CHAPITRE III
Un peu fatigués par cette folle nuit d’amour, au petit matin nous sommes partis ensemble vers les beaux-arts. A l’angle d’une rue il m’a longuement embrassé :
– Ysan, ce soir tu vas rentrer chez toi pour bien te reposer, tu dois être un peu fatigué. Demain c’est vendredi, sois chez moi à cinq heures, comme hier, nous passerons tout le week-end ensemble.
– c’est toi qui décides, mon chéri, demain à cinq heures je serai là. Je t’aime
Je me suis hissé sur la pointe des pieds pour le prendre par le cou et l’embrasser sur la bouche en pleine rue. Nous sommes entrés à l’Ecole par des portes différentes.
Le soir venu, seul dans ma chambre d’étudiant j’ai mesuré le chemin parcouru en bien peu de temps. Il y a deux jours mon petit cul était encore vierge. Maintenant mon Maître est devenu mon Amant. Sans tarder il a entrepris mon éducation amoureuse, ma féminisation, mon dressage: humiliation verbale ?traînée, salope, petite pute en chaleur………?, obligation de porter une lingerie féminine particulièrement érotique, jouissance dans la douleur, les pinces à seins, les coups de cravache, son gland qui force mon petit oeillet sans ménagement. Dans une soumission exquise j’ai subi tous ces sévices avec délectation. Telle est ma nature. J’attends avec impatience le week-end que nous allons passer ensemble.
Vendredi à cinq heures précises je sonnais à sa porte avec l’angoisse délicieuse d’une jeune pucelle allant à son premier rendez-vous. Mon Amant m’attendais. Il était nu sous un élégant kimono. Quand il m’a serré contre lui j’ai senti sa verge en érection, je n’ai pas pu me retenir de la caresser. Je mourrai d’envie de m’agenouiller et de prendre en bouche ce sexe magnifique, mais je me suis maîtrisé :
– il faut que j’aille à la salle de bain mon chéri.
– C’est bien Ysan tu as retenu ma leçon. Je t’ai acheté les sous-vêtements que maintenant tu devras porter en permanence. Tu peux choisir pour ce soir, mais en venant me rejoindre apporte les autres, je veux que tu les essayes tous devant moi. Je t’attends au salon.
J’ai trouvé dans la salle de bains tout un assortiment de strings, boxers, caracos et nuisettes en noir, blanc, rouge et même rose. Il y avait aussi des bas beiges à jarretière adhésive, des bijoux et les escarpins à talons aiguilles que j’avais porté l’avant-veille.
Vite déshabillé j’ai d’abord scotché ma petite queue dans l’entrejambe et j’ai commencé à jouir en prenant mon lavement (voir chapitre précèdent). Après avoir enfilé mes bas, j’ai choisi dans la lingerie la tenue qui me paraissait la plus féminine : un string en soie rose et une nuisette assortie très courte à fines bretelles. Les bijoux étaient cette fois en pierres semi-précieuses. Les gros cabochons des pinces à sein pointaient sous ma nuisette, laissant croire que j’avais une poitrine de jeune fille. Peigné et parfumé je me suis longuement admiré dans la glace avant de marcher vers le salon mon assortiment de lingerie sous le bras.
Mon Amant, assis dans un fauteuil sirotait son whisky, la cravache à portée de main. J’ai entrepris quelques aller et retour, lentement, les reins biens cambrés en ondulant de la croupe. Il semblait satisfait. Moi déjà très excité par la douleur vive des pinces à sein j’avais maintenant besoin de subir la cravache. Je me suis arrêté devant lui soulevant ma nuisette pour mieux lui présenter mon cul:
– mais c’est la cravache que tu veux petite salope, tu es encore plus vicieuse que je le pensais.
–
– Oui mon chéri, fais moi souffrir, fais moi tout, la douleur m’excite
Les coups ont commencé à claquer, j’étais femme et soumise, je me donnais toute entière à mon male. Ensuit le défilé de lingerie a pu commencer. Aux ordres de mon Amant je devais enlever un string pour le remplacer par un petit boxer très moulant, enlever une nuisette et enfiler un caraco qui ne couvrait pas mes fesses. Je passais et repassais devant lui toujours en ondulant de la croupe. Il faisait des commentaires souvent élogieux, quelques fois moqueurs. Ce manége érotique a duré longtemps, mais ayant remarqué qu’il caressait sa queue, j’ai voulu m’agenouiller entre ses jambes pour le sucer. Il ma repoussé:
– non Ysan, pas de pipe, j’ai trop envie de toi, là je vais jouir tout de suite. Je veux faire durer mon plaisir, enlève ta culotte et vas te mettre en levrette au bord du canapé, tu seras enculé.
Marchant vers le canapé j’ai réalisé que mon Amant ne m’avait pas sodomisé depuis deux jours que pendant ces deux jours je n’avais jamais mis le plug. Ma petite rondelle s’était sans doute resserrée, j’allais souffrir comme le soir de mon dépucelage (voir chapitre I). Bien que paniqué, j’ai quand même pris la position :
– j’ai peur mon chéri, tu ne m’as pas prise depuis deux jours et je n’ai pas pensé à mettre le plug, tu es énorme, tu vas me déchirer.
–
– tant pis pour toi petite conne! Tu n’avais qu’à y penser.
– Je te demande pardon, mon chéri, tu as raison, je suis une conne, encule moi, prends ton plaisir
Il était debout derrière moi, son gland pointé sur mon oeillet. Me tenant fermement par les hanches, sans bouger il m’a violemment attiré vers lui et c’est moi qui me suie empalé sur sa verge. Par les mouvements lents ou rapides qu’il imprimait à ma croupe il pouvait moduler son plaisir. A chaque pénétration profonde, mes fesses chauffées par la cravache venaient frotter contre son ventre. Je sentais sa verge qui enflait sous la pression de sa semence, ma jouissance dans la douleur était intense. Quand il a giclé violemment dans mon ventre tout mon corps a été parcouru de frissons et de spasmes suivis d’un apaisement profond. Sans aucune éjaculation, je venais de jouir intensément, une nouvelle fois j’avais eu un orgasme de femme.
Apaisé et repu mon Amant avait retrouvé toute sa gentillesse et sa courtoisie habituelle. Moi j’avais remis la nuisette rose et je faisais la belle devant lui. J’avais eu un orgasme de femme, je parlais de moi au féminin, ma transformation était complète. Mon amant pouvait être satisfait de l’éducation amoureuse qu’il me donnait. Nous avons pris le thé en amoureux et puis nous avons décidé de finir la soirée au cinéma.
Le film manquait d’intérêt, mais confortablement installés dans les fauteuils mon Amant m’embrassait et me pelotait amoureusement, je me laissais faire, il bandait ferme:
– Ysan tu m’excites, j’ai encore envie de toi, tu vas me faire une pipe.
– mais mon chéri, ici je n’ose pas, allons dans la voiture.
– Ysan, ne fais pas ta mijaurée, c’est un ordre
– ne me gronde pas, je t’obéis mon amour
Quand je me suis accroupi, j’ai vu dans la même rangée de fauteuils, tout près de nous, une jeune femme agenouillée entre les jambes d’un homme et qui s’apprêtait à accomplir la même besogne. C’est ce couple qui sans aucun doute avait donné l’idée à mon Amant. En me voyant la jeune femme m’a fait un clin d’oeil et un sourire complice, elle ne se doutait certainement pas que moi j’étais un garçon. Nous avons pompé nos deux mecs en cadence. Le sien a joui le premier, le mien, sous son air impassible, faisait durer le plaisir. Je sentais sous mes lèvres le jus qui montait dans sa queue et la faisait enfler. Il a enfin déchargé violemment, j’ai tout pris dans la bouche et comme le premier soir (voir chapitre I) surmontant mes hauts le coeur j’ai avalé son sperme chaud et gluant.
A la sortie du cinéma, mon Amant était détendu et heureux. Nous sommes allé dîner dans une grande brasserie:
– prends un whisky Ysan, tu dois avoir la bouche pâteuse.
Une nouvelle fois je suis devenu écarlate et comme à son habitude, mon Amant, mon Maître a commandé le menu sans me demander mon avis.
De retour chez lui, tard dans la soirée, il était calme et apaisé. Quand nous nous sommes déshabillé j’ai bien vu que ma nudité laissait sa bite indifférente. Moi par contre j’étais dans un état d’excitation intense. Pour le troubler j’ai enfilé la petite nuisette baby doll qu’il aimait et n’en pouvant plus de désir je l’ai supplié :
– mon chéri, ce soir tu as joui deux fois, dans mon cul, dans ma bouche. Moi tu m’as donné un plaisir fou quand j’ai eu un orgasme de fille, mais depuis trois jours je n’ai pas éjaculé, je n’en peut plus. Je t’en supplie mon amour fais quelque chose pour moi ou permets moi de me branler.
– Tu veux tout avoir Ysan, jouir comme une fille et en plus comme un garçon. Tu es une petite vicieuse, mais je ne vais pas te laisser dans cet état, tu ne pourras pas dormir cette nuit.
Il s’est dirigé vers la commande et fouillant dans un tiroir a sorti un énorme godemiché. J’ai eu vite vu que l’engin était encore plus gros et plus long que la bite de mon Amant.
– crème ton petit trou et enfonce toi ce god à fond c’est un vibro, le bouton est à l’extrémité. Mets toi à quatre pattes, tu seras plus ouverte pour l’enfiler et ensuite tu viendras t’asseoir sur mes genoux. Le god est suffisamment long, il ne risque pas de ressortir.
Humilié, mais soumis je me suis mis à quatre pattes sur la moquette. Dans la douleur j’ai pu m’introduire cet engin énorme dont les vibrations intenses se répercutaient dans tout mon corps. Ensuite, obéissant aux ordres de mon Amant, je me suis assis sur ses genoux d’une main il branlait ma petite queue, de l’autre il pelotait mes seins pendant que sa langue fouillait ma bouche dans des baisers profonds. J’ai joui très vite.
– merci mon chéri de me donner autant de plaisir, je veux être ta femme, ton esclaves soumise.
– C’est justement le programme de demain. Samedi il n’y a pas de cours aux beaux-arts, nous irons chez des amis qui ont un grand magasin de prêt-à-porter je veux t’acheter des vêtements qui correspondent à ta vraie nature. J’ai aussi pris rendez-vous chez un ami médecin, il a des solutions pour développer ta féminité comme tu le souhaites. Dors bien maintenant mon amour.
Demain de nouvelles aventures m’attendaient.