qu’ils vivaient en couple. Dès notre arrivée ils ont fermé le magasin ? pour pouvoir s’occuper tranquillement de nous ?. Ce magasin était vaste, confortable et bien achalandé, mais j’ai eu vite vu qu’il n’y avait que des vêtements féminins. Les formules de bien venue échangées, mon Amant a entrepris de parcourir les rayons, faisant un premier choix et j’ai compris que je n’avais pas mon mot à dire. J’attendais patiemment jusqu’au moment où il m’a demandé de me déshabiller pour les essayages. J’allais me diriger vers la cabine :

– Ysan, je t’en prie pas de fausse pudeur, déshabille toi ici, je veux que mes amis te voient et puissent me conseiller.

J’ai obéi en rougissant. Tee-shirt et jean enlevés, j’ai remis mes escarpins et me suis retrouvé debout en petite culotte rose et caraco devant ces deux hommes que je ne connaissais pratiquement pas. Ils me jaugeaient, j’étais pour eux un charmant petit animal, une poupée qu’ils allaient s’amuser à habiller et les commentaires adressés à mon Amant ne se sont pas fait attendre :

– cher ami, toutes nos félicitations, vous avez trouvé là un éphèbe androgyne d’une rare beauté. Il doit le savoir ce petit Ysan qu’il est superbe.

– malgré sa petite taille, il a de longues jambes admirables, la cambrure de ses reins, la rondeur de sa croupe sont parfaites, il pourra porter avec beaucoup d’élégance des pantalons très moulants style corsaire par exemple.

– et quel grain de peau admirable, aucune pilosité, un corps fait pour être caressé. Les petits débardeurs à fines bretelles que vous avez choisi mettront en valeur la grâce de ses épaules, la finesse de son cou, mais il nous faudra coudre de faux seins à l’intérieur pour que l’harmonie soit parfaite.

– inutile mes amis, j’ai acheté des faux seins très astucieux que l’on fixe par une pince à sein intérieure. Cela le fera souffrir un peu, mais elle adore cette petite vicieuse

Ainsi l’essayage c’est poursuivi pendant longtemps. Les deux vendeurs virevoltaient autour de moi, tous les prétextes étaient bons pour me caresser les fesses ou les seins. Mon Maître impassible regardait et choisissait: pantalons, chemisiers, vestes et paletots, escarpins et bottes et même deux minijupes qui parait-il ? m’allaient à ravir ?, je me demandais bien à quelle occasion je pourrais les porter.

A une question de mon Maître, ils on répondu qu’en matière de lingerie ils n’avaient que des chemises de nuit et des déshabilles :

– si Ysan veut bien venir dans le petit salon, nous lui ferons essayer des modèles qui ont beaucoup de charme.

– Ysan, pour essayer de la lingerie enlève ton caraco et ta culotte.

– mon chéri tu veux que je sois entièrement nu devant ces messieurs ?

– Ysan c’est un ordre !

Tout rougissant, je me suis exécuté. Le plus jeune des vendeurs s’intéressait beaucoup à mon pubis sans aucune pilosité et cherchait à comprendre comment je dissimulais ma petite queue dans l’entre jambes. Il m’a fait essayer une superbe chemise de nuit toute en frous-frous et dentelles transparentes elle descendait jusqu’au sol mais était fendue jusqu’à la taille. J’ai enfilé le déshabillé assorti et des mules aux talons vertigineux.

J’allais et venais ondulant de la croupe, faisant la belle devant ces trois hommes manifestement très excités par ma tenue érotique. Mon Maître a choisi l’ensemble rouge que je portais et un modèle noir identique. Les achats étaient terminés, il s’est alors approché de moi et m’a obligé à me plier en deux, je me tenais en équilibre instable les mains appuyées sur une chaise. D’un geste brusque il a relevé ma longue chemise de nuit, offrant ma croupe dénudée à la vue de tous :

– mes amis, Ysan a tout fait pour vous exciter, à lui maintenant de vous satisfaire, son petit cul et sa bouche sont à votre disposition, moi je vais fumer une cigarette dehors.

Ainsi mon Amant m’offrait à ses amis. Pour la première fois j’allais être enculé par des hommes autres que lui. Dans la position où j’étais je n’ai même pas vu que le plus âgé avait immédiatement sorti sa queue. J’ai senti son gland pointé sur ma rondelle. La pénétration s’est faite sans douleur, il avait un sexe bien modeste par rapport à celui que j’avais maintenant l’habitude de prendre. Mon sodomisateur accompagnait ses va et vient réguliers de halètements sonores. J’étais satisfait de sentir qu’il prenait son pied, mais pour moi le plaisir n’était pas intense, aucun rapport avec ma jouissance douloureuse au matin dans la salle de bain sous les coups de butoirs de mon Amant, mon Maître.

Le plus jeune nous regardait, mais son excitation était telle qu’il n’a pas pu attendre son tour. Il avait une toute petite queue, comparable à la mienne. Il me l’a mise en bouche enfoncée jusqu’ la garde sans que je risque de m’étouffer. Je le suçais consciencieusement, il poussait des gémissements de plaisir. Dans la position inconfortable où je me trouvais les deux amis eux étaient debout, face à face, ils se parlaient, commentaient leur jouissance. Moi je n’étais qu’un objet sexuel à leur disposition. Ils ont déchargé avec un ensemble parfait et j’ai tout avalé. Quand mon Maître est entré, c’est lui qu’ils ont remercié et non moi.

Il fallait maintenant m’habiller. Tous les trois étaient du même avis, avec tout le vestiaire acheté par mon Maître, il était hors de question que je sorte du magasin en garçon. J’ai compris que pour la première fois j’allais devoir circuler en ville habillé en fille. La discussion a été plus longue sur le choix de ma tenue, finalement ils ont opté pour un pantalon très moulant en lin grège qui ? mettait ma croupe en valeur ?, un chemisier en soie et à jabot qui ? dissimulait mon absence de poitrine ?, une large ceinture de cuir havane pour ? accentuer la cambrure de mes reins ?, des escarpins à talons aiguilles assortis et pour terminer un blouson de daim. Ils m’ont noué un foulard coloré autour du cou pour dissimuler les morsures du matin. Enfin ils se sont bien amusés à me maquiller du noir aux yeux, du rouge aux lèvres et ils m’ont offert des boucles d’oreilles : deux grands anneaux de gitane. Me regardant dans la glace, je me suis trouvé très belle et mon Amant paraissait ravi de ma transformation.

Mon vestiaire de fille remplissait la malle de la voiture et encore il n’y avait pas tout. Certains vêtements demandaient quelques retouches, rendez vous fut pris pour le samedi suivant. C’était l’heure du déjeuner, mon Amant me conduisit dans une grande brasserie du quartier. Il y avait beaucoup de monde, quand j’ai traversé la salle en ondulant discrètement des hanches j’ai bien vu que tous les hommes me suivaient du regard. Je commençais à prendre conscience de mon pouvoir de séduction.

Selon sa formule habituelle qui avait le don de m’exaspérer mon Amant m’a conseillé de prendre un whisky puisque ? je devais avoir la bouche pâteuse ?. La commande du repas passée, il m’a longuement parlé :

– Ysan tu as vu que tous les hommes sont sensibles à ton charme, mais ton prénom n’est plus adapté à ta nouvelle vie. J’ai décidé que dorénavant tu t’appelais Florence et j’exige que tu parles toujours de toi au féminin.

– mon chéri le prénom que tu as choisi me plait beaucoup, dans l’intimité tu m’appellera Flo, j’adore. Maintenant je suis ta maîtresse soumise et j’en suis ravie, mais il est impossible que je revienne aux beaux-arts. Je veux bien porter des dessous féminins, mais habillé complètement en fille, c’est impossible

– effectivement il y a là un petit problème. Il reste un trimestre et je ne veux pas que tu rates ta dernière année et ton diplôme. Pour l’instant c’est le début des vacances de Pâques tu restes chez moi, ensuite pour le dernier trimestre et bien tu seras Ysan en semaine et Florence le week-end. Ensuite nous vivrons ensemble, je te le promets.

Ainsi en avait décidé mon Maître, je n’avais plus qu’a obéir. Le repas c’est poursuivi dans une conversation passionnante sur l’art. Je buvais ses paroles, mais il restait encore un rendez-vous important pour l’après midi avec ce mystérieux médecin.

Nous sommes arrivés à l’heure prévue, il n’y avait que nous dans la salle d’attente. Il ne nous a pas fait attendre. Le médecin était un homme d’une cinquantaine d’années grand, mince, élégant, beaucoup de classe :

– bonjour cher ami, content de te voir, voici donc le jeune Ysan dont tu m’as parlé.

– je m’excuse docteur, mais je ne m’appelle plus Ysan, mon Maître a décidé que maintenant j’étais Florence.

– Votre maître a eu raison, voilà un prénom qui convient parfaitement à votre charmante nature. Veuillez vous déshabiller Florence que je puisse vous ausculter.

Mon trouble était grand à l’idée de me retrouver nue devant un si bel homme qui m’impressionnait. Le pantalon de lin et le chemisier ont vite été retirés. J’ai rechaussé mes escarpins et j’attendais debout, dans mes sous-vêtements de soie rose. J’ai bien vu que le médecin n’était pas indifférent à mon charme, mais sa réplique a été vive :

– vous êtes très belle Florence, mais ici ce n’est pas un concours de beauté, je veux vous ausculter, déshabillez vous complètement.

Je suis devenue écarlate et me suis exécutée rapidement. Je n’avais gardé que le foulard multicolore noué autour du cou. Il s’est approché de moi et a dénoué mon foulard qui dissimulait les morsures du matin :

– oh ! Florence vous avez été traitée sévèrement par votre maître, aviez-vous mérité une punition ?

– non docteur, c’est moi qui l’avais excité et il m’a prise violemment.

– c’est intéressant ce que vous dites là, racontez moi tout en détail.

– mais docteur je n’ose pas.

– Florence je suis votre médecin, il me faut tout savoir de vous. Votre maître est là pour vérifier si vous dites la vérité, parlez !

– j’étais sous la douche quand mon Maître est entré nu dans la salle de bain. J’ai voulu l’exciter en me caressant les fesses devant lui. Le résultat a été probant, il m’a plaquée debout face contre le mur et m’a prise violemment. Ses coups de butoir me soulevaient du sol, il me pinçait les seins, me mordait le cou. Ma jouissance était douloureuse, mais tout mon corps était parcouru de spasmes et j’ai eu un orgasme au moment où il se vidait dans mon ventre.

– tout ceci est très intéressant Florence, mais cette position était particulièrement inconfortable pour votre amant, avez-vous su l’aider au moment de la pénétration ?

– je cambrais les reins au maximum pour lui présenter mes fesses au bon niveau.

– C’est insuffisant Florence, il vous fallait prendre en main son pénis et le pointer sur votre anus. Pensez y à l’avenir.

Pendant que je parlais le médecin avait passé sa main dans mon entrejambes et décollé délicatement l’adhésif qui maintenait ma petite queue, je n’ai pas pu me retenir, j’ai eu une érection :

– nous allons trouver une autre solution pour dissimuler votre charmant petit sexe, Florence, cet adhésif va vous irriter la peau ces serait dommage. Je constate aussi que vous n’avez ni bourses ni testicules, avez-vous été opérée ?

– non docteur je suis ainsi faite de naissance (chapitre II)

– c’est encore mieux et je comprends maintenant votre absence complète de système pileux, votre taille fine et la rondeur féminine de votre croupe.

Tout en parlant il était passé derrière moi et c’était collé contre mon dos. Je sentais son sexe en érection sur mes fesses et cela me rappelait le comportement de mon Maître pendant les cours de dessin (chapitre I) Ses bras passant au dessus de mes épaules il a commencé à palper mes seins, tout en faisant des commentaires pour mon Maître:

– la prédisposition de sa poitrine est parfaite. Avec un traitement aux hormones on va pouvoir lui faire des seins de jeune fille. Vous aurez trois pilules à prendre tous les matins, Florence, et il faudra venir me voir tous les quinze jours pour régler le dosage en fonction de l’évolution. Maintenant montez sur la table de soins, mettez vous à quatre pattes et présentez moi vos fesses.

J’étais très excitée de me retrouver dans cette position de soumission humiliante devant ce bel homme qui m’impressionnait. Il a enfilé un gant, m’a pénétrée délicatement avec deux doigts et fouillait mon fondement tout en faisant ses commentaires adressés à mon Maître:

– elle a un sphincter extraordinairement souple. Tu m’as dit l’avoir dépucelée il y a quinze jours seulement, moi qui sais comment tu es monté, elle a du te sentir passer, mais elle n’est absolument pas déchirée, félicitations l’ami ! Je vais lui mettre un écarteur pour savoir jusqu’où elle peut aller

Le médecin m’a alors introduit une sorte de god en caoutchouc relié à un gonfleur. Sous l’effet de la pression je sentais ma petite rondelle se distendre de plus en plus douloureusement :

– pitié ! pitié docteur ! arrêtez cet instrument de torture, je ne veux pas être déchirée.

– nous sommes quand même arrivés au diamètre de six. Florence vous avez beaucoup de chance, vous pourrez prendre les plus beaux membres sans aucun danger. Pour en finir je voudrais connaître exactement votre forme de jouissance, les spasmes dont vous m’avez parlé me surprennent. Ami verrais tu un inconvénient à ce que je la sodomise.

– je t’en prie, elle est à toi. Je vais fumer une cigarette dans le jardin.

Pour la deuxième fois de la journée, mon Maître me livrait à un autre homme. J’allais être enculée par ce médecin qui m’intimidait tant. Il est allé s’asseoir derrière son bureau et a sorti sa queue :

– Florence venez me préparer.

Il avait une bite moins large que celle de mon Maître, mais d’une longueur surprenante et déjà en pleine érection. Je me suis agenouillée entre ses jambes, m’appliquant bien pour sucer son gland tout en caressant des deux mains sa longue hampe. Il semblait ravi :

– c’est bien Florence, maintenant allez vous mettre en levrette au bord du canapé.

Je me suis empressée d’aller prendre la position, il s’est placé debout derrière moi et m’a pénétrée sans douleur mais après avoir un peu cherché mon trou :

– Florence c’était à vous de prendre mon sexe en main et de le guider, vous n’avez pas retenu ce que je vous ai dit tout à l’heure.

– je m’excuse docteur.

Cette bite d’une longueur impressionnante fouillait mon ventre en profondeur, elle me tringlait, me limait au rythme de mes gémissements. Quand j’ai ressenti les premiers spasmes de la jouissance, mon sodomisateur me tenant fermement par les hanches a su activer les mouvements et attendre mes derniers soubresauts pour décharger violemment. Je n’avais jamais eu une jouissance aussi complète. Il a attendu le retour de mon Maître pour faire ces commentaires :

– cette petite Florence est surprenante elle vient d’avoir un orgasme de femme. Tu as beaucoup de chance ami, c’est très intéressant pour le partenaire. Mais lui arrive-t-il d’éjaculer ?

– elle est très vicieuse, elle aime bien aussi que je la branle tout en la sodomisant.

– tout ceci est parfait, je vais te donner des pilules qu’elle devra prendre tous les matins pour développer ses seins et il reste le petit problème de la dissimulation de son sexe. Je te propose de lui fixer dans l’entrejambe, par deux points de suture ce petit anneau extensible.

Mon Maître ayant donné son accord j’ai du m’allonger sur la table de soins, jambes écartées, pour subir la petite intervention qui fut rapide et peu douloureuse. Je me suis relevée avec un pansement dans l’entrejambe :

– Florence vous reviendrais me voir dans huit jours, je vous enlèverai les points et vous montrerai comment fixer votre petit sexe. Pour l’instant il est hors de question que vous remettiez votre pantalon très moulant et votre culotte, ils vont déplacer le pansement. Ami, il faut trouver une autre solution.

– pas de problème, ce matin nous avons fait des achats, je vais chercher une minijupe dans la voiture.

Ces minijupes achetées le matin ! Je ne pensais pas que j’en porterai une le jour même et en plus sans culotte. En voiture mes fesses au contact direct du cuir du siège me procuraient une excitation nouvelle.

Arrivés chez nous, j’avais un peu mal. Mon Maître a voulu que j’aille au lit. Toute la soirée il m’a dorlotée comme un bébé. Lui souvent si sévère, je ne l’avais jamais vu aussi doux et attentionné. Il a dormi près de moi, mais ne m’a pas touchée de la nuit.

Je savais qu’au matin il devait partir en province organiser une exposition de peinture pendant les quinze jours des vacances de Pâques. Avec mon pansement dans l’entrejambe et l’obligation de revoir le médecin il était impossible que je l’accompagne. Croyant que je dormais, il s’est levé sans faire de bruit. Je suis allée le rejoindre dans la salle de bain et me suis agenouillée pour le sucer amoureusement. Il a joui très vite et j’ai avalé son sperme sans le moindre haut le coeur.

– tu es adorable Florence, je te téléphonerai tous les soirs, mais maintenant il me faut partir.

Ainsi pendant quinze jours j’allais vivre seule dans le bel appartement de mon Amant, mon Maître. Je n’étais plus Ysan, j’étais Florence, une vie nouvelle commençait pour moi.

Encore plus de soumission et de transformation

CHAPITRE III

Un peu fatigués par cette folle nuit d’amour, au petit matin nous sommes partis ensemble vers les beaux-arts. A l’angle d’une rue il m’a longuement embrassé :

– Ysan, ce soir tu vas rentrer chez toi pour bien te reposer, tu dois être un peu fatigué. Demain c’est vendredi, sois chez moi à cinq heures, comme hier, nous passerons tout le week-end ensemble.

– c’est toi qui décides, mon chéri, demain à cinq heures je serai là. Je t’aime

Je me suis hissé sur la pointe des pieds pour le prendre par le cou et l’embrasser sur la bouche en pleine rue. Nous sommes entrés à l’Ecole par des portes différentes.

Le soir venu, seul dans ma chambre d’étudiant j’ai mesuré le chemin parcouru en bien peu de temps. Il y a deux jours mon petit cul était encore vierge. Maintenant mon Maître est devenu mon Amant. Sans tarder il a entrepris mon éducation amoureuse, ma féminisation, mon dressage: humiliation verbale ?traînée, salope, petite pute en chaleur………?, obligation de porter une lingerie féminine particulièrement érotique, jouissance dans la douleur, les pinces à seins, les coups de cravache, son gland qui force mon petit oeillet sans ménagement. Dans une soumission exquise j’ai subi tous ces sévices avec délectation. Telle est ma nature. J’attends avec impatience le week-end que nous allons passer ensemble.

Vendredi à cinq heures précises je sonnais à sa porte avec l’angoisse délicieuse d’une jeune pucelle allant à son premier rendez-vous. Mon Amant m’attendais. Il était nu sous un élégant kimono. Quand il m’a serré contre lui j’ai senti sa verge en érection, je n’ai pas pu me retenir de la caresser. Je mourrai d’envie de m’agenouiller et de prendre en bouche ce sexe magnifique, mais je me suis maîtrisé :

– il faut que j’aille à la salle de bain mon chéri.

– C’est bien Ysan tu as retenu ma leçon. Je t’ai acheté les sous-vêtements que maintenant tu devras porter en permanence. Tu peux choisir pour ce soir, mais en venant me rejoindre apporte les autres, je veux que tu les essayes tous devant moi. Je t’attends au salon.

J’ai trouvé dans la salle de bains tout un assortiment de strings, boxers, caracos et nuisettes en noir, blanc, rouge et même rose. Il y avait aussi des bas beiges à jarretière adhésive, des bijoux et les escarpins à talons aiguilles que j’avais porté l’avant-veille.

Vite déshabillé j’ai d’abord scotché ma petite queue dans l’entrejambe et j’ai commencé à jouir en prenant mon lavement (voir chapitre précèdent). Après avoir enfilé mes bas, j’ai choisi dans la lingerie la tenue qui me paraissait la plus féminine : un string en soie rose et une nuisette assortie très courte à fines bretelles. Les bijoux étaient cette fois en pierres semi-précieuses. Les gros cabochons des pinces à sein pointaient sous ma nuisette, laissant croire que j’avais une poitrine de jeune fille. Peigné et parfumé je me suis longuement admiré dans la glace avant de marcher vers le salon mon assortiment de lingerie sous le bras.
Mon Amant, assis dans un fauteuil sirotait son whisky, la cravache à portée de main. J’ai entrepris quelques aller et retour, lentement, les reins biens cambrés en ondulant de la croupe. Il semblait satisfait. Moi déjà très excité par la douleur vive des pinces à sein j’avais maintenant besoin de subir la cravache. Je me suis arrêté devant lui soulevant ma nuisette pour mieux lui présenter mon cul:

– mais c’est la cravache que tu veux petite salope, tu es encore plus vicieuse que je le pensais.

– Oui mon chéri, fais moi souffrir, fais moi tout, la douleur m’excite

Les coups ont commencé à claquer, j’étais femme et soumise, je me donnais toute entière à mon male. Ensuit le défilé de lingerie a pu commencer. Aux ordres de mon Amant je devais enlever un string pour le remplacer par un petit boxer très moulant, enlever une nuisette et enfiler un caraco qui ne couvrait pas mes fesses. Je passais et repassais devant lui toujours en ondulant de la croupe. Il faisait des commentaires souvent élogieux, quelques fois moqueurs. Ce manége érotique a duré longtemps, mais ayant remarqué qu’il caressait sa queue, j’ai voulu m’agenouiller entre ses jambes pour le sucer. Il ma repoussé:

– non Ysan, pas de pipe, j’ai trop envie de toi, là je vais jouir tout de suite. Je veux faire durer mon plaisir, enlève ta culotte et vas te mettre en levrette au bord du canapé, tu seras enculé.

Marchant vers le canapé j’ai réalisé que mon Amant ne m’avait pas sodomisé depuis deux jours que pendant ces deux jours je n’avais jamais mis le plug. Ma petite rondelle s’était sans doute resserrée, j’allais souffrir comme le soir de mon dépucelage (voir chapitre I). Bien que paniqué, j’ai quand même pris la position :

– j’ai peur mon chéri, tu ne m’as pas prise depuis deux jours et je n’ai pas pensé à mettre le plug, tu es énorme, tu vas me déchirer.

– tant pis pour toi petite conne! Tu n’avais qu’à y penser.

– Je te demande pardon, mon chéri, tu as raison, je suis une conne, encule moi, prends ton plaisir

Il était debout derrière moi, son gland pointé sur mon oeillet. Me tenant fermement par les hanches, sans bouger il m’a violemment attiré vers lui et c’est moi qui me suie empalé sur sa verge. Par les mouvements lents ou rapides qu’il imprimait à ma croupe il pouvait moduler son plaisir. A chaque pénétration profonde, mes fesses chauffées par la cravache venaient frotter contre son ventre. Je sentais sa verge qui enflait sous la pression de sa semence, ma jouissance dans la douleur était intense. Quand il a giclé violemment dans mon ventre tout mon corps a été parcouru de frissons et de spasmes suivis d’un apaisement profond. Sans aucune éjaculation, je venais de jouir intensément, une nouvelle fois j’avais eu un orgasme de femme.

Apaisé et repu mon Amant avait retrouvé toute sa gentillesse et sa courtoisie habituelle. Moi j’avais remis la nuisette rose et je faisais la belle devant lui. J’avais eu un orgasme de femme, je parlais de moi au féminin, ma transformation était complète. Mon amant pouvait être satisfait de l’éducation amoureuse qu’il me donnait. Nous avons pris le thé en amoureux et puis nous avons décidé de finir la soirée au cinéma.

Le film manquait d’intérêt, mais confortablement installés dans les fauteuils mon Amant m’embrassait et me pelotait amoureusement, je me laissais faire, il bandait ferme:

– Ysan tu m’excites, j’ai encore envie de toi, tu vas me faire une pipe.

– mais mon chéri, ici je n’ose pas, allons dans la voiture.

– Ysan, ne fais pas ta mijaurée, c’est un ordre

– ne me gronde pas, je t’obéis mon amour

Quand je me suis accroupi, j’ai vu dans la même rangée de fauteuils, tout près de nous, une jeune femme agenouillée entre les jambes d’un homme et qui s’apprêtait à accomplir la même besogne. C’est ce couple qui sans aucun doute avait donné l’idée à mon Amant. En me voyant la jeune femme m’a fait un clin d’oeil et un sourire complice, elle ne se doutait certainement pas que moi j’étais un garçon. Nous avons pompé nos deux mecs en cadence. Le sien a joui le premier, le mien, sous son air impassible, faisait durer le plaisir. Je sentais sous mes lèvres le jus qui montait dans sa queue et la faisait enfler. Il a enfin déchargé violemment, j’ai tout pris dans la bouche et comme le premier soir (voir chapitre I) surmontant mes hauts le coeur j’ai avalé son sperme chaud et gluant.

A la sortie du cinéma, mon Amant était détendu et heureux. Nous sommes allé dîner dans une grande brasserie:

– prends un whisky Ysan, tu dois avoir la bouche pâteuse.

Une nouvelle fois je suis devenu écarlate et comme à son habitude, mon Amant, mon Maître a commandé le menu sans me demander mon avis.

De retour chez lui, tard dans la soirée, il était calme et apaisé. Quand nous nous sommes déshabillé j’ai bien vu que ma nudité laissait sa bite indifférente. Moi par contre j’étais dans un état d’excitation intense. Pour le troubler j’ai enfilé la petite nuisette baby doll qu’il aimait et n’en pouvant plus de désir je l’ai supplié :

– mon chéri, ce soir tu as joui deux fois, dans mon cul, dans ma bouche. Moi tu m’as donné un plaisir fou quand j’ai eu un orgasme de fille, mais depuis trois jours je n’ai pas éjaculé, je n’en peut plus. Je t’en supplie mon amour fais quelque chose pour moi ou permets moi de me branler.

– Tu veux tout avoir Ysan, jouir comme une fille et en plus comme un garçon. Tu es une petite vicieuse, mais je ne vais pas te laisser dans cet état, tu ne pourras pas dormir cette nuit.

Il s’est dirigé vers la commande et fouillant dans un tiroir a sorti un énorme godemiché. J’ai eu vite vu que l’engin était encore plus gros et plus long que la bite de mon Amant.

– crème ton petit trou et enfonce toi ce god à fond c’est un vibro, le bouton est à l’extrémité. Mets toi à quatre pattes, tu seras plus ouverte pour l’enfiler et ensuite tu viendras t’asseoir sur mes genoux. Le god est suffisamment long, il ne risque pas de ressortir.

Humilié, mais soumis je me suis mis à quatre pattes sur la moquette. Dans la douleur j’ai pu m’introduire cet engin énorme dont les vibrations intenses se répercutaient dans tout mon corps. Ensuite, obéissant aux ordres de mon Amant, je me suis assis sur ses genoux d’une main il branlait ma petite queue, de l’autre il pelotait mes seins pendant que sa langue fouillait ma bouche dans des baisers profonds. J’ai joui très vite.

– merci mon chéri de me donner autant de plaisir, je veux être ta femme, ton esclaves soumise.

– C’est justement le programme de demain. Samedi il n’y a pas de cours aux beaux-arts, nous irons chez des amis qui ont un grand magasin de prêt-à-porter je veux t’acheter des vêtements qui correspondent à ta vraie nature. J’ai aussi pris rendez-vous chez un ami médecin, il a des solutions pour développer ta féminité comme tu le souhaites. Dors bien maintenant mon amour.

Demain de nouvelles aventures m’attendaient.

La suite de cette transformation

CHAPITRE II

Dès le réveil je me suis remémoré la folle fin d’après midi de la veille. Prêt à partir pour les beaux-arts je n’ai pas oublié l’ordre de mon Amant, mon Maître (voir chapitre précédent). Toute la journée je devais porter le plug qu’il m’avait donné. L’intromission fut douloureuse, l’engin était de gros diamètre et mon petit trou bien endolori par le dépucelage de la veille. Dans la rue, je me suis surpris marchant en tortillant des fesses, le plug me provoquait une excitation certaine.

A l’atelier, et contrairement à son habitude mon Maître ne s’intéressait plus à moi, sauf au milieu de l’après- midi quand il m’a interpellé depuis le fond de la classe :

– Ysan depuis ce matin tu restes debout ! tu as mal aux fesses ? assied toi, tu sera mieux pour dessiner.

Je suis devenu écarlate, persuadé que tous mes camarades avaient compris ce que je portais, planté dans mon fondement.

La journée de cours terminée, à cinq heures précises je sonnais chez mon Maître avec l’angoisse exquise d’une jeune pucelle amoureuse. La porte d’entée refermée il m’a longuement serré contre lui dans un baiser profond. Sa langue enfoncée dans ma bouche était les prémices des pénétrations profondes qui m’attendaient. En caressant mes fesses, il m’a conduit vers la salle de bain :

– Ysan, c’est la première fois que tu viens chez moi, je vais t’expliquer ce que à l’avenir tu devras faire seul. Déshabille toi !

Comme la veille je me suis retrouvé entièrement nu et frémissant devant mon Maître:

– d’abord je vais t’apprendre à cacher ta petite queue incompatible avec la tenue que tu vas porter et ton rôle de petite salope.

Mon aspect très efféminé, mon absence de tout système pileux avaient une raison. J’étais une anomalie de la nature, sous ma verge il n’y avait ni bourses ni testicules, j’étais fait ainsi. Autant dire que mon Maître n’eut aucun mal à replier ma petite queue dans l’entrejambes et à la fixer par un carré de toile adhésive. Mon pubis sans le moindre poil, il devenait bien difficile de savoir si j’étais un garçon ou une fille.

– maintenant Ysan tu vas te préparer toute seule. Tu as là une poire à lavements, car je veux que tu sois très propre, des vêtements, chaussures, bijoux, rouge à lèvres, parfums. Prends ton temps, quand tu seras prête tu viendras me rejoindre au salon.

Pour la première fois, mon Amant, me nommait au féminin. Maintenant seul, j’ai commencé par le lavement. La canule était de gros diamètre, mais rien à voir avec le plug que j’avais supporté toute la journée. Les jets chauds et puissants que j’envoyais dans mon ventre me procuraient des sensations très agréables. J’ai recommencé plusieurs fois pour être très propre, mais aussi pour mon plaisir, je l’avoue.

Est venu ensuite le moment de m’habiller : bas résilles, large serre taille porte jarretelles en satin noir, long déshabillé noir entièrement transparent, escarpins à talons aiguilles. Les bijoux étaient en or: collier, bracelets, boucles d’oreilles à clip et pinces à seins ornées des mêmes motifs. La pose des pinces a été douloureuse, mais très vite la douleur s’est transformée en jouissance. Un peu de rouge à lèvres, le parfum, un coup de brosse dans les cheveux et je me suis regardé dans la glace.

Hier j’étais Ysan, étudiant aux beaux-arts, un garçon très efféminé, mais un garçon quand même. Aujourd’hui, par la magie de mon Maître je suis une petite pute en chaleur impatiente de se faire monter par le colosse barbu qui l’attend au salon. Le moment était venu de me présenter devant lui.

A mon étonnement il était en costume cravate, assis dans un fauteuil et sirotant un whisky. Une longue cravache de cuir fauve était négligemment posée sur la table basse. Il m’a longuement observé, je restais debout immobile devant lui :

– tu me plais beaucoup Ysan dans ta tenue de pute. Maintenant il te faut apprendre à marcher lentement, les reins bien cambrés et en ondulant de la croupe. Fais des aller et retour dans la pièce.

Quand je passais devant lui la cravache claquait sur mes fesses pour me faire améliorer la position. Là j’ai compris que mon dressage avait commencé. Ensuite il m’a fait retirer mon déshabillé, les mains derrière la nuque, je devais simuler une danse du ventre en lui présentant mon cul. La cravache claquait si mes mouvements n’étaient pas assez lascifs. Il m’a enfin pris sur ses genoux pour m’embrasser longuement et me caresser. J’étais en transe quant il m’a fait agenouiller pour sucer son sexe magnifique, je faisais de mon mieux, comme la veille:

– Ysan tu suces divinement bien, mais je comprend que tu ais envie d’être prise, viens dans la chambre je vais te sodomiser.

– Oui mon chéri je veux être toute à toi.

Moi aussi je commençais à me nommer au féminin. Je me suis dirigé vers la chambre lentement en ondulant de la croupe, comme une vraie pute. Il me suivait et devait apprécier. Il ne lui a pas fallu longtemps pour se déshabiller, me basculer à plat ventre sur le lit et m’enculer sauvagement. Nous avons joui ensemble, comme la veille:

– c’était très bon Ysan, tu es déjà une grande amoureuse, tu prends très bien ma grosse bite. Allons maintenant dîner, mais ce soir tu vas dormir avec moi.

Passer ma première nuit dans les bras de mon Amant, cette perspective ma mise en transe (j’étais sa femme). Retour du restaurant je me suis entièrement déshabillé sans attendre qu’il me le demande. Il me regardait:

– Ysan, je ne veux plus te voir avec tes slips minables. Je vais prendre tes mensurations et dès demain je t’achèterai des dessous dignes de toi. Pour cette nuit, je pense avoir quelque chose qui te convienne.

Il a pris mes mensurations puis est allé chercher dans un tiroir une charmante nuisette baby doll rose bordée de dentelle. Je me suis empressé d’enfiler ce sous vêtement de fille et de faire la belle devant lui. Sans attendre sa demande je me suis agenouillé, j’ai sorti sa queue et j’ai commencé à le sucer goulûment :

– tu es en chaleur Ysan, petite vicieuse, tu as encore besoin d’être enculée pour te calmer. Vas à la salle de bain détacher ta petite queue, je veux la voir et prends un bon lavement. Je vais t’apprendre une autre position pour donner ton cul.

A mon retour il était nu. J’étais un peu angoissé ne sachant ce qui m’attendait. Il m’a fait allonger sur le dos, a glissé un coussin sous mes fesses et m’a demandé de lever les jambes bien écartées. A genoux devant moi, son sexe était ainsi face à mon petit trou. Pour la suite, j’avais maintenant l’habitude: une douleur vive quand le gland charnu force ma rondelle et puis une jouissance intense quand le membre lime fouille tringle mon fondement. Mais là il y avait pour moi des plaisirs nouveaux: je voyais mon amant, je le découvrais prenant son plaisir, il pouvait m’embrasser, pétrir et mordre mes seins, son ventre frottait sur ma queue. Ma jouissance était complète, je ne cessais de pousser de petits gémissements de plaisir. Quant il a déchargé j’ai senti le jet puissant dans mon ventre mais cette fois je n’ai pas éjaculé, j’ai eu un orgasme violent comme une femme.

Nous nous sommes vite endormis, mais au milieu de la nuit je l’ai provoqué; il m’a enculé une nouvelle fois et j’ai eu à nouveau un orgasme de femme. En à peine un peu plus de vingt quatre heures j’avais fait jouir mon Maître cinq fois, quatre fois dans mon cul, une fois dans ma bouche. Je pouvais être ? fier ? mieux vaut dire ?fière? de moi. Mon dressage avait bien commencé, mais bien des aventures m’attendaient.

Une vie de soumis

CHAPITRE I

Très jeune, j’étais doué pour la peinture et le dessin. A 18 ans j’ai voulu quitter ma famille et suivre les cours des beaux-arts à Paris. Mon professeur était un colosse barbu de 40 ans, il me fascinait, je l’appelais ? mon Maître ?.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour réaliser que moi aussi j’intéressai beaucoup mon Maître et pas uniquement pour la qualité de ma peinture et de mes dessins. Il tournait incessamment autour de moi, me passait la main dans les cheveux, me prenait par la taille ou laissait traîner une main sur mes fesses. Au prétexte de me guider dans la tenue du pinceau, il n’hésitait pas à venir se coller derrière moi et je sentais son sexe en érection contre ma croupe. J’étais gêné et rougissant persuadé que tous mes camarades remarquaient son manège.

Un soir, au prétexte de terminer un dessin, il ma retenu dans l’atelier après le départ des autres élèves :

– Ysan, je t’observe depuis longtemps, tu es beau, ton corps doit être magnifique, je veux que tu poses pour moi, déshabille toi

L’ordre était impératif, j’étais fasciné, en un tour de main je me suis retrouvé entièrement nu devant lui :

– monte sur ce socle, les mains derrière la nuque, sur la pointe des pieds, cambre bien tes reins.

Il a commencé par tourner lentement autour de moi, j’étais pétrifié. Puis il s’est rapproché. De la pointe des doigts il effleurait ma croupe, provocant mes premiers frissons. Ses caresses sont devenues plus précises autour de mon sexe dont je ne parvenais pas à maîtriser l’érection. Il pinçait fortement la pointe de mes seins mais la douleur m’apportait un début de jouissance. Et puis sans un mot, il s’est éloigné et carnet en main a commencé ses croquis.

J’étais épuisé par cette séance de pose, mais je n’osais bouger :

– mon petit Ysan tu dois être fatigué, vas sur le canapé, la tête dans les coussins, replie tes jambes et présente moi ta croupe je veux faire d’autres croquis.

Il s’est approché de moi pour rectifier ma position et ses doigts se sont attardés le long de ma raie des fesses, provoquant en moi de nouveaux frissons. Et puis une nouvelle fois, il s’est éloigné et carnet en main a poursuivi ses croquis. La séance de pose a encore duré un temps qui me paraissait interminable :

– c’est bien, en voilà assez pour aujourd’hui, viens voir mon travail.

Il y avait une vingtaine de dessins tous d’une grande finesse, mais d’un érotisme certain, en particulier la séance sur le canapé où l’on voyait surtout mon cul. Quant au dernier croquis, c’était un travail d’imagination : un monstre barbu pointant un sexe énorme devant ma croupe offerte.

Mon Maître m’observait, j’ai souri en voyant le dernier dessin. Sans un mot il m’a serré contre lui, moi toujours entièrement nu. La tête renversée il m’a embrassé longuement, j’ouvrais au maximum la bouche pour que sa langue puisse me pénétrer profondément. Sans abandonner mes lèvres, il caressait mon sexe, titillait mes pointes de seins, j’étais palpitant d’émoi.

Et puis brusquement, il m’a fait agenouiller et a sorti son membre, une queue impressionnante au gland épais et turgescent. Il n’a même pas eu besoin de me forcer, je savais ce qu’il attendait de moi. J’avais l’habitude de sucer mes camarades, j’étais toujours volontaire, mais jamais je n’avais eu en bouche une bite aussi longue et épaisse. Je m’appliquais pour satisfaire mon Maître, titillant le gland, léchant la hampe, mordillant les bourses. J’étais satisfait d’entendre ses râles de plaisir, quand brusquement il s’est retiré :

– mon petit Ysan tu suces divinement bien, mais je veux te prendre, vas sur le canapé.

– mais mon Maître je n’ai jamais été sodomisé, votre sexe énorme va me déchirer, pitié mon Maître j’ai peur !

– d’abord cesse de m’appeler mon Maître, maintenant je suis ton amant tu dois me tutoyer et m’appeler mon chéri et puis je ne pouvais pas imaginer qu’un si joli petit cul était encore puceau. Je ne veux pas te faire souffrir mais te donner du plaisir et en prendre avec toi, vas sur le canapé, mets toi en levrette, je vais te préparer.

J’ai obéi. En un tour de main il était nu auprès de moi et j’admirais sa musculature puissante, son torse velu et bien sur son sexe magnifique en érection. J’étais en levrette, comme il l’avait exigé. Il a commencé par crémer le tour de ma rondelle, il a doucement introduit un doigt dans mon anus, puis deux et puis trois. Je poussais de petits gémissements bien plus de plaisir que de douleur :

– tu vois Ysan tu supporte mes trois doigts, je t’assure, ma queue n’est pas plus grosse tu dois pouvoir la prendre sans problème.

– oui mon chéri je veux te satisfaire, je suis à toi, prends moi maintenant, encule moi ! encule moi !

J’ai senti son gland pointé sur mon oeillet et d’un mouvement brutal il a forcé ma rondelle. Je hurlais de douleur, je mordais les coussins, mais j’étais empalé il me fallait subir. Après quelques violents coups de butoirs mon Maître a ralenti sa cadence, il voulait faire durer le plaisir, sans cesser ses va et vient il parvenait à pincer mes seins et caresser ma queue :

– tu vois Ysan, tu la supporte bien ma bite, tu en avais envie petite salope. Je l’ai défoncé ton petit cul et tu aimes ça.

– oh !j’ai mal mon chéri, j’ai mal mais tu commences à me donner du plaisir. J’ai le feu au cul, mon chéri, défonce moi. Oh oui ! je sens ta bite qui enfle, tu vas décharger, je joui, tu m’encule bien, c’est bon, c’est bon !!!!!!

J’ai alors senti le jet puissant de son foutre envahir mon ventre et en même temps j’ai déchargé dans sa main. Nous nous sommes tous deux écroulés sur le canapé, épuisés par la violence de nos ébats et moi fortement meurtri. Il nous a fallu un moment pour récupérer :

– Ysan cette séance m’a ouvert l’appétit, nous allons fêter ton dépucelage dans un bon restaurant.

Mon Maître avait ses habitudes dans un restaurant du quartier latin. Le patron nous a proposé une table dans un coin discret :

– voulez vous vous installer côte à côte sur la banquette,

– non je préfère qu nous soyons face à face. Ysan mets toi sur la banquette, c’est plus moelleux, tu dois être meurtri.

Le patron m’a regardé en souriant, je suis devenu écarlate. Pendant tout le repas nous avons parlé peinture, cinéma, musique. J’étais fasciné par mon Amant, mon Maître, il m’a raccompagné en voiture. Pendant le trajet il conduisait d’une main l’autre trop occupée à me peloter et à m’embrasser. Une fois arrivés, il a continué, ma main c’est hasardée sur son sexe, il bandait :

– tu vois Ysan comme j’ai envie, nous allons monter chez toi, je veux te prendre avant de repartir.

– Mais mon chéri c’est impossible, ma logeuse est très sévère, je ne peux recevoir personne.

– alors tu vas me sucer dans la voiture et je veux que tu avales tout

Il a eu quelques difficultés pour sortir du pantalon sa verge en érection, moi j’étais prêt à donner à nouveau du plaisir à mon Maître. Cette fois je n’ai pas voulu lécher et titiller sur toute sa longueur cette bite magnifique. J’ai préféré garder son gland bien enfoncé au fond de ma gorge. Je voulais être sur de pouvoir tout prendre quand le moment serait venu, il me l’avait imposé. Mais sa queue était si grosse que dans les va et vient de mes lèvres je ne parvenais pas à descendre guère plus bas que le prépuce, malgré tous mes efforts et au risque de m’étouffer. Alors sans ralentir les mouvements de mes lèvres et de ma langue, d’une main j’ai branlé sa longue hampe et de l’autre je caressais ses testicules. Il a giclé très vite et violemment. J’avais la bouche pleine de son sperme chaud, acre et visqueux. Maîtrisant mes haut le coeur il m’a fallu plusieurs gorgées pour tout avaler :

– c’était très bon Ysan, je te félicite. Tu suces comme une vraie putain, tu donnes ton cul comme une chienne en chaleur. Tu es très doué. je ferai quelque chose de toi mon petit Ysan.

Tout en parlant il a sorti un paquet de la boite a gants :

– c’est pour toi Ysan. Ce qui est dans ce paquet tu devras le porter demain toute la journée. Tu dois venir aux cours normalement et à cinq heures je t’attendrais chez moi. Dors bien maintenant.

J’ai eu droit à un long baisé, quelque caresses sur la pointe de mes seins et il est parti. Rentré chez moi j’ai vite ouvert le paquet, c’était un plug de gros diamètre. Ainsi demain je devrais toute la journée porter cet instrument de torture enfoncé dans mon petit trou. Pour l’instant j’étais épuisé par cette folle fin de journée, une douche bien chaude, un peu de crème sur mon oeillet meurtri et je me suis vite endormi en pensant que demain une vie nouvelle commençait pour moi. Mon Amant, mon Maître avait dit :

? mon petit Ysan tu es doué je ferai quelque chose de toi?