dog lors de son pipi du matin
position normale et correctement habillé pour un animal
MES ENVIES SUR LES OBJETS
dog lors de son pipi du matin
position normale et correctement habillé pour un animal
affichage en position du muezzin la chatte à Mâles bien ouverte
un perçage qui permet de conserver un maintient de l’erection de l’esclave
PRÉOCCUPATION PERDU POUR ESCLAVE BIEN-ÊTRE
Le propriétaire d’esclaves sur cette plantation considère qu’il est bon pour les esclaves nouvellement acquises pour recevoir un fouet initial, puis à la marque sur la fesse droite avec sa marque de propriété.
Il raisonne qu’il est d’être gentil avec les esclaves, que ces actions initiales aider l’esclave vous habituer à son nouveau statut et d’éviter ainsi des peines en cas de retard dans ce marquage.
ESCLAVES DOIVENT ETRE ÉRECTION NUE DEVANT PROPRIÉTAIRE ET AMIS DU PROPRIÉTAIRE
Pour beaucoup d’hommes la première difficulté qu’ils rencontrent avec la vie comme esclave est l’exigence de leur propriétaire d’être nu ou seulement peu vêtu – mais cela passe dès que les jeunes hommes sont après l’habitude d’être nu dans les vestiaires et ainsi de suite, et il est pas si terrible pour eux, même si ceux qui l’entourent sont habillés.
Le problème suivant est que les érections – comme nous le savons, les jeunes ajustement hommes obtenir ces fréquemment, et aucun nouvel esclave est utilisé pour être debout avec les autres à regarder – ils se cachent dans le vestiaire, et il est normalement seulement leur petite amie qui le voit. Mais la plupart des propriétaires aiment à voir un mâle en bonne santé sportive une érection, surtout si elles ont pas eu la salve circoncire et il y a l’intérêt de voir le gland de l’esclave.
Cette image montre bien que les indignités que certains esclaves ont à supporter !
Lorsque son propriétaire est d’avoir des amis autour pour les boissons son esclave doit prendre des pilules pour assurer une érection constante, puis porter cet ornement comme il sert les boissons.
L’esclave se sent constamment humilié que les hommes admirent et le sentir – mais alors il ne doit pas, que l’humiliation est quelque chose qu’un homme libre peut éprouver. Et tant que l’esclave obéit à son maître, qui est tout ce qui est nécessaire.
UN LIEU INSOLITE QUE J AIME
POUR MONTRER A TOUS LA MARQUE PROPRIÉTAIRE
… C ‘est un plaisir pour le Maître qui se rappelle le frisson de l’esclave.
Le Maître se souvient de la façon dont l’esclave a crié, pleuré et sangloté comme il tenait le fer rouge à sa tête de coq.
l’image simple de l’esclave avec mors
c’est plus le dressage d’un pony il faut un bon corps celui ci est plus fait pour faire un dog
j’aime le voir bander pour mieux contrôler son désir et le punir par ce moyen
il a un petit clitoris c’est joli pour une sous race c’est mignon à manipuler
un esclave n’a aucune utilité de ce clitoris il est juste là pour le Master et notre plaisir de jouer avec !
Sur ordre de MAITRE PASCAL, j’expose les humiliations de ma
vie, en détails, pour populariser ma nature de perdant partout sur le
net. Sentez vous libre de partager ce post, pour contribuer au
reconditionnement de l’esclave.Durant tout mon parcours scolaire, j’étais le souffre-douleur de l’école.
Il
y avait Florent, beau et baraqué, aussi méchant que sur de lui. Mais il
y avait également des plus faibles, des petites frappes maigrichonnes
et laides, comme David, blond chétif aux oreilles décollées et aux
grands yeux bleus, vicieux, qui voyait en moi la seule victime
potentielle de son besoin de supériorité. Il y avait Mickaël, même
profil, petit, faible, méchant et vulgaire, qui prenait plaisir à
m’insulter et à me bousculer un peu partout. Ces types étaient tellement
faibles qu’il ne leur restait que moi, le soumis, sur qui se défouler.
J’ai toujours été au bas de la chaîne alimentaire.Étrangement,
tous mes rêves érotiques portaient sur les humiliations que me faisaient
subir ces types. Ils se déroulaient devant une large foule – à l’école
-, et j’y étais écrasé par mes tortionnaires. De préférence par les plus
faibles et insignifiants d’entre eux, mais qui, face à ma propre nature
de perdant, me restaient supérieurs. Ils n’étaient pas bien grands,
mais moi j’étais un être insignifiant, rampant, sur lequel tout le monde
marchait sans même y faire attention. Dans ces rêves, David m’écrasait
le visage sous son pied nu, me forçait à le lécher, me crachait au
visage.Lorsque, plus tard, j’eus ma première relation sexuelle
avec un garçon, je ne parvins pas à bander. Pour toutes celles qui
suivirent, ce fut le même problème ; je me suis vite rendu à l’évidence :
la seule chose pour laquelle la nature m’avait autorisé à être excité,
c’était l’humiliation. Plus précisément, la défaite ; lorsque j’étais
vaincu, lorsque durant un conflit, j’étais forcé à la défaite, puis
résigné, me laissais humilier, et trainer en laisse dans la boue, devant
tout le monde, pour être ensuite esclave à vie.…Quelques temps
plus tard, je m’inscrivis sur Smboy, à la recherche de dominants qui
voudraient bien partager mes fantasmes. J’ai fait quelques rencontres,
pratiqué un peu. Mais rien n’y faisait : on pouvait me pisser dessus, me
marcher sur le visage, je n’étais pas excité. La raison à cela, c’est
que dans tous les cas, il s’agissait de jeu, de mise en scène, où le
bien être de chacun était pris en compte. Je pouvais arrêter quand je
voulais. C’était un consentement mutuel, pas une véritable défaite, et
malgré moi, mon esprit le savait ! J’étais programmé pour n’être excité
que par la défaite. Je voulais être un véritable esclave, capturé,
vaincu, sans possibilité de retour en arrière.J’ai commencé à
réfléchir. Y avait-il une logique scientifique pareille excitation ? Nos
désirs sexuels sont programmés pour assurer la pérennisation de
l’espèce. Ils sont à la base de tout, et justifient tous nos actes. Si
je suis attiré par la défaite et l’humiliation de mon corps et de mon
esprit, c’est qu’elles contribuent à la préservation de l’espèce ; être
humilié, écrasé, vaincu, c’est mon rôle à jouer dans le cycle de la vie.
Peut-être pour favoriser les dominants ? Il serait logique que tout
groupe ait besoin de ce genre de souffre-douleur.
Mes désirs et mes
besoins étaient donc définis par la défaite, et ramper au pied des
hommes; c’était le seul instant où je me sentais serein, à ma place.Résigné,
je décidais donc de consacrer ma vie entière à la véritable défaite. Je
contactai Maître Pascal, et lui fis part de mon désir de devenir
esclave, mais selon une charte bien particulière : je ne voulais pas
d’un jeu sexuel, comme on en fait tous, à petite échelle, pour combler
des moitiés de désir. Il allait devoir m’y forcer, et m’empêcher de
repartir, surtout. M’écraser, me briser, me séquestrer. Là, peut-être,
assouvirais-je mes besoins sexuels.
L’esclavage devait débuter le 5 Janvier 2016. Voici la procédure que nous avions discutée :
J’arrive
chez Maître Pascal avec mes papiers et le moins de vêtements possible.
Dès que j’arrive, il me branche un collier de dressage électrique autour
du cou. Partant de là, toute non obéissance sera punie par une décharge
; il me force à me déshabiller, et jette les quelques vêtements que
j’avais pris. Rasage complet du corps, mise en place d’un plug à clef,
d’une cage de chasteté, moufle – chien à cadenas, pour m’empêcher d’ôter
quoi que ce soit. Puis décrire ma personnalité de perdant sur mon front
et mon torse, au marqueur indélébile, pour m’empêcher de partir en
attendant le tatouage. Enfin, il me force à lui donner mes codes
facebook, yahoo, et diffuse tous ces textes, témoignages et ce qui va
avec auprès de tous mes contacts.Me voilà en véritable esclavage
à vie, enfin. Là, je suis vaincu, car je ne peux pas revenir en
arrière. Si je ne fais pas ce qu’on me dit, la décharge. Je suis le
premier véritable esclave sexuel, et je me sens serein.