Vincent ou la vraie vie – Part 1 by Jerome

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Il se dirige vers l’arrière de la maison et, comme d’habitude, sur la petite terrasse devant la cuisine, devant l’office comme disent Alain et Axel, il ôte ses chaussures usées, enlève son t-shirt tout aussi usé et son froc troué, replie le tout soigneusement et entre, à poil, par la porte de service. Il sait que son premier regard est pour le tableau noir accroché au mur où l’attende ses premiers ordres de cette fin d’après-midi.

Vincent a 22 ans, il est mince, très mince, blond, les cheveux coupés au plus cours comme le veulent Alain et Axel, et pour le reste pas un seul poil sur le corps si ce n’est ses sourcils. A chaque téton il porte un pearcing, sa queue est enfermée dans une cage de chasteté et juste au dessus de la base de ses reins, un tatouage explicite : je ne suis plus un homme, je suis un esclave !
Vincent s’est levé, comme d’habitude à 5 heures du mat et à 7 heures il est parti travaillé comme éboueur jusqu’à 16 heures mais il sait que sa journée est loin d’être finie.

Sur tableau il peut lire : ordres permanents (ces ordres là sont peints sur le tableau) : lave-toi, collier et sangles aux 4 membres, masque, gode en place. Et puis, écris à la craie rouge : on sera là juste après ta douche. Sois prêt à nous accueillir, sinon gare !

Vincent court vers quartiers : la cave où Alain et Axel lui on fait aménager une cellule ne comportant qu’un lit et plus loin une salle d’eau sommaire : un wc turc et en même temps grâce au pommeau fixé au plafond, sa douche. Entre la cellule et la salle d’eau un espace muni d’une longue table et au mur tout ce qui fait le décor d’une salle de torture.

Et sous la douche, malgré la pression, pour une fois se pose la question : mais comment en suis-je arrivé là !

Tout a commencé il y a tous justes 4 ans avec l’arrivée d’Alain et Axel. Avant cela, Vincent vivait heureux avec son père. Sa mère avait quitté son père lorsqu’il avait 3 ans et il ne l’avait jamais revue et n’avait pour ainsi dire aucun souvenir d’elle. Il vivait entouré d’amis – surtout des amis parce qu’il ne se sentait pas du tout attiré par les filles. Mais jusqu’à ses 18 ans il n’avait jamais montré publiquement ses sentiments, ses attirances. A 18 ans il était vierge sans expérience si ce n’est avec lui-même. Mais via internet il fantasmait beaucoup et ses abonnements à des sites gays payants étaient nombreux. Il se savait homo mais aucun de ses amis, ni son père n’étaient au courant.

Et puis tout a basculé. Un soir, un clerc de notaire s’est présenté devant leur propriété. Et en présence du père et du fils il a lu le testament que sa mère avait établi à sa mort. Elle demandait de la pardonner, il n’y avait pas d’héritage à espérer mais bien une supplique, celle de bien vouloir s’occuper de ses deux fils âgés de 15 et 16 ans. Elle ne voulait pas qu’ils finissent comme leur géniteur, comme leur père dans la délinquance.
Le paternel de Vincent ne donna pas directement une réponse au clerc ; il voulait un temps de réflexion ; il voulait en discuter avec son fils. Pour Vincent c’était une sorte d’euphorie : lui qui avait toujours été l’enfant unique, le gars sans frangin, sans cousins se retrouvait du jour au lendemain enrichi de 2 frères, de 2 demi-frères ! Dans sa tête d’homo frustré, sans expérience, si ce n’est celle du net, cela galopait… Il pourrait les observer quand ils se douchent, il pourrait les voir à poil et qui sait peut être aussi leur toucher la bite, car à part la sienne il n’en avait jamais touché.

Aussi quand son père lui annonça qu’il avait donné son accord au clerc pour s’occuper des fils de son ex, Vincent était aux anges. S’il avait su !!

Leur arrivée était prévue le 30 juin, à la fin de l’année scolaire. Comme la maison est grande, très grande, le père de Vincent avait fait aménager aux deuxième étage deux chambres à l’identique pour Axel et Alain. Ils se partageraient une salle de bain et pour les études, ils pourraient partager la salle d’étude qui jouxte la chambre de Vincent au premier étage.

Et quand le clerc de notaire accompagné d’un assistant social amena les deux garçons, Vincent était très nerveux, très excité.
Alain, l’aîné venait de fêter ses 16, ans. Il était mince quasi filiforme, une grosse tignasse noire et de grands yeux bruns. Axel, lui allait avoir 15 ans au mois d’août. Il était presque aussi grand que son frère mais tout en étant mince il était large d’épaule. Il était musclé sec et ses cheveux étaient blonds coupés très courts et ses yeux étaient gris. Ils portaient tous deux des shorts et leurs frusques semblaient usagées et vieillots. Pendant que le paternel terminait les paperasseries avec le clerc, Vincent précédait les garçons et les installait dans leur chambre respective. Vincent n’avait d’yeux que pour Alain. Aussi, une fois que les pauvres affaires d’Alain étaient déposées dans la chambre, Vincent lui proposa d’aller prendre une bonne douche et d’aller ensuite dans sa chambre pour choisir l’un ou l’autre vêtement avant d’aller le lendemain faire quelques emplettes. Pendant qu’Alain se douchait, Vincent était resté tout près de lui et l’observait. Il ne pouvait pas quitter son corps des yeux ; il ne pouvait pas s’empêcher de bander et, pour se calmer, il passait la tête dans la chambre d’Axel. Pour sa part, Alain ne se doutait de rien ; il était trop content de bénéficier d’une douche pour lui tout seul et la présence de Vincent ne comptait pas pour lui en comparaison de ce qu’il avait vécu les six derniers mois dans cet orphelinat où par groupe de 8 ils avaient 5 minutes pour se doucher sous l’œil des moniteurs. Une fois séché dans la salle de bain, c’est à poil, sans complexe qu’Alain suit Vincent dans sa chambre. Quand Vincent ouvre sa penderie, le jeunot n’en croit pas ses yeux : des pantalons en tout genre, au moins 10 jeans, 10 vestes et dans la lingère des dizaines de pull, de t-shirts, de polo et au moins 50 slips, boxers, caleçons mélangés.
Vincent sélectionne les frusques qui sont trop petites pour lui et les étale sur son lit pour permettre aux frères de choisir. Pendant ce temps, Axel, le plus jeune les a rejoints dans la chambre. Lui aussi tout nu.

« Tu as aussi profité comme moi de cette première douche ? » demande Alain à son frère et il poursuit « moi, totalement. Loin du bruit, des cris, des touche-pipi et des attouchements en tout genre. »
« Oui, moi aussi. Cela m’a permis de réfléchir pour voir comment j’allais pouvoir survivre ici et nous trouver de quoi améliorer notre ordinaire. J’ai peur que ma vie ici ne soit trop morne par rapport à l’ambiance et l’excitation constante de l’orphelinat et aux possibilités qu’on avait. » rétorque Axel. Et d’ajouter avec un sourire narquois « de toute façon les touche-pipi, les attouchements et le reste tu as intérêt à aimer cela » et s’approchant de son frère et le poussant sur le lit il saute sur lui et en moins de deux, il emprisonne les couilles et la queue de son frère dans une main, s’assois en califourchon sur la poitrine d’Alain et lui fout sa bite molle dans sa figure. Vincent, pour sa part est stupéfait mais l’échange verbal et la petite saynète l’ont fortement émoustillé qu’il en bande. Et cela se voit.
« Dois-je te rappeler que maman voulait que malgré que je sois le plus jeune c’est moi qui prenne soin de toi et que tu me dois une totale obéissance. » ponctue Axel, en frappant sa verge dans la figure de son frère.
« oui Axel, murmure l’aîné »
« Que dis-tu, parle à haute voix et avec la formulation correcte » répond Axel tout en continuant de frapper sa verge qui bande maintenant fortement sur la figure de son frère.
Vincent, lui n’en croit pas ses yeux mais il sent bien que ce n’est pas le moment d’intervenir ?
« Alors, j’écoute » dit Axel tout en triturant les couilles d’Alain.
« Oui, maître, je te dois une obéissance totale, je ferai ce que tu juges bon pour moi.» Alors, sur un signe de tête d’Axel, Alain ouvre grandement sa bouche et englouti la bite toute raide de son frère. Vincent n’en revient toujours pas. Il s’est laissé tomber sur le lit. Sa queue bande fortement et sous l’effet de la scène qu’il vit, il ne peut s’empêcher de prendre sa queue en main et commence à se masturber.
Mais déjà Axel se retire et libère son frère de sa double emprise. Il se lève, se dirige vers Vincent et lui met la main au paquet et dit « Depuis que nous sommes arrivés ici, tu n’as eu d’yeux que pour mon frère et tu aimerais bien qu’il en fasse autant avec toi. Tu aimerais bien n’est ce pas fourrer ta petite bite de pédé frustré dans sa petite bouche d’ado. Et bien cela ne dépend que de toi ! » Et détaillant complètement la chambre avec les yeux il annonce « il est à toi pendant une heure si tu me cèdes ton ordi et ta chaîne stéréo et si en plus tu le veux dans ton grand lit cette nuit, je te taxe de 50 frusques dans ta garde-robe. A toi de te décider. Alors tu le veux pour une heure, pour la nuit ou les deux ?» Axel bien sûr continue à exciter Vincent avec sa main experte et sans presque un moment d’hésitation Vincent éructe sa réponse « maintenant et cette nuit ». « Parfait » dit Axel en lâchant prise et ajoute « J’ai encore un petit œuf à régler avec Alain. Alors, Vince, va déjà installer ton ordi et ta chaîne stéréo dans ma chambre et tu ne reviens ici que lorsque je t’appellerai. » Et Vincent de s’exécuter en disant oui maître s’en sans rendre compte. Et pendant que Vincent déconnecte ordi et appareils stéréo, Alain sur un signe de son frère est venu se mettre à genoux devant lui. Il sait qu’il n’échappera pas à une bonne fessée pour sa nonchalance et que c’est avec les fesses toutes rouges qu’il passera les bons moments avec Vincent.

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