le chien qui se lâche
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Alimentation des esclaves origine :
L’alimentation du bétail humain était un facteur essentiel à toutes les étapes de la traite.
Il convenait en effet que les esclaves offerts à la vente ne soient pas dépréciés… Lors du « passage », c’est-à-dire lors de la traversée à bord du bateau, tout esclave qui refusait de s’alimenter, quelle qu’en soit la raison, était puni. Mais, de même, l’obésité était mal appréciée. Quelle diète leur était-elle donc réservée à bord ? Une diète étonnamment équilibrée pour l’époque si l’on en juge par les divers témoignages écrits. Ainsi,les protéines, apportées par les poulets, viandes et poissons séchés ou salés achetés lors des différentes escales ;
les graisses sous forme d’huile de palme et même, selon certains auteurs, de
beurre ;
les hydrates de carbone abondants dans la bouillie de manioc, de mil et de fèves
(le gruau), le riz, les ignames, la canne à sucre, les bananes et… le pain transporté
depuis l’Europe (bien protégé contre les moisissures) ou confectionné sur le bateau. ;
les vitamines des fruits : cocos, bananes, oranges et surtout citrons dont le
jus était stocké dans des barils. L’apport de fruits frais riches en vitamine C était
indispensable pour éviter l’apparition d’une terrible maladie de carence, le scorbut,
caractérisée par des hémorragies, une anémie, des troubles gastro-intestinaux, des
déchaussements dentaires : en un mot, par une altération générale des différentes
fonctions de l’organisme. ;
l’eau potable, amenée d’Europe, croupissait rapidement à force de stagner,
entraînant l’adjonction de vinaigre, de citron et même de chaux vive. Après deux mois
de séjour en région chaude, malgré des tonneaux parfaitement étanches, des vers
blancs s’y développaient. Il fallait alors tenter de filtrer l’eau au travers de couvertures
de laine. On n’accordait qu’une confiance limitée à l’eau de pluie, certains capitaines
l’accusant d’être à l’origine de troubles intestinaux.
Un objet est là pour être utilisé
– les désirs, les pensées et les sentiments propres aux TI ne sont pas pertinents aux fins des TI.
Long night
Longue nuit
mon maître m’a allongé aigle jusqu’au lit la nuit dernière, m’a bâillonné avec une paire de chaussettes trempées dans sa pisse, puis m’a dit qu’IL allait devoir me punir. Je ne savais pas pourquoi il pensait qu’Il devait, mais je ne dis rien quand il sortit la lourde ceinture de cuir, la ceinture avec des œillets, la canne liquide, les divers fouets et courroies, et la baguette violette. Il me battait sauvagement, ça allait encore et encore, et parfois, j’avais l’impression d’avoir perdu conscience.
quand IL a été fait, j’étais meurtri et couvert de trépointes et de coupures. Il respirait lourdement, mais il laissa tomber le dernier fouet et grimpa sur moi. Puis il m’a baisé avec sa grosse bite non coupée pour ce qui semblait être des heures.
Quand IL m’a finalement libéré, tôt ce matin, je pouvais à peine me tenir debout, alors IL m’a mis sur mes genoux, ma tête contre le mur, et s’est tenu devant moi, SON POINTE à quelques centimètres de ma bouche ouverte. Il m’a demandé si j’avais des questions et j’ai dit: “SIR, pourquoi m’as-tu puni?”
Il sourit quand il retira son prépuce. Visant Son Coq à ma bouche, Il a commencé à Pisser, et je l’ai entendu dire “Parce que je peux, pédé”.
Je suis un esclave fagot chanceux.
POSITION MAGNIFIQUE DIFFICILE DANS LA DUREE
CE PERCAGE EST PREVU POUR CHEETA AVEC UN ANNEAU CADENAS
LE BÉTAIL DOIT PISSER COMME UN CHIEN
ET DEVANT SON PROPRIÉTAIRE
LE RECYCLAGE DOIT DEVENIR LA REGLE POUR SES ANIMAUX
J AI A LA MAISON POUR LE BETAIL HUMAIN
IL FAUT AU QUOTIDIEN QUE LE BETAIL VIVE EN CAGE
WC HUMAIN EN TROU BOUCHE OU EN TROU CHATTE A MALES
L ANIMAL DOIT AVOIR PEUR DE SON MAITRE POUR FAIRE SON OFFICE A 200% A CHAQUE INSTANT SINON IL DEVIENT INDOLENT ET INEFFICACE