Vincent ou la vraie vie – Part 1 by Jerome

Il se dirige vers l’arrière de la maison et, comme d’habitude, sur la petite terrasse devant la cuisine, devant l’office comme disent Alain et Axel, il ôte ses chaussures usées, enlève son t-shirt tout aussi usé et son froc troué, replie le tout soigneusement et entre, à poil, par la porte de service. Il sait que son premier regard est pour le tableau noir accroché au mur où l’attende ses premiers ordres de cette fin d’après-midi.

Vincent a 22 ans, il est mince, très mince, blond, les cheveux coupés au plus cours comme le veulent Alain et Axel, et pour le reste pas un seul poil sur le corps si ce n’est ses sourcils. A chaque téton il porte un pearcing, sa queue est enfermée dans une cage de chasteté et juste au dessus de la base de ses reins, un tatouage explicite : je ne suis plus un homme, je suis un esclave !
Vincent s’est levé, comme d’habitude à 5 heures du mat et à 7 heures il est parti travaillé comme éboueur jusqu’à 16 heures mais il sait que sa journée est loin d’être finie.

Sur tableau il peut lire : ordres permanents (ces ordres là sont peints sur le tableau) : lave-toi, collier et sangles aux 4 membres, masque, gode en place. Et puis, écris à la craie rouge : on sera là juste après ta douche. Sois prêt à nous accueillir, sinon gare !

Vincent court vers quartiers : la cave où Alain et Axel lui on fait aménager une cellule ne comportant qu’un lit et plus loin une salle d’eau sommaire : un wc turc et en même temps grâce au pommeau fixé au plafond, sa douche. Entre la cellule et la salle d’eau un espace muni d’une longue table et au mur tout ce qui fait le décor d’une salle de torture.

Et sous la douche, malgré la pression, pour une fois se pose la question : mais comment en suis-je arrivé là !

Tout a commencé il y a tous justes 4 ans avec l’arrivée d’Alain et Axel. Avant cela, Vincent vivait heureux avec son père. Sa mère avait quitté son père lorsqu’il avait 3 ans et il ne l’avait jamais revue et n’avait pour ainsi dire aucun souvenir d’elle. Il vivait entouré d’amis – surtout des amis parce qu’il ne se sentait pas du tout attiré par les filles. Mais jusqu’à ses 18 ans il n’avait jamais montré publiquement ses sentiments, ses attirances. A 18 ans il était vierge sans expérience si ce n’est avec lui-même. Mais via internet il fantasmait beaucoup et ses abonnements à des sites gays payants étaient nombreux. Il se savait homo mais aucun de ses amis, ni son père n’étaient au courant.

Et puis tout a basculé. Un soir, un clerc de notaire s’est présenté devant leur propriété. Et en présence du père et du fils il a lu le testament que sa mère avait établi à sa mort. Elle demandait de la pardonner, il n’y avait pas d’héritage à espérer mais bien une supplique, celle de bien vouloir s’occuper de ses deux fils âgés de 15 et 16 ans. Elle ne voulait pas qu’ils finissent comme leur géniteur, comme leur père dans la délinquance.
Le paternel de Vincent ne donna pas directement une réponse au clerc ; il voulait un temps de réflexion ; il voulait en discuter avec son fils. Pour Vincent c’était une sorte d’euphorie : lui qui avait toujours été l’enfant unique, le gars sans frangin, sans cousins se retrouvait du jour au lendemain enrichi de 2 frères, de 2 demi-frères ! Dans sa tête d’homo frustré, sans expérience, si ce n’est celle du net, cela galopait… Il pourrait les observer quand ils se douchent, il pourrait les voir à poil et qui sait peut être aussi leur toucher la bite, car à part la sienne il n’en avait jamais touché.

Aussi quand son père lui annonça qu’il avait donné son accord au clerc pour s’occuper des fils de son ex, Vincent était aux anges. S’il avait su !!

Leur arrivée était prévue le 30 juin, à la fin de l’année scolaire. Comme la maison est grande, très grande, le père de Vincent avait fait aménager aux deuxième étage deux chambres à l’identique pour Axel et Alain. Ils se partageraient une salle de bain et pour les études, ils pourraient partager la salle d’étude qui jouxte la chambre de Vincent au premier étage.

Et quand le clerc de notaire accompagné d’un assistant social amena les deux garçons, Vincent était très nerveux, très excité.
Alain, l’aîné venait de fêter ses 16, ans. Il était mince quasi filiforme, une grosse tignasse noire et de grands yeux bruns. Axel, lui allait avoir 15 ans au mois d’août. Il était presque aussi grand que son frère mais tout en étant mince il était large d’épaule. Il était musclé sec et ses cheveux étaient blonds coupés très courts et ses yeux étaient gris. Ils portaient tous deux des shorts et leurs frusques semblaient usagées et vieillots. Pendant que le paternel terminait les paperasseries avec le clerc, Vincent précédait les garçons et les installait dans leur chambre respective. Vincent n’avait d’yeux que pour Alain. Aussi, une fois que les pauvres affaires d’Alain étaient déposées dans la chambre, Vincent lui proposa d’aller prendre une bonne douche et d’aller ensuite dans sa chambre pour choisir l’un ou l’autre vêtement avant d’aller le lendemain faire quelques emplettes. Pendant qu’Alain se douchait, Vincent était resté tout près de lui et l’observait. Il ne pouvait pas quitter son corps des yeux ; il ne pouvait pas s’empêcher de bander et, pour se calmer, il passait la tête dans la chambre d’Axel. Pour sa part, Alain ne se doutait de rien ; il était trop content de bénéficier d’une douche pour lui tout seul et la présence de Vincent ne comptait pas pour lui en comparaison de ce qu’il avait vécu les six derniers mois dans cet orphelinat où par groupe de 8 ils avaient 5 minutes pour se doucher sous l’œil des moniteurs. Une fois séché dans la salle de bain, c’est à poil, sans complexe qu’Alain suit Vincent dans sa chambre. Quand Vincent ouvre sa penderie, le jeunot n’en croit pas ses yeux : des pantalons en tout genre, au moins 10 jeans, 10 vestes et dans la lingère des dizaines de pull, de t-shirts, de polo et au moins 50 slips, boxers, caleçons mélangés.
Vincent sélectionne les frusques qui sont trop petites pour lui et les étale sur son lit pour permettre aux frères de choisir. Pendant ce temps, Axel, le plus jeune les a rejoints dans la chambre. Lui aussi tout nu.

« Tu as aussi profité comme moi de cette première douche ? » demande Alain à son frère et il poursuit « moi, totalement. Loin du bruit, des cris, des touche-pipi et des attouchements en tout genre. »
« Oui, moi aussi. Cela m’a permis de réfléchir pour voir comment j’allais pouvoir survivre ici et nous trouver de quoi améliorer notre ordinaire. J’ai peur que ma vie ici ne soit trop morne par rapport à l’ambiance et l’excitation constante de l’orphelinat et aux possibilités qu’on avait. » rétorque Axel. Et d’ajouter avec un sourire narquois « de toute façon les touche-pipi, les attouchements et le reste tu as intérêt à aimer cela » et s’approchant de son frère et le poussant sur le lit il saute sur lui et en moins de deux, il emprisonne les couilles et la queue de son frère dans une main, s’assois en califourchon sur la poitrine d’Alain et lui fout sa bite molle dans sa figure. Vincent, pour sa part est stupéfait mais l’échange verbal et la petite saynète l’ont fortement émoustillé qu’il en bande. Et cela se voit.
« Dois-je te rappeler que maman voulait que malgré que je sois le plus jeune c’est moi qui prenne soin de toi et que tu me dois une totale obéissance. » ponctue Axel, en frappant sa verge dans la figure de son frère.
« oui Axel, murmure l’aîné »
« Que dis-tu, parle à haute voix et avec la formulation correcte » répond Axel tout en continuant de frapper sa verge qui bande maintenant fortement sur la figure de son frère.
Vincent, lui n’en croit pas ses yeux mais il sent bien que ce n’est pas le moment d’intervenir ?
« Alors, j’écoute » dit Axel tout en triturant les couilles d’Alain.
« Oui, maître, je te dois une obéissance totale, je ferai ce que tu juges bon pour moi.» Alors, sur un signe de tête d’Axel, Alain ouvre grandement sa bouche et englouti la bite toute raide de son frère. Vincent n’en revient toujours pas. Il s’est laissé tomber sur le lit. Sa queue bande fortement et sous l’effet de la scène qu’il vit, il ne peut s’empêcher de prendre sa queue en main et commence à se masturber.
Mais déjà Axel se retire et libère son frère de sa double emprise. Il se lève, se dirige vers Vincent et lui met la main au paquet et dit « Depuis que nous sommes arrivés ici, tu n’as eu d’yeux que pour mon frère et tu aimerais bien qu’il en fasse autant avec toi. Tu aimerais bien n’est ce pas fourrer ta petite bite de pédé frustré dans sa petite bouche d’ado. Et bien cela ne dépend que de toi ! » Et détaillant complètement la chambre avec les yeux il annonce « il est à toi pendant une heure si tu me cèdes ton ordi et ta chaîne stéréo et si en plus tu le veux dans ton grand lit cette nuit, je te taxe de 50 frusques dans ta garde-robe. A toi de te décider. Alors tu le veux pour une heure, pour la nuit ou les deux ?» Axel bien sûr continue à exciter Vincent avec sa main experte et sans presque un moment d’hésitation Vincent éructe sa réponse « maintenant et cette nuit ». « Parfait » dit Axel en lâchant prise et ajoute « J’ai encore un petit œuf à régler avec Alain. Alors, Vince, va déjà installer ton ordi et ta chaîne stéréo dans ma chambre et tu ne reviens ici que lorsque je t’appellerai. » Et Vincent de s’exécuter en disant oui maître s’en sans rendre compte. Et pendant que Vincent déconnecte ordi et appareils stéréo, Alain sur un signe de son frère est venu se mettre à genoux devant lui. Il sait qu’il n’échappera pas à une bonne fessée pour sa nonchalance et que c’est avec les fesses toutes rouges qu’il passera les bons moments avec Vincent.

Les Aventures De Julien


Par Julien

Chapitre I : Présentations.
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Il est 7 heures, la radio se met en marche, j’ouvre les yeux péniblement. Ma copine est partie hier, jeudi soir, pour un long week-end. Je sais qu’aujourd’hui va être Le Jour. Si je dois me jeter à l’eau, ça se passera ce soir, et j’ai très envie de ma lancée. Mais c’est difficile. C’est donc un peu tremblant que j’entre dans la salle de bains, et me met sous la douche. Brûlante. J’ai eu des consignes et je me suis promis de les respecter jusqu’au bout. En effet, qui ne tente rien n’a rien ! Et je veux vraiment découvrir cette âme soumise que je sais être la mienne. Je veux aller au bout de mes possibilités. Et c’est ce soir, puis ce week-end que je vais faire ce dont j’ai envie depuis si longtemps…

Je ne Les ai jamais rencontrés. Mais nous avons longuement discuté. Tout d’abord par l’intermédiaire du mail. Je leur ai envoyé une photo de moi. Je me suis présenté, j’ai du me mettre à nu. Ils savent tout de moi et de mes envies. D’Eux, je n ‘ai que leur photo, ou presque… Alex est assez grand, brun, la bouche entourée d’une fine barbe et d’une moustache. Ma copine Le trouverai mignon. Moi je regarde rarement les hommes, mais Il ne me déplaît pas. Carole, brune, les yeux verts est vraiment le type de femme qui m’attire. De toute façon, si j’ai le courage d’aller jusqu’au bout, je n’aurai plus le choix…

Première consigne : être rasé de prêt. Le sexe, les dessous de bras et, évidemment, la barbe. Sans oublier l’anus. Je commence par la barbe, ça j’ai l’habitude. Puis les bras, le gauche est plus facile à raser que le droit, je suis droitier. Je passe de la mousse à raser partout autour de mon sexe et sur les 2 boules dont je sens qu’elles sont gorgées de sang… est-ce l’appréhension ou le désir qui monte ? Doucement, je m’applique à ne laisser aucun poil sur mon sexe ni autour. Au bout de quelques
instants, je sens ma queue se durcir. Mais la deuxième consigne est de ne pas me faire jouir, je ne dois pas me branler. Enfin, j’enduis le
creux de mes fesses de mousse à raser. Quelques minutes plus tard, je suis prêt, je m’observe dans la glace de la salle de bains. Je suis nu, au sens le plus profond du terme, même plus un poil pour cacher mon intimité. Mais j’aime déjà çà…

Je retourne dans la chambre. Je prépare costume, chemise et cravate. Troisième consigne : Pas de sous-vêtements. Du moins pour le moment. Je mets donc mon pantalon, sans caleçon. Je bois mon jus d’orange. Je sors. Dans le métro, j’ai l’impression que tout le monde est au courant de mes projets. Non ! De Leurs projets ! C’est Eux qui vont me prendre en main. Dès qu’un regard se pose sur moi, je rougis, timide. Au bureau, la matinée se passe normalement. Aujourd’hui je ne mange pas avec mes collègues à midi. Quatrième consigne : Pendant la pause déjeuner, je dois me rendre dans un grand centre commercial et y faire un achat dans un magasin qui m’a été désigné à l’avance. Un string. Je n’ose pas me servir dans le rayon. Mais Il m’a bien été précisé que je devais bien être sûr que le modèle que je choisirai sera à leur goût. Mais comment ne pas me tromper. Je prends donc, l’un après l’autre, les six modèles différents. Je suis étonné d’apprendre que la plupart des modèles pour hommes n’ont pas une ficelle dans les fesses, mais 2, une sous chaque fesse, laissant ainsi le cul bien visible. Je me dirige vers la caisse, je paie, non sans avoir essuyé un sourire coquin de la vendeuse. Je retourne au bureau. J’attends avec impatience 17 heures. Je suis évidement allé faire
un tour aux toilettes pour me vêtir du string.

Ca y est, la semaine de travail est terminée. Je vais acheter une bouteille de Champagne pour Alex et un bouquet de fleurs pour Carole. Je sens mon coeur battre à tout rompre lorsque je sonne à la porte. Je suis bien évidement pile à l’heure. Il m’ouvre.

– Bonsoir Julien.
– Bonsoir. Tenez, ceci est pour Vous, dis-je en lui tendant la bouteille.
– Merci, je vais la mettre au frais. Carole t’attend dans le salon, Elle adore les fleurs,
c’est un bon point pour toi.

A ce moment, je ne pense qu’à une seule chose “Mais qu’est ce que je fous là !!!”. Tremblant de tous mes membres je me dirige vers la pièce qu’Alex vient de m’indiquer.

– Hé là… tu oublies quelque chose !
– Pardon ?
– Déshabille-toi !
– Ici ???
– Evidemment ici !!!

Je sais que le point de non-retour, c’est maintenant. Je sais aussi, car nous l’avons décidé ensemble à l’avance, que si je n’ai pas le courage, Ils ne m’en voudront pas, mais que je n’aurai pas de seconde chance. J’ai froid. La terreur est, pour moi, à son paroxysme. Je sens poindre un léger sourire sur les lèvres d’Alex. Je commence donc à poser les fleurs sur le secrétaire de l’entrée. Je pose ma veste, cherche des yeux un endroit pour la mettre.

– Mets tout par terre ! Sauf le string. Carole aime bien le modèle que tu as choisi…

Ils étaient donc là, près de moi, dans le magasin. Je sens mes joues de plus en plus rouges. Je pose mes chaussures, mes c
haussettes. Mon pantalon tombe tout seul dès que j’ai ôté la ceinture. Il fait un tas à mes pieds. Je le pousse doucement tout tremblant. Puis c’est le tour de la chemise. Je la laisse tomber sur mon pantalon. Je ne suis pas nu, mais c’est pire. En string devant un homme. Et qui à l’air d’apprécier le spectacle en plus. Je sais qu’Alex est bisexuel. Je pense l’être moi aussi. Mais je n’ai encore jamais eu d’expérience qui me le prouve.

– Bon, amène-moi tout ça. Me lance-t-Il le sourire maintenant vraiment visible…

Après m’avoir dit merci, Il jette tout au fond d’un placard qu’Il ferme à clef.

– Tu as décidé. J’en suis très heureux. J’espère que tu ne le regretteras pas. En tout cas, je sais que ce ne sera pas mon cas. Allez amène les fleurs à Carole, Elle va s’impatienter…

Je me retourne, prends les fleurs et me dirige vers le salon d’un pas hésitant.

– Tu sais, Elle n’aime pas attendre. Sa voix est ferme. Je pousse la porte entrouverte.
– Bonsoir Julien. Mmmm
mhhhh des fleurs. Merci.
– Bonsoir.

Sur la table basse j’aperçois des photos, de moi, choisissant un string. Mais mon regard peut difficilement se détourner de Carole. Elle est magnifique dans sa jupe de cuir. Je sais que j’ai eu raison de venir et de rester. Ils vont faire de moi ce qu’Ils veulent. Ils m’apprendront à dépasser mes limites. Ce week-end, je suis à Eux. Mais tout se précipite déjà…

– As-tu bien suivi toutes nos consignes ?
– Euh, je pense…
– Oui ou non ? Le ton de Carole ne laisse place à aucune discussion.
– Oui.

Alex s’assoit près de Carole.

– J’espère pour toi. Montre-nous. Les bras.

Je lève les bras, l’un après l’autre. J’ai l’impression d’être un petit enfant à qui l’on fait passer l’inspection après la toilette. Mais n’est ce pas ce que je suis, un novice, je veux tout apprendre. Je suis prêt à tout découvrir, même ce que je n’ai pas encore imaginé.

– Bien, les fesses maintenant. Ordonne Alex.

Je me tourne.

– Penche-toi. Ecarte-les.

Je m’exécute. Un trou de souris serait vraiment trop gros pour moi en ce moment tellement j’ai envie de me cacher.

– Alex, tu ne trouve pas qu’il est mignon quand il rougit comme ça ? demande Carole en se levant. Je sens sa main sur ma fesse gauche, puis la droite. Elle me caresse ainsi quelques secondes, puis je sens une claque de chaque coté.
– Allez, tournes toi maintenant.
– Bien, baisse-moi ce string. Plus vite que ça, tu ne veux pas que je t’aide, si ?

En fait, j’aimerai bien qu’on m’aide, mais je me garde bien de le dire. Lorsque le string m’arrive aux genoux, Alex m’ordonne de m’arrêter.

– Ca peut aller dit Carole. Comme tout à l’heure, sa main vérifie que ma peau est douce. Je sens des frissons dans mon dos lorsque ses doigts s’attardent sur mon pénis.
– Parfait Alex, tu peux l’attacher maintenant…


Chapitre II : Paroles.
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Alex s’approche de moi, je n’ose pas bouger. Il se penc
he un peu pour pouvoir remonter mon string. Au passage, Il en profite évidemment pour m’effleurer le sexe tout en me regardant droit dans les yeux. Il s’amuse de me voir rougir. J’ai honte. Il le sait et Il aime ça. Il me prend par le bras et me guide vers une pièce ou je ne suis pas encore allé. C’est un bureau. On y trouve un ordinateur, un divan qui a l’air particulièrement confortable, un petit meuble qui doit certainement servir à ranger des dossiers et tout un pan de mur, formé par une porte
coulissante doit abriter un grand placard.

– Assied toi contre ce mur, entre les crochets.

J’aperçois effectivement six crochets. Quatre sont fixés au mur et deux au sol. Lorsque je suis assis, deux des crochets muraux sont légèrement en dessous de mes épaules et les deux autres quasiment au niveau du sol. Alex commence par m’attacher les poignets à ceux du bas grâce à de petits bracelets en cuir. Ensuite Il m’attache deux autres bracelets, juste en dessous des aisselles, puis fixe les bracelets aux crochets du haut. Mon dos est maintenant plaqué au mur, de sorte que je ne puisse plus bouger. Seules mes jambes sont encore libres. Mais plus pour longtemps car mes chevilles se retrouvent vite attachées elles aussi, à environ 70 centimètres du mur. Dans cette position, j’ai les jambes écartés, les fesses légèrement avancées par rapport au mur. Alex passe sa main à l’intérieur de mes cuisses et fait courir un doigt entre mes fesses, écartées par la position de mes jambes. Je me rends compte que mon anus est offert à la vue de tous et que je n’y peux rien. Après ces préparatifs, Alex me laisse seul.

– Ne bouge pas, me dit-Il avec un léger sourire. Il sait très bien, et moi aussi d’ailleurs, que je n’ai aucune chance de bouger.

Lorsqu’Il sort, Il éteint la lumière, me laissant seul dans le noir, dans le doute, et finalement, dans la peur. Au bout d’un temps certain, peut-être quelques minutes, peut-être plusieurs heures, je ne sens plus mes muscles, engourdis. La porte s’ouvre. Carole entre, suivie d’Alex. Ils ont chacun un verre de Champagne dans la main. Alex tiens dans son autre main une bouteille de Champagne qui n’est pas la mienne. Ils m’observent, un grand sourire se lit sur leurs lèvres. Je sais qu’Ils sont heureux de m’avoir pour eux. Je sais, car Ils me l’ont souvent dit, et par les exemples et les preuves qu’Ils m’ont données, que je n’ai rien à craindre, si ce n’est de ne pas savoir ce qui m’attend. Ils vont s’asseoir tranquillement sur le divan. Carole m’observe dans les moindres détails. Elle s’adresse à Alex :

– Je pense qu’Il sera à mon goût ! C’est un beau cadeau que tu m’offres là, merci chéri.
– Je suis d’accord avec toi Carole. Mais reste à savoir ce qu’il a dans le ventre.
– Pour ça, je te fais confiance, mais chaque chose en son temps si tu veux bien.

Je me demande s’il faut voir dans ces quelques mots une allusion à ce qui m’attend… Ils s’en rendent compte et partent tous les deux d’un grand rire. Carole se tourne vers moi et me pose une question qui est, j’en suis sûr, ma première épreuve :

– Pourquoi es-tu venu ?
– Euh… je ne sais pas trop. Envie de découvrir de nouvelles choses.
– Je veux une VRAIE réponse !

Je rougis de plus en plus, je sens mes tempes résonner du sang qui afflue à mon cerveau. Il faut vraiment que je passe outre mes inhibitions. Je le savais avant de venir, je suis timide, je n’ose pas souvent, et pourtant…

– Justement… je veux me surpasser, et vous dire ce que vous me demandez est déjà une grande difficulté. Je veux me montrer, je veux… je veux arriver à vaincre tous mes tabous, je veux pouvoir tout faire, ou tout au moins savoir que je suis capable de tout faire.
– Bien ! Le ton de Carole s’est un peu radoucit. Tes voeux vont s’exaucer. Alex et Moi allons tout faire pour cela. N’est-ce pas Alex ?
– Certainement !
– Parles-nous de toi et de ta copine. Comment faites-vous l’amour ?
– Ce que j’aime chez elle, c’est son corps. Je pourrais rester des heures à le car esser. Et plus que tout, j’adore les cunilingus. Souvent je ne la fais jouir qu’avec l’aide de ma langue.
– Intéressant. Donc tu aimes lui lécher la chatte.
– Oui… et l’anus aussi, j’aime la pénétrer avec ma langue.
– Ahhhh ! Et tu l’encules ?

Je n’ai pas l’habitude de parler ainsi et ces mots que Carole utilise, je ne saurai les utiliser moi-même. En me disant que, personnellement, j’aurai plutôt dis “Et tu la prends par derrière ?”, je me rends compte que les deux expressions veulent dire la même chose et que l’une n’est pas mieux que l’autre.

– Oui, Mais rarement, je crois qu’elle aime ça plus que moi.

Et, comme si Carole pouvait lire dans mes pensées…

– Elle aime QUOI plus que toi ?
– Et bien… que… je… l’encule.
– Tu n’aime pas ?
– Je préfère la prendre normalement, par devant.
– Pourquoi ?
– Je ne sais pas… je…
– Si tu le sais ! Dis-le.
– Vraiment non, je… enfin, c’est peut être parce que ça pourrait être sale.
– J’espère pour toi que ta copine se lave et qu’elle sent aussi bon que toi.
– Oui… merci.
– De rien, c’est vrai. Alors tu n’as rien à craindre. Et elle, est ce qu’il lui arrive de t’enculer parfois ?
– Elle me met un doigt, de temps en temps…
– Et tu aimes ça mon petit Julien ?
– Oui.
– Tu n’as jamais eu rien d’autre dans le cul qu’un doigt alors ?
– Non.

Carole viens de finir son verre et retourne sur le divan. Elle se ressert. Me regarde de longues secondes. J’ai l’impression qu’elle se demande ce qu’elle va faire de moi. Mais au plus profond de moi, je sais qu’elle sait. Elle sait ce qu’elle va faire, elle ne me regarde ainsi que pour me mettre mal à l’aise, pour scruter jusqu’au moindre détail de mon âme et de mon intimité. Au bout de deux bonnes minutes, alors que Carole termine son second verre de Champagne depuis qu’ils sont entrés dans la pièce

(mais elle en a certainement bu quelques autres avant à en juger par le pétillant de ses yeux), Alex se lève et s’approche de moi.

– Viens par ici ma chérie.

Elle se lève, lentement s’approche et viens se placer devant moi, sa jupe de cuir se rapproche de mon visage. D’une main, Alex la soulève et j’aperçois la dentelle du haut de ses bas, puis les porte-jarretelles, et enfin la culotte.

– Bonne idée Alex, j’ai envie qu’il me montre comment il lèche sa copine.
– Bien sûr, mais attends quelques secondes.

Alex sors de la pièce. Pendant ce temps, Carole frotte son sexe sur mon visage. Elle remonte entièrement sa jupe au-dessus de la taille, et lève légèrement une jambe pour que je puisse mieux accéder à cet objet de tous les désirs à travers la soie et les dentelles de sa culotte. Alors que je sors ma langue, Elle recule.

– Non ! Alex a dit d’attendre, et tu vas faire ce qu’on te dit de faire. Et uniquement ce qu’on te dit de faire !

Sur ces mots qui marquent ma première frustration, Alex revient. Il tient dans sa main un appareil photo.

Chapitre III : Clichés.
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– Lèche là.

Ces mots résonnent dans ma tête. Je tire sur mes bras pour approcher mon visage le plus possible du sexe encore protégé par le fin tissu. Carole se recule imperceptiblement, m’obligeant à ouvrir la bouche et lancer ma langue le plus loin possible pour accéder au lieu de tous les plaisirs. Lorsque ma langue entre en contact avec la soie, le premier flash inonde la pièce tel un éclair. Il restera des preuves de mes actions. Peut-être seront-ils nombreux ceux qui me verront ainsi attaché. Au bout de quelques minutes de ce traitement, et après de nombreuses photos, ma langue commence à se faire douloureusement sentir. Mais je sens la respiration de Carole s’accélérer. Le bout de tissu est maintenant trempé, tant par les sécrétions féminines de celle qui me surplombe que par ma salive. Alex tire sur le tissu pour me laisser enfin accéder à la chair brûlante du sexe de Carole. J’envoie ma langue jouer avec le bouton de Carole, puis pénètre ce sexe qui m’aspire. Une dernière photo prise par-dessous, entre les fesses de Carole, et Alex s’éloigne pour changer de pellicule. Il revient bientôt, l’appareil à nouveau chargé dans une main, et un godemiché dans l’autre. Après avoir tendrement embrassé Carole il lui dit :

– Recule-toi un peu Chérie s’il te plaît.

Elle s’exécute. Il plante lentement le phallus factice entre les reins de sa femme et la pousse gentiment vers moi. La voilà qui s’approche de moi, cet objet maintenant à auteur de mon visage. Après avoir réglé l’appareil photo, Alex me lance :

– Prends le dans ta bouche.

Alors que j’attrape le godemiché avec mes dents, Carole commence des allers-retours très lents, mais de plus en plus profonds. Bientôt mon nez cogne son clitoris avec une régularité d’horloge. Pour moi, la scène est surréaliste. Mais carrément plaisante à en juger par la taille de mon sexe qui essaie désespérément de s’extirper de son string. Les flashes crépitent à une cadence folle.

– Alex… Chéri… je crois que je ne vais pas tarder à jouir.
– J’espère bien ma chérie.

Ils s’embrassent. Amoureusement. Alex pose l’appareil photo, puis, alors que d’une main il caresse les seins de sa femme à travers son petit haut, de l’autre il m’attrape les cheveux pour me forcer à accélérer le mouvement. Je transpire. J’entends Carole qui, dans un souffle, lentement, dit à son mari :

– Mmmmhhhh… c’est bon, ne t’arrêtes pas…

Sur ces mots, Alex se saisit à nouveau de l’appareil et prend des clichés de Carole en gros plan lorsqu’elle s’abandonne à l’orgasme. Je sens les jambes de Carole trembler, elle recule. J’ai l’air bête, l’objet qui a donné du plaisir à Carole entre les dents. Tout à coup, comme si rien ne s’était passé, Carole est redevenue elle-même. Elle attrape le god, se met à genoux devant moi, m’embrasse sur la joue.

– Merci Julien. J’ai encore envie que tu me lèche, mais lentement, et avec ta langue. En attendant, nous n’avons plus besoin de ça.
.. elle réfléchit quelques secondes… en tous cas nous n’en avons plus besoin pour moi.

Elle tend la main et dirige ce sexe plastique vers mon cul. Elle caresse mon anus avec la pointe de l’objet. Ma transpiration, la lubrification naturelle du god, dues aux sécrétions de Carole, font que l’objet entre en moi sans trop de difficulté. C’est la première fois qu’un objet de cette taille entre en moi, c’est une sensation étrange, mais agréable. Carole commence de lent va et vient pendant quelques secondes. De plus en plus profond. Alex prend un cliché de moi ainsi, un god dans l’anus, nu ou presque, attaché au mur, dans l’incapacité de bouger… Carole se lève et approche son sexe de mon visage.

– Continue à me lécher… lentement !

J’envoie ma langue parcourir le sexe de celle qui vient de me sodomiser avec l’objet que j’avais dans la bouche quelques secondes plus tôt. Je m’applique à n’oublier aucune parcelle de la peau nue de Carole. Lentement, ma langue en parcours tous les recoins in times, brûlants et humides. Carole penche la tête en arrière, passe les mains dans sa longue chevelure brune. Et toujours des flashes. Alex, entre deux photos, vient faire quelques aller retour dans mes entrailles avec le god. Je sens que s’il continue ce traitement, je ne vais pas tarder à jouir. Mais, une fois de plus, j’ai l’impression qu’ils peuvent lire mes pensées. Il retire l’engin brusquement, le pose parterre, la pointe dirigée vers l’entrée maintenant ouverte de mon cul et se retire un peu pour pouvoir prendre une photo. Je ne suis plus moi-même, je viens de me faire enculer par un god pendant que je lèche une femme que je n’avais encore jamais rencontrée. Et voilà que maintenant Alex enfourne un doigt dans mon cul béant et me branle ainsi.

Au bout que quelques minutes de cet heureux traitement, Carole se retire, apparemment épuisée. Elle va se servir une nouvelle coupe de champagne et s’installer dans le divan. Alex, lui, continue de me branler le cul. Carole a l’air d’apprécier la scène.

– Vous m’excitez tous les deux ! Tiens chéri, donne un peu de champagne à notre petit protégé.

Elle lui tend son verre, qu’il place entre mes lèvres et me permet de boire, sans arrêter ses allers-retours en moi. J’ai du mal à boire, un filet de champagne coule de mes lèvres, ruisselle dans ma gorge et sur mon torse pour venir tremper mon string. Carole rit de me voir ainsi, elle à l’air heureuse. Je me rends compte que moi aussi je suis heureux. Tout ce qui m’arrive là, même si je n’en ai pas l’initiative, c’est un peu moi qui l’ai décidé. C’est moi qui ai décidé de ne pas faire demi-tour avant

d’arriver chez mes hôtes, même si l’envie ne m’en a pas manquée à de nombreux instants. Et c’est aussi moi qui me suis déshabillé, affirmant ainsi que je m’offrais à ce couple. Alex pose le verre lorsque Carole l’appelle.

– Viens ici Alex, je vois quelque chose qui essaie en vain de sortir de ton pantalon.

Quelques secondes plus tard, Alex se retrouve sans pantalon, son sexe fièrement dressé face à Carole qui, après y avoir déposé un baiser, Sourit à Alex.

– Je suis sûre que Julien suce très bien, vu la façon dont il ma léché la chatte. Allez, ne te fais pas prier. Julien, tu vas sucer Alex. Je veux le prendre en photo lui aussi quand il jouira. Tu en as envie j’espère ?
– Oui.
– Oui qui ?
– Oui Carole.
– A partir de maintenant, ce sera Madame et Monsieur quand tu t’adresseras à nous, compris ?
– Compris Madame.
– C’est bien, et de toutes façons, que tu en aies envie ou pas, pour l’instant ce que je veux c’est prendre Alex en photo. Et tu es la seule personne à pouvoir m’aider. Suce-le ! Et appliques toi !

Alex s’approche et me présente sa bite. Je ne tarde pas à la prendre dans ma bouche. Visiblement, Carole est passé à la vitesse supérieure. Est-ce elle qui va prendre les choses en main ? Alors que je me rends compte que sucer une queue n’est pas désagréable du tout, je réalise que j’ai bien fait de venir. Jamais je n’aurais osé faire ce que je suis en train de faire. Mais ici, je n’ai d’autre choix que d’oser. Alors ma langue parcourt ce sexe, ma bouche aspire ces couilles puis avale ce pieu de chair.

– C’est vrai qu’il suce bien Carole.
– Je te l’avais dis, j’en étais sûre. C’est bien la première fois que tu suces un homme non ?

Sans m’arrêter, je fais “oui” de la tête.

– C’est bien, je crois qu’on va pouvoir faire de grandes choses avec toi. Et je suis certaine que tu as beaucoup moins de tabous que ce que tu prétends. Tu aimes sucer Alex hein ?

Encore “oui” de la tête.

– Regarde-moi que je prenne ton regard.

La queue toujours dans la bouche, je tourne la tête et Carole me photographie ainsi, dans ce que je crois être la plus perverse des situations. Mais c’est parce que je ne sais pas encore ce que me réserve l’avenir avec eux.

– Ouvre les yeux… oui, c’est bien… lèche-lui les couilles, il adore ça… regarde Alex dans les yeux, que tu vois ce que tu es devenu ici. Tu n’es pl
us un homme, ni une femme, tu es juste un objet sexuel, tu es NOTRE objet sexuel… Mais tu verras, tu es capable de bien plus de choses encore.

Carole entrecoupe ses paroles de clichés, comme pour garder des preuves de ce qu’elle avance. Puis elle fait couler un peu de champagne sur le sexe d’Alex, je déguste autant le liquide que le sexe et m’applique encore plus à donner du plaisir à cet homme qui prend ma tête dans ces mains et m’oblige ainsi à le sucer le plus profond possible, et de plus en plus vite. Il ne tarde pas à se retirer et à jouir sur mon visage. Le sperme se mélange au champagne. J’en ai de partout, sur les joues, dans les cheveux, sur la gorge et sur le torse. L’appareil photo ne rate rien de la scène, et surtout pas le visage d’Alex, que Carole s’est appliquée à prendre en gros plan lorsqu’il a lâché sa semence sur moi.

Promptement, Alex remet sa queue dans ma bouche et je sens un dernier petit soubresaut de son bassin qui fait couler une dernière petite quantité de sperme dans ma bouche. Je l’avale. En riant (comme je m’en rendrai compte au fur et à mesure, Carole rit très souvent), Carole me mitraille ainsi. Elle demande à Alex de se reculer pour que je sois seul dans l’objectif, dégoulinant de sperme et de champagne, toujours attaché, une solide érection sous mon string. Carole se baisse vers moi et libère mes jambes, sérieusement engourdies maintenant. Puis mes bras et enfin mes poignets. Elle m’embrasse rapidement sur la bouche avec son si joli sourire. Puis elle passe un doigt dans mon cou, ce qui me procure un frisson. Elle porte ce doigt à ma bouche, il est recouvert du sperme de son mari. Je le lèche et en apprécie le goût, nouveau pour moi.

– C’est bien, tu es adorable, mais je crois qu’il est temps pour toi d’aller prendre une douche.


Chapitre IV : Trajet.
————-

Une dernière photo et me voilà dans la salle de bain. Carole et Alex, qui se sont rhabillés, sont derrière moi. Ils m’observent. Je suis gêné. Visiblement, ils ne partiront pas. Je me résous donc et baisse mon string, le sexe toujours en érection. Mais Carole stoppe mon geste.

– Je crois qu’il a aussi besoin d’être nettoyé, il est plein de champagne et de foutre. Gardes-le ! Et je suis sûre que tu en profiterais pour te caresser…

Joignant le geste à la parole, elle prend mon sexe dans une main et y dépose un baiser délicat. Je n’ose pas les regarder mais j’imagine très bien leur regard fixé sur moi. Lorsque j’entre dans la douche et que j’en ferme la porte, Alex me demande :

– Pourquoi as-tu fermé ?
– Je ne sais pas… Monsieur.

J’ai failli oublier le “Monsieur”. J’ouvre la porte. Ils m’observent. Je laisse couler l’eau sur mon corps quelques secondes puis commence à me nettoyer. Mon string est maintenant carrément trempé, on distingue encore plus mon sexe à l’intérieur. Je savonne le string tout comme le reste de mon corps puis je me rince. J’éteins l’eau. Ils sont tous les deux devant la douche. Je les regarde, j’ose, droit dans les yeux. Carole, toujours son magnifique sourire sur les lèvres, s’écarte et me tend une serviette. Alex sort de la salle de bains et demande :

– Chérie, tu prendras bien une coupe du champagne que nous a amené Julien ?
– Bien sûr, mais laisse donc, il va nous servir. Je pense que c’est un de ses nombreux talents et qu’il fera ça très bien. Allez Julien, dépêches-toi.

Je suis Carole jusqu’au salon, toujours uniquement vêtu de mon string mouillé. De toute façon, j’ai la conviction que se sera mon seul vêtement durant mon séjour ici. Carole s’installe dans un fauteuil à coté d’Alex. La bouteille de champagne se trouve sur la table basse ainsi que trois flûtes. Je nous sers, Alex m’indique une chaise en face d’eux. Et nous discutons comme si de rien n’était. Enfin, pas tout à fait, ce sont surtout eux qui posent des questions, sur mon travail, mes amis,… Moi, gardant sans cesse à l’esprit que ce string en montre plus qu’il n’en cache, je n’ose pas dire grand chose. Nous restons là peut être une heure, avec parfois de longs silences qui me mettent mal à l’aise, me font rougir un peu plus, et qui, j’ai l’impression, font le bonheur de mes deux hôtes. La bouteille est terminée depuis un moment déjà lorsque Carole dit :

– Et bien, je crois que la prochaine bouteille de champagne, nous la boirons au restaurant.

Et elle se lève, suivi d’Alex qui me fait signe d’en faire autant. Nous sortons, ce n’était pas prévu, mais au diable l’avarice, c’est pour l’imprévu que je suis là. Leur voiture se trouve dans le garage, et pour se rendre au garage, il faut traverser le jardin. Il ne fait pas encore totalement nuit et quelques lumières sont allumées dans les maisons du voisinage. Je n’ose pas demander de quoi me couvrir, je sais que de toute façon cela me sera refusé. Je les suis donc dans le jardin, persuadé que tous les yeux du quartier sont fixés sur moi. Alex n’a pas oublié son appareil photo. Il se met au volant, Carole à coté de lui. Alors que je me dirige vers la porte arrière, elle me dit d’aller ouvrir le portail. Je suis terrifié. Mais je m’exécute. Après avoir ouvert le portail, j’attends que la voiture soit sortie. J’ai l’impression qu’Alex fait exprès de rouler lentement. Je croise le regard d’une femme qui est à sa fenêtre, je suis rouge de honte, elle arbore un grand sourire et me fait un petit signe de la main. Je ferme le portail et me rue dans la voiture. Alex et Carole rient de bon cœur, je ne sais pas pourquoi, mais m’en doute un peu.

– Tu serais plus à l’aise sans ton string, donne-le-moi me dit Carole en me regardant à travers le miroir de courtoisie.

Je pose mon string et suis maintenant nu, en plein Paris, un vendredi soir. Nous croisons de nombreuses voitures et je sens souvent des regards et des doigts pointés vers moi. Je me tasse sur mon siège, mais cela ne sert strictement à rien. Alex, tout en conduisant lance souvent des regards dans le rétroviseur.

– C’est vrai qu’il est mignon Carole.
– Tout à fait d’accord avec toi.
– Quand il rougit comme ça… et regarde moi cette belle queue…
– Oui, mais le pauvre est moins à l’aise que tout à l’heure, il bandait tellement fort qu’il à faillit faire craquer son string.

Toujours le mot pour rire. C’est vrai que je ne suis pas à l’aise du tout. Surtout lorsque nous nous arrêtons aux feux rouges. Tout à coup Carole se tourne vers moi.

– Branles toi ! Je te veux dur comme tu l’étais tout à l’heure. Mais surtout ne jouis pas ! Nous ne sommes pas arrivés et tu n’as de toute façon pas ma permission.
– Excellente idée !

Alex à l’air d’accord avec sa femme et profite d’un nouveau feu rouge pour se tourner vers moi. Je prends mon sexe dans la main droite et commence un lent mouvement de va et vient. J’ai honte de faire ça devant d’autres personnes. Mais ils ont l’air d’apprécier. Et moi aussi, mon sexe ne tarde pas à se durcir sous mes lentes caresses. Mais cela n’a pas l’air de convenir à Carole.

– Plus vite ! Je suis sûre que quand tu es seul dans tes toilett
es, tu te branles mieux que ça…

J’obéis alors que nous sortons de Paris et que nous prenons une petite route. Je me branle carrément, mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps ce rythme sans jouir.

– C’est bien mieux comme ça. Regarde-moi !

Je plonge mon regard dans les yeux verts et profonds de Carole. Seul le plafonnier éclaire son visage. Je sens que je vais jouir, et Carole le sait aussi.

– Est-ce que je peux m’arrêter… Madame… Je vais jouir…
– Non, ralenti si tu veux, regarde-moi… Voilà… Tournes toi maintenant.

Je me tourne, pose la tête sur le dossier. Je suis à genoux sur le siège en cuir, montrant ainsi mon cul à Carole, toujours tournée vers moi.

– Lèves les fesses… Continue de te branler… Mieux que ça… Mais sans jouir…

Je vois les phares des voitures se trouvant derrière nous. Tout à coup, je sens une claque sur mes fesses, puis une autre. Je me branle toujours, m’arrêtant à chaque fois que je suis au bord de l’explosion. J’ai envie de jouir plus que jamais. Mais ce n’est pas maintenant que je dois me laisser aller. Carole humecte son index et commence à agacer mon sphincter. Elle me pénètre avec son doigt et effectue des cercles de plus en plus larges. La sensation est… sensationnelle. Je suis obligé d’arrêter une fois de plus ma branlette. Alors que je reprends, elle me tend un objet et m’ordonne de le lécher. C’est un autre godemiché, mais plus court et plus large que le premier que j’ai eu dans le cul. Sa base se rétrécie et il se termine par une partie plus large. Me doutant de sa destination, je m’empresse de bien l’humecter pour le lubrifier un maximum.

– C’est bien, rend moi le plug maintenant… continue à te branler…

Je sens la pointe de l’objet frapper à la porte de mon anus, qui ne tarde pas à s’ouvrir. Il entre, lentement, il me déchire les chairs. Ca fait mal, tout en me procurant encore plus de plaisir. Carole force pour le faire entrer. Lorsqu’il est en place, elle se retourne et jette mon string sur la banquette à côté de moi.

– Arrête-toi maintenant. Assied toi et remet ton string, nous arrivons.

Je me tourne et lorsque je m’assieds, le plug finit d’entrer plus profondément en moi. Je remets mon string qui ne cache évidemment pas l’objet puisque les deux ficelles passent chacune sous une fesse. La sensation est étrange. Une fois de plus, je me sens nu, je ne suis plus qu’un objet sexuel, tout comme ce plug qui me pénètre et qui s’offre à la vue de tous. Je commence à m’habituer à lui petit à petit lorsque la voiture tourne et prends un chemin de terre. Au bout de quelques minutes, alors que Carole et Alex discutent comme si je n’étais pas là, nous arrivons devant ce que l’on pourrait appeler une ferme. Plusieurs voitures sont à l’extérieur et des gens entrent par la porte d’où sors une lumière jaune. Je me rends compte que je vais certainement devoir entrer là dedans moi aussi et la peur monte en moi alors que mon sexe lui, descend rapidement. Le sourire aux lèvres, Alex se tourne vers moi.

– Tu vas voir, on mange très bien ici. Allez, passe devant.
– Mais…
– Pas de discussions ! Tu as fait un choix. Ce choix était de nous faire confiance. Nous ne trahirons pas cette confiance, mais il faut que toi aussi tu tiennes tes engagements, alors sors de la voiture.

Après de longues secondes de réflexion – Est-ce un endroit ou des gens dans mon état sont accepté ? Que va-t-il m’arriver ? … – Je me rends compte que certaines personnes sont vêtues de latex, une femme est tenue en laisse avec pour seule tenue une ceinture de chasteté. Mais la plupart des gens sont habillés normalement. Lentement, j’ouvre la porte, le sourire de Carole me réconforte. Carole sort après moi. Je suis pieds-nus et nous sommes sur des graviers. Cela ajouté à l’objet fiché dans mon cul me donne une démarche étrange. Alex nous rejoint. Il passe devant nous et se dirige vers l’entrée. Sur un geste de Carole, je le suis, elle termine la marche. Je sens de nombreux regards su
r moi. Alors qu’Alex échange une embrassade avec une magnifique rousse qui se tient à l’entrée, je m’arrête. Alex et la rousse et tournent vers moi.

– Maeva, je te présente Julien… Tu connais bien sûr déjà Carole.
– Bonsoir et bienvenu Julien… Heureuse de te revoir Carole… Entrez, je vous en prie.
– Bonsoir Madame.
– Ca me fait plaisir d’être là Maeva.
– Julien, puisque c’est la première fois que tu viens ici, je vais te donner les règles de la maison. Elles sont très simples et au nombre de deux. La première est que tu dois servir le repas au couple qui t’accompagne. Tu mangeras à leur table, mais tu feras le service. La seconde est que tu dois obéir, sans discussion, à toute personne plus vêtue que toi. Mais tu as de la chance, tu n’es pas complètement nu. Et je vois en plus que même ton postérieur est légèrement caché. Tu peux donc espérer trouver certaines personnes moins habillées que toi.

Tous les trois se mettent à rire. Le regard bleu pénétrant de Maeva me
met plus mal à l’aise que je ne le suis déjà. Mais je commence à m’habituer. Elle est vêtue d’une longue robe noire, en cuir, avec de longs gants, noir eux aussi. La blancheur de sa peau ressort encore plus ainsi.

Nous entrons.


Chapitre V : Repas.
————

La salle est assez grande, éclairée par de nombreuses bougies. Les murs sont en pierres apparentes. Une dizaine de tables rondes sont placées dans la salle. Chaque table comporte trois couverts. Autour de chaque table, deux chaises et un tabouret en bois. Plusieurs tables sont déjà occupées. Toutes par un couple habillé, plutôt classique hormis ce jeune couple tout de cuir vêtu, accompagné d’une troisième personne rarement plus couverte que moi, même souvent moins. Tous les yeux sont évidemment tournés vers moi, mon string et mon plug. C’est du moins ce dont j’ai l’impression. Je perçois même quelques commentaires qui, même s’ils sont plutôt flatteurs, ne me redonnent pas confiance en moi pour autant.

Nous nous asseyo
ns, Carole et Alex sur leur chaise confortable, moi sur le tabouret. Voyant mon appréhension Carole tente de me rassurer en me disant que nous allons bien manger et passer une agréable soirée. Apparemment, ce n’est pas la première fois qu’ils viennent ici. Nous buvons le cocktail qui était déjà servi à notre arrivée. La discussion porte sur divers sujets. Pour l’instant, tout à l’air calme. Idem pour les autres tables. Au bout d’une bonne demi-heure, alors que je commence un peu à oublier la situation, si oublier une telle situation est possible, Alex me m’indique la cuisine et me demande d’aller chercher l’entrée. Je me lève donc et passe entre les différentes tables. Déjà d’autres personnes dévêtues font de même. Nous nous retrouvons à la cuisine où l’on nous donne les assiettes à aller servir. Je repars avec une assiette dans chaque main. Alors que je passe devant la table du couple aux combinaisons de cuir, le mari m’interpelle.

– Julien, viens voir ici un peu.

Il connaît donc mon nom. Je
me dirige vers lui.

– Ma femme trouve que tu as un cul magnifique. Tourne-toi qu’elle le voit un peu mieux.

Je m’approche d’elle et me tourne. Elle me dit d’un ton extrêmement autoritaire de me rapprocher d’elle, pour qu’elle puisse “tâter un peu”. Dès que je suis à portée de son bras, elle caresse sans ménagement mon cul, tout en faisant des commentaires salaces. Je fais tout mon possible pour ne pas renverser les assiettes. Le mari m’ordonne de me pencher en avant, ce que je fais difficilement. Je croise le regard de Carole, visiblement amusée. La femme sort mon plug, et, après avoir fait un nouveau commentaire sur la largeur plus que raisonnable de mon trou du cul, le remet à sa place.

– Tu sais Julien, un bon soumis ne doit pas faire attendre ses Maîtres. Va les servir.

Les mots sont lâchés. Ils sont mes maîtres, je leur suis soumis. Je me rends bien compte que je plonge de plus en plus vers un état où plus rien ne me sera impossible. Je serai capable de tout. Et c’est à Alex et Carole que je le devrai. Mais pour l’instant je dois obéir et je m’empresse d’aller les servir. Lorsque c’est fait, je repars chercher mon assiette. Le repas se poursuit ainsi, au rythme de mes allers-retours entre la cuisine et la table. Lorsque je me propose d’aller chercher le dessert, Carole me fait savoir que c’est inutile que je suis le dessert. C’est à ce moment là, alors que je n’ai pas encore eu le temps d’imaginer ce qui pourrait m’arriver, que Maeva arrive entre Alex et Carole et leur
demande si le repas était à leur convenance. Devant leur réponse positive, elle me regarde et me dit de la suivre. J’interroge Carole du regard et elle me répond, toujours avec son magnifique sourire.

– Ne fait pas attendre Maeva, elle pourrait se mettre en colère.
– Oui, et il vaut mieux pour toi que ça n’arrive pas. Je peux avoir beaucoup d’imagination dans ces cas là…

Son sourire me fait froid dans le dos. Elle se tourne vers Carole et Alex :

– Mes chers amis, je vous emprunte
votre soumis, je vais le préparer pour le dessert, ça ne sera pas long.

Je suis déjà debout, près de Maeva lorsqu’elle me fait signe de passer devant elle. Elle me dirige vers une porte en bois, que nous franchissons. Lorsqu’elle referme la porte, nous sommes seuls. Au fond de la pièce, il y a un buffet ou s’entasse nombre desserts. Des glaces, des gâteaux, des crèmes, des fruits… Au centre, trois tables rectangulaires en verre avec quatre chaises autour de chacune.

– Tourne toi et penche-toi, que je te retire ce que tu as dans le cul… C’est bien… Voilà. Bon, maintenant allonge-toi sur la table du milieu… non sur le ventre qu’on puisse admirer ton joli cul béant.

Et, comme pour donner plus de poids à ses propos, elle enfourne un doigt, puis deux dans mes entrailles. Après m’avoir branlé ainsi quelques secondes, Maeva pose le plug juste à côté de mon visage, comme pour me rappeler ce que je suis devenu ce soir. Elle se retourne pour sortir de la pièce, non sans m’avoir ordonné de ne pas bouger. Elle revient quelques instant plus tard, tirant la laisse de la femme que j’ai aperçue à l’entrée, elle porte toujours sa ceinture de chasteté. Maeva la fait s’allonger, sur le dos, sur la table se trouvant devant moi. Nouveau départ de la maîtresse des lieux qui revient cette fois ci avec une autre femme, totalement nue et rasée elle aussi et qui s’allonge sur la table derrière moi. Lorsque Maeva repart une dernière fois, c’est pour inviter les convives dans la salle des desserts. Les soumis qui ne sont pas sur les tables se dirigent vers le buffet. Je suppose qu’ils sont là pour servir. Les Maîtres entrent ensuite, discutant entre eux par petits groupes, comme dans toute soirée digne de ce nom.

C’est lorsque je vois un couple s’asseoir à la table devant moi, celle où se trouve la femme à la ceinture de chasteté, que je comprends ce qui va suivre. En effet, un des soumis apporte une part de gâteau qu’il pose délicatement sur le ventre de la femme à la ceinture de chasteté. Et le couple commence à manger, à l’aide d’une cuiller en argent qu’un autre soumis leur apporte. Alex vient s’asseoir à ma gauche, sur la chaise qui se trouve à hauteur de mon visage. En face lui, à ma droite donc, le mari habillé de cuir qui m’a interpellé lorsque j’amenai l’entrée du repas. A leurs côtés viennent se placer-leur épouses, qui sont donc placées au niveau de mes fesses dont le trou ne s’est toujours pas refermé. Carole commande (et c’est bien le mot) à un soumis de la crème anglaise, qu’il verse dans le creux de mes reins. Le liquide est froid. Alex et l’homme dont je ne connais pas le nom commandent chacun une part de flan, que l’on pose entre mes épaules. La femme en cuir, dont le nom m’est aussi inconnu, commande une boule de glace à la vanille avec de la crème chantilly et du chocolat chaud. Je tremble à l’énoncé de la commande. Carole m’intime de rester calme, sa crème pourrait couler sur la table et la tâcher, ce qui serait impardonnable. Et Impardonné !

Le serveur pose la boule de glace en haut de la raie de mon cul. Je frissonne, c’est froid, très froid, de plus en plus froid. Au bout de quelques secondes tout le bas de mon dos est endolori. Puis soudainement, je sens le chaud du chocolat qui coule autour de la glace. La femme demande à ce que l’on me mette de la chantilly dans le creux de mes fesses. Petit à petit, je sens le froid de la glace, qui commence à fondre, couler dans la raie de mes fesses. Les cuillers se battent sur mon dos. La femme prend un malin plaisir à faire passer la cuiller d’argent dans la raie de mes fesses, de bas en haut. Carole demande une seconde tournée de crème. Je serre mes jambes pour que les liquides ne coulent pas et restent accessibles, dans le creux formé à la base de mon cul. Je sens tout à coup un doigt parcourir mon cul, s’attardant entre les deux fesses. Puis Carole me tend sa main.

– Lèche !… Tu aimes ?
– Oui Madame.
– Tu en veux d’autre ?
– Si vous voulez Madame.
– D’accord… Chéri, passe moi le plug s’il te plaît..
. Merci.

Je sens le plug parcourir ma raie, de haut en bas puis de bas en haut. S’attarder sur mon trou, plus si petit que cela maintenant. Entrer de trois ou quatre centimètres, lubrifié par la chantilly. Ressortir. Tremper dans la chantilly pour revenir devant mon nez.

– Vas-y ! Régale-toi !

Alex me met le plug dans ma bouche, je le suce comme si c’était une queue. Je veux leur montrer que je ne suis plus moi-même, que je ferai tout ce qu’ils me diront de faire, que je n’ai plus de pudeur. Lorsque j’ai fini, Alex me laisse le plug dans la bouche, jusqu’à ce que tous aient pris leur dessert. Je sens encore des miettes de gâteau sur mes épaules, des restes de crèmes entre mes reins, et de la glace fondue ainsi que du chocolat et de la chantilly dans le bas de mes fesses, entrant un peu dans

mon anus par le trou laissé par l’objet que j’ai dans la bouche. Alex retire le plug de ma bouche et le tend à la femme en cuir. Elle le dirige évidement vers mon cul, qu’elle commence à branler à l ‘aide de l’objet. En cercle d’abord, puis d’avant en arrière, pénétrant un peu plus à chaque fois, entraînant des restes de dessert. Lorsqu’il est entré à fond, elle le tourne à l’intérieur, y prenant visiblement du plaisir. Elle s’adresse à Carole :

– Carole chérie, c’est une grande découverte que tu as faite là. Ce petit soumis accepte bien des choses sans rechigner.
– Merci, mais il n’a encore rien vu. Ce n’est que la première soirée qu’il passe avec nous. Mais nous lui réservons quelques surprises dans l’avenir.
– Pour ça, je vous fais confiance.

Elles rient toutes les deux. Moi aussi je leur fais confiance, car pour une première soirée, je pense que j’ai eu une bonne dose de nouvelles choses. Mais cette soirée n’est pas encore terminée, j’en ai bien peur, même si la fatigue commence à se faire sentir. A ce moment là, une femme avec une chaîne reliant ses deux seins est amenée vers la table devant moi par un homme qui la tire par ses longs cheveux. Il lui met le visage sur le ventre de la femme allongée sur la table. La femme, dont la chaîne est fixée grâce à deux anneaux qui lui traversent le bout des seins, se voit forcée de lécher l’autre femme pour la nettoyer. Je sens moi-même une langue sur mon dos, et une autre sur mes fesses. Pendant ce temps, un homme est poussé devant mon visage et on me force à prendre sa queue dans la bouche. Tout se précipite. Je commence à bander. Je le suce du mieux que je peux, avec application, je me rends compte que j’aime ce qui m’arrive. On me retire le plug pour pouvoir mieux me nettoyer le cul à coup de langue. Cette langue qui pénètre mon intimité sans difficulté. Qui me pénètre puis qui ressort, plusieurs fois de suite. Puis qui repart à la découverte de ma raie du cul. L’homme ne tarde pas à jouir sur mon visage. On lui ordonne de me nettoyer comme les autres. Il passe donc sa langue sur mon front, sur mes joues, sur ma bouche. Il m’embrasse. C’est la première fois que j’embrasse un mec. De plus sa langue est pleine de son sperme. C’est cer

tainement l’ambiance, mais j’aime ça. Jusqu’à ce soir, j’étais persuadé que jamais je ne ferai ça, embrasser un homme. Au bout de quelques secondes, Alex le tire par les cheveux.

– Qui t’a donné la permission de l’embrasser ? Tu n’es qu’une salope qui ne sait que se faire baiser. Tu mériterais que tous les mecs présents te prennent, t’enculent les uns après les autres. Tu ne sais faire que ça, la pute. Mais ça te ferait beaucoup trop plaisir.

A ce moment là, la femme en cuir lui assène une magistrale gifle, l’attrape par les cheveux et l’emmène. Carole se place devant moi. Elle me gifle aussi. Puis, se rendant compte qu’elle m’a frappé sur la joue non encore nettoyée elle me lance :

– Lèche ! Et tu apprendras qu’à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne. Personne tu entends. Sauf quand on te dit de rouler une pelle à quelqu’un. Tu comprends.
– Oui Madame.
– Bon, je pense que pour une première soirée, ça suffit. La prochaine fois nous resterons bien plus long
temps je te rassure. Allez lève-toi.

Elle me prend par le bras et me tire vers la sortie, je suis encore tout dégoulinant de crème, gâteau, glace, chocolat et salive. Et j’ai une érection qui ne passe pas inaperçu.

Chapitre VI : Nuit.
————-

Arrivé dehors, je frissonne, il fait un peu frais.

– Allez, pose-moi ce string, tu ne crois tout de même pas entrer dans la voiture comme ça ?

Alors que je m’exécute, un jet d’eau m’arrive dans le dos. Elle est froide, je tremble. Carole se recule pour ne pas être mouillée.

– Tourne-toi !

Le jet d’eau m’arrive maintenant en pleine figure. Au bout de quelques instants de ce traitement, Carole m’ordonne d’aller chercher une serviette et de me sécher. Lorsque je ressors, elle me tend le plug.

– Tiens remets ça à sa place avant d’entrer dans la voiture.

Elle se tourne et se dirige vers la voiture. Alex reste en retrait et me regarde me pencher pour me ficher le plug dans le cul.

– Je
te conseille de le prendre dans ta bouche et de mettre de la salive, ça entrera mieux. Et accroupis-toi… face à moi.

Tout en me tournant vers lui, je suce et humecte longuement le plug. Lentement, en le regardant droit dans les yeux, je me baisse, le plug dans la bouche. Lorsque je suis accroupi, j’écarte les jambes et, toujours en regardant Alex droit dans les yeux, me mets le plug dans le cul. Un sourire se dessine sur son visage. Il me dit de monter dans la voiture, ce que je fais de bon cœur car le fond de l’air est plutôt frais. Il nous rejoint bientôt et prend le volant. Nous voilà repartis en direction de Paris. Nous sommes sur la route depuis de longues minutes lorsque Alex propose à Carole de passer derrière “Histoire de passer un bon moment… et n’oublie pas le god dans la boite à gants ma chérie…” Ravie de cette proposition, elle descend de la voiture dès que celle-ci s’arrête. Au bord de la route, elle soulève sa jupe et descend sa culotte qu’elle jette sur les genoux de son mari avant de refermer la portière. Elle vient s’asseoir près de moi, la jupe toujours relevée. Son sexe est magnifique, il m’attire, rasé, mais pas totalement, laissant juste assez de poils au-dessus du clitoris pour titiller une langue qui passerait par-là. Et justement, Carole m’attrape la tête et me dirige vers cette fine toison noire. Je m’empresse de la lécher du mieux que je peux pendant qu’elle joue avec mon plug, toujours en moi. Alors que nous entrons dans Paris, Carole me relève et me met le phallus
métallique entre les mains.

– Branle-moi avec ça, mais attention, en douceur.

Tout en laissant un doigt entre les jambes de Carole, je prends le god dans ma bouche et le suce avec passion, la défiant du regard. Je dirige ensuite le god vers l’entrée de sa chatte, et la pénètre lentement. J’effectue des mouvements de va et vient, puis des cercles. J’alterne, lentement, rapidement, en sortant l’objet, et l’envoyant profondément. J’envoie mes doigts s’occuper du bouton de ma Maîtresse. Alex ne perd évidemment pas une miette de la scène, il n’y à pas grand monde dans les rues à cette heure avancée de la nuit. Carole profite pleinement de sa situation, elle prend du plaisir tout en parcourant et admirant les rues et les monuments éclairés de la plus belle ville du monde. C’est à peine si le rythme de sa respiration s’est accéléré. On dirait qu’elle apprécie autant la tour Eiffel et la place de la Concorde que le god qui lui laboure. Elle échange même quelques mots avec Alex comme si de rien n’était.
Alors que nous passons devant le Louvre, je vois sa main se crisper sur le siège et je sens des vibrations dans son corps. Elle tend les jambes. Je sens les contractions de son vagin se répercuter dans le god que je tiens. Elle a joui. Mais pendant tout ce temps là elle a continué de parler avec Alex. Seule une légère inflexion de la voix a trahi son plaisir. Je suis heureux de lui avoir procuré cette sensation. Je continue mes va-et-vient, mais très lentement maintenant. Quelques secondes plus tard, elle
prend ma main et me fourre le god dans la bouche. Je le nettoie, le lèche, le suce. Je goûte le suc de Carole, son odeur enivrante. Nous nous arrêtons à un feu rouge, Carole me gratifie d’un baiser sur la joue et, une fois de plus, de son sourire magnifique avant de baisser sa jupe et de retourner prendre sa place, à côté de son mari.

Lorsque nous arrivons, je vais ouvrir le portail et attends dehors que la voiture entre. C’est avec beaucoup moins d’appréhension et de gêne que la première fois, quelques heures plus tôt, que j’accomplis cela. Même si cette fois ci, je suis complètement nu, un plug enfoncé dans le cul. Peut-être est-ce dû à l’heure tardive et à l’absence de gens dans les rues et à leur fenêtre. Mais peut-être aussi est-ce dû au fait que je ne suis plus le même que celui qui est sorti tout à l’heure de cette maison. Je me dépêche tout de même d’entrer car il fait froid. Je suis exténué. La soirée a été longue. Mais elle n’est apparemment pas encore terminée. Nous prenons un dernier verre dans le salon ou Carole m’a accueillit. Ils m’installent sur le canapé, m’ordonnant d’écarter les jambes afin “que l’on puisse te voir le mieux possible, ainsi que ton plug”. Alex se lève bientôt et me demande de le suivre.

– Viens nous allons préparer ta nuit…
– Bien Monsieur.

Nous nous levons et nous dirigeons dans la pièce où j’ai été attaché, plus tôt dans la soirée. Alex m’indique un placard où je trouve un mince matelas pendant qu’il allume l’ordinateur présent dans la pièce. Sur son ordre, je m’allonge sur le dos, les jambes repliées. Il m’attache à l’aide de fines cordes ainsi, les bras écartés.

– Tu vas passer la nuit ainsi. Et le monde entier va pouvoir t’admirer…

En effet, il est en train d’installer deux caméras. La première est dirigée sur mon visage alors que la seconde se trouve entre mes jambes, de façon à prendre dans son cadre la totalité de mon corps nu, tout en prenant bien le plug fourré en moi. A l’aide de ces deux caméras, des clichés de moi seront envoyés sur leur site Internet de sorte que tous ceux qui voudront me voir le pourront. Je n’étais pas au courant de l’existence de ce site. Et pour cause, cela fait plusieurs jours qu’ils ont préparé cette soirée et ils ont évidemment averti tous leurs visiteurs de ma présence ainsi ligotée durant la nuit. Carole nous rejoint bientôt et se place à côté d’Alex qui discute avec des habitués de son site sur le forum. Ils rient. Peut être est-ce à cause des commentaires que font les gens qui reçoivent les premières images de moi dans cette position.

Ils me laissent bientôt seul après m’avoir souhaité bonne nuit. La lumière reste évidemment allumé pour que les visiteurs du site puissent m’admirer durant le reste de la nuit. Au bout de quelques minutes, j’entends nettement les bruits caractéristiques d’un couple faisant l’amour. Les râles d’Alex se mêlent aux soupirs et aux cris de Carole. Mon sexe se dresse une fois de plus. De toute la soirée, j’ai souvent bandé, mais pas une seule fois je n’ai eu l’occasion de jouir. Et je ne peux même pas me branler, mes bras étant attachés. Les bruits s’achèvent bientôt. Tout est calme. Je suis à nouveau seul avec mon érection. Mais je ne tarde pas à m’endormir, épuisé par mes premières aventures dans le monde de la soumission. La lumière ne me gêne plus, mes yeux se ferment et je m’offre pour la nuit aux voyeurs du monde entier. Durant la nuit, mes rêvent m’emmènent dans un harem. Mais un harem un peu particulier, un harem d’hommes. Notre seul but est de donner du
plaisir aux femmes qui, dans ce pays imaginaire un peu comme dans la réalité dirigent tout. Mais dans ce rêve, les hommes sont tous des esclaves dévoués aux plaisirs des femmes. Je crois même avoir rêvé devoir donner du plaisir aussi à quelques hommes d’une classe supérieure. Mais je ne m’en souviens pas avec exactitude…

Je me réveille, je n’ai aucune idée de l’heure, ce doit être le milieu de la nuit. Mais je me vois sur l’écran. Je suis immobile, dans l’incapacité de bouger. Mon plug me gène, j’ai honte, j’ai peur. Je me demande pourquoi je suis venu. Puis, petit à petit, je me rappelle les événements de la veille. Mon arrivée, mon inspection, les liens, les photos, ma première pénétration anale, mon exhibition dans le jardin, puis dans la voiture, le repas, l’humiliation du dessert et pour terminer me voilà nu devant une caméra, offert au monde. Tout cela en à peine quelques heures. Moi qui n’osais pas assumer mes fantasmes. Je n’aurai certainement pas fait tout cela de moi-même, même si j’en avais eu l’audace. Mais ce qui m’est arrivé m’a plu dans l’ensemble. J’espère que ce n’est pas terminé, que Carole et Alex vont m’emmener encore plus loin dans la débauche, qu’ils vont anéantir encore plus toute trace de pudeur en moi. En tout cas, je sais une chose, c’est que je leur obéirai. Sur ces pensées, je m’endors à nouveau, les caméras filment et diffusent le sourire présent sur mes lèvres.

– Allez, on se réveille mon petit Julien.

C’est Carole. Elle vient d’ouvrir les volets. Elle est ma
gnifique dans la lumière du jour qui se lève. Elle porte une chemise de nuit en soir blanche. Ses seins sont mis en valeur par les dentelles. La vue de cette femme, ainsi que le réveil, ne tardent pas à provoquer chez moi une belle érection.

– Oh! Regardez-moi ça comme c’est mignon. Il bande. Attends, avec la soirée que tu as passé hier soir, je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Tu as été parfait. Alex dort encore, surtout ne le réveillons pas.

Lentement, elle retire le plug de mon cul puis vient s’empaler sans aucun problème sur ma queue dressée. Elle avait du se caresser avant d’entrer, car sa chatte est déjà dégoulinante de plaisir. Toujours attaché, je n’ose dire un mot. Carole donne le rythme. Elle m’observe.

– Non, ouvre les yeux, je veux te voir jouir.

Elle accélère. Je ne tarde pas à haleter, je vais jouir, enfin. Mais une fois de plus, elle se retire, me laissant, haletant, souffrant de désir. Elle replace les caméras pour que la scène soit bien visible. Puis elle reprend sa position. Les voiles de sa nuisette montent et descendent en une symphonie de couleurs, jouée par les rayons du soleil. Ses doigt pincent mes tétons. Je sens la douleur, associée au plaisir qui monte en moi. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement. J’explose. Je me sens défaillir. Elle continue ses mouvements encore quelques secondes puis sans un mot vient placer son sexe sur mon visage. Les premières gouttes de mon sperme coulent dans mon cou. Carole se baisse un peu plus et colle sa
chatte sur ma bouche. Elle ne parle pas, mais c’est inutile. Elle sait que je vais faire ce qu’elle me demande en silence. Effectivement, je lance ma langue à l’intérieur de sa chatte et commence à la nettoyer de mon sperme. Le liquide glisse dans ma bouche, mêlé à la mouille de Carole. J’avale, mais je sens un mince filet couler au bord de ma lèvre. La nuisette de Carole recouvre mon visage. Je pense à tous les gens qui nous observent. Je me dis que certains doivent se branler en me regardant. Alors que je lèche depuis plus longtemps qu’il n’en faut pour que le sexe de Carole soit vidé de mon sperme, je sens les soubresauts de la jouissance agiter Carole. Elle se laisse aller et se pose sur mon visage, m’étouffant presque. Puis elle se relève, m’embrasse passionnément et lèche le filet de sperme qui part de ma bouche en direction du sol. Elle sort.


Chapitre VII : Essayages.
————–

Quelques instants plus tard, Alex entre dans la pièce et me dis bonjour. Je lui réponds. Il se dirige vers l’ordinateur pour lire les messages laissés par mes admirateurs. Puis, après avoir éteint les caméras, il me détache et me tend mon string pour que je “m’habille”. Nous déjeunons, les événements de la veille et de la nuit m’ont donné faim. Carole me parle du programme de la journée, sans me donner trop de détail.

– D’abord, nous allons aller t’acheter de quoi t’habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te promener dans Paris en string. Bien que j’avoue que cela me plairait énormément. Une autre fois peut être. Ensuite, nous irons manger au restaurant, mais cette fois dans un restaurant normal. Ce n’est pas toi qui nous servira. Et s’il fait beau nous irons nous promener en forêt. Tout cela te convient-il Julien ?
– Oui, bien sûr. De toute façon, ai-je le choix ?
– Non évidemment, mais tu aurais pu ne pas être d’accord. Bon, allons y.

Nous nous levons. Alex me donne un manteau pour que je puisse sortir dans Paris sans me faire trop remarquer. Nous prenons la voiture et nous nous dirigeons vers Pigalle. Nous entrons dans un magasin ou toutes sortes de vêtements en cuir et latex, ainsi que divers objets tels des fouets ou des menottes sont exposés en vitrine. Carole entre la première, je la suis et Alex ferme la marche. Apparemment habituée des lieux, Carole pose son manteaux de fourrure et le tend à la jeune femme se trouvant à l’entrée. Alex l’imite. La femme, blonde, plutôt court vêtue, la poitrine opulente et le regard trop maquillé, se retourne vers moi et me tend le bras attendant visiblement que je lui tende mon manteau.

– Non merci, ça ira.
– Comment ça non merci, pas de discussion, donne ton manteau à la charmante demoiselle.
– Mais…
– Tu discutes ?
– Non, mais…

Alex se penche à mon oreille.

– Tu sais Julien, je crois que tu ne m’as pas encore vu en colère. Fais ce que te dit Carole immédiatement.

Le ton d’Alex ne laissant place à aucune hésitation possible, je pose le manteau, au grand bonheur de la femme qui s’en saisit et, sans me quitter des yeux une seconde, accroche les trois vêtements sur des cintres. Elle parcourt mon corps des yeux pendant de longues secondes. Le silence devient pesant. Déjà, certains clients se tournent pour m’observer. La jeune femme pose son regard dans mes yeux, peut-être pour me faire rougir un peu plus puis me demande sans se préoccuper ni d’Alex, ni de Carole :

– Je m’appelle Katia, que puis-je pour vous monsieur.
– Katia, nous cherchons pour Julien de quoi l’habiller de manière plutôt sexy.
– Mais bien sûr Madame, nous avons tout ce qu’il faut pour cela. Vous avez une préférence, cuir, latex, transparent peut-être.
– Je ne sais pas trop, nous allons en essayer quelques-uns. Que nous conseillez-vous ?
– Je pense que ce body transparent lui ira très bien. Regardez, il est en plus muni de chaînes qui permettent de l’attacher où vous voulez.
– Non, je veux quelque chose qui fasse plus habillé.
– Peut-être alors cette tenue en latex rouge. Il est vrai que le sexe et le cul sont offerts à la vue, mais le reste du corps est caché. C’est un modèle très apprécié de nos clients.
– Il va l’essayer.
– Mais bien sûr, les cabines d’essayages sont par ici.
– Cela vous dérange-t-il qu’il fasse l’essayage ici ?
– Pas du tout Madame, au contraire.

La vendeuse me regarde d’un air carrément lubrique maintenant. Tous les clients, sans exception, assistent à mon essayage. Alex m’ordonne évidement de ne pas garder mon string sous la combinaison. J’ai du mal à y entrer, ça colle. Cette combinaison fait ressortir mes formes. Carole m’ordonne de marcher lorsque je l’ai enfilée. Les clients se poussent pour me laisser passer. Alors que j’avance au milieu de l’allée formée par les voyeurs, je sens des mains qui se font baladeuses. Sur mon cul, sur ma bite et mes couilles, qui pendent à travers le trou dessiné dans la combinaison. Je me retourne et reviens vers la vendeuse, Carole et Alex. J’ai l’impression d’être un robot, il suffit que l’on ordonne quelque chose pour que je m’exécute sans discuter.

– C’est très sexy en effet, mais nous voudrions quelque chose qui lui permette de sortir dans la rue sans se faire arrêter par la police.

Tous rigolent, sauf moi. J’ai la tête baissée, je vois mon sexe surgir de ce trou dans le latex rouge. J’ai honte. J’ai peur, et si quelqu’un que je connais passait par là, un collègue, un ami ? La vendeuse m’observe une fois de plus et se dirige dans un autre rayon. Nous la suivons.

– Regardez cette combinaison de cuir noir. Quasiment toutes les parties sont détachables, si bien que vous pouvez ne garder caché que le sexe. Ou mieux, si vous voulez, vous pouvez découvrir uniquement le sexe. Mais vous pouvez en enlever les bras ou les jambes, ou le torse. tout est à base de fermeture éclair. L’inconvénient est qu’elle est assez difficile à enfiler seul. Mais je me ferais un plaisir de vous aider à l’essayer.
– Bien sûr. Julien, pose ta combinaison, Mademoiselle va t’aider à essayer celle là.

Pendant que je pose la combinaison rouge, la vendeuse attrape le cintre qui supporte celle que je vais essayer maintenant. Elle se saisit de la combinaison que je viens de poser et me laisse là, seul au milieu de tous. Un couple présent dans la boutique discute avec Alex et Carole, ils m’observent tous les quatre, un peu en retrait. Lorsque je tente de me cacher le sexe avec les mains, Alex me fait signe de les retirer. Katia, la vendeuse revient bientôt et me demande de me tourner, pour que j e sois face à elle. Elle m’enfile le pantalon puis le haut de la combinaison. Pour terminer elle ferme les nombreuses fermetures de la combinaisons. Pendant toute la durée de l’habillage, elle s’est tenue extrêmement proche de moi, j’ai pu sentir sa poitrine dans mon dos, ses mains sur mes hanches, son souffle sur ma nuque.

– Faites quelques pas, histoire de voir si elle vous va bien.

Une fois de plus, je marche dans la boutique sous le regards de mes maîtres et de la vendeuse.

– Parfait, nous la prenons. D’ailleurs, il va la garder sur lui.

Je sens le cuir sur ma peau. Tout de noir vêtu, je sais que je ne vais pas passer inaperçu, mais je commence à aimer cela. L’impudeur est comme toute chose, elle s’apprend. Alex paie. Carole viens me voir, me dit que je suis très mignon dans cette tenue. Elle m’apprends que le couple avec qui je les ai vus discuter va venir déjeuner avec nous. Elle fait les présentations.

– Monsieur et Madame Mac Pride, je vous présente Julien.

– Bonjour Julien. Tu es appétissant dans cette combinaison tu sais ! Je suis heureuse que nous ayons rencontré Alex et Carole ici par hasard.
– Bonjour Madame.

Madame MacPride me prend par la main et me tire vers la sortie. Dans la rue, je me dis que j’aurai du réfléchir avant de venir chez Carole et Alex. J’essaie de me faire tout petit. Et si je croise une personne de ma connaissance ? Et si on me reconnait ainsi ? Heureusement, la voiture n’est pas loin et je m’y engouffre avec empressement. Nous voilà donc partis vers un restaurant. En fait, c’est une brasserie, tout ce qu’il y a de plus banal dans Paris. Je me retrouve assis entre Carole et Alex, sur la banquette, Monsieur et Madame Mac Pride sont en face nous. Le repas se passe comme si de rien n’était, nous discutons de tout et de rien. Parfois quelques remarques de Madame MacPride me font rougir, mais sans plus. Jusqu’au dessert, j’ai l’impression que tout va bien se passer. Mais c’est sans compter sur l’imagination débordante de Carole …

Chapitre VIII : Restaurant.
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– Julien, pose la partie de ta combinaison qui te cache le sexe.

Je la regarde éberlué. Je n’ose pas bouger. Mais je me rends compte que son regard n’est pas le seul à être braqué sur moi avec insistance. Je me doute que plus un mot ne sortira de la bouche des convives jusqu’à ce que je me sois exécuté. Tout tremblant, je détache donc la fermeture qui entoure mon pubis et pose le morceau de cuir ainsi libéré sur la table. C’est ce moment précis que choisi le serveur pour venir prendre la commande des desserts. J’avance imperceptiblement mes fesses afin que ma queue se retrouve cachée par la nappe. Le serveur, pas plus bête qu’un autre, ne manque pas de remarquer mon trouble, même s’il n’en connaît pas la cause. Alors qu’il repart annoncer la commande en cuisine, Carole se retourne vers moi, un regard que je ne lui avait encore jamais vu lui traverse les yeux l’espace d’un instant. Ce que j’y entrevois m’effraie.

– Qui t’a dit de te cacher ?
– …
– Réponds !
– Personne Madame.
– Je t’ai déjà dit que lorsque tu es avec nous, tu n’as plus droit à la pudeur. Et surtout il t’est interdit, tu entends bien, INTERDIT de ne pas faire ce qu’on te demande.

Pendant qu’elle parle, elle attrape mon sexe et le serre fortement. Je sens la douleur monter en moi. Je n’ose pas réagir, je sais que la punition serait pire. Mais déjà le châtiment s’intensifie. Carole sait très bien ce que je redoute.

– Branles toi !

Lentement, tel un automate, ma main droite passe sous la table, empoigne ma queue et commence un lent va-et-vient. Je m’efforce de ne pas faire bouger le haut de mon corps pour ne pas être remarqué d’une table voisine ou d’un serveur. Madame MacPride me regarde droit dans les yeux, un sourire amusé sur les lèvres. Le serveur vient nous resservir du vin. Carole me regarde fixement, ses yeux me disent clairement que je n’ai pas intérêt d’arrêter, même en présence du serveur. Alors mon mouvement se fait légèrement plus lent, plus subtil, mais ne cesse pas. Ma respiration s’accélère imperceptiblement. Le désir se fait de plus en plus fort. Je sens que je ne vais pas pouvoir poursuivre ce traitement très longtemps sans tacher ma nouvelle combinaison. Madame MacPride, toujours le sourire aux lèvres m’interroge :

– As tu déjà goûté ton sperme julien ?
– Oui, Madame MacPride.
– Ahhh ! Et à quand remonte la dernière fois ?
– Ce matin, Madame.

A ces mots, Alex me regarde, étonné. Il doit se demander comment j’ai pu jouir alors que j’étais attaché. Et encore plus comment j’ai pu avaler mon sperme. Carole lui donne la réponse.

– Mon chéri, il était si mignon ce matin quand je suis allé le réveiller que je n’ai pas pu m’empêcher de le chevaucher. Ce sexe lisse qui bandait … Tu sais qu’il est des choses auxquelles je ne résiste pas !
– Je comprends.

Madame MacPride poursuit son idée :

– Alex, quel goût à ton sperme ?
– C’est… ça a un goût unique, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Amer peut-être.
– J’adore voir un homme boire son sperme, tu vas le faire pour moi maintenant.
– Ici ?

Elle me tend mon verre, à moitié remplit de vin.

– Oui, ici, je veux que tu jouisses la dedans. Tu boiras ensuite le vin.

Sans un mot, j’attrape le verre de la main gauche et le passe sous la table. Ma main droite, toujours en mouvement, accélère de plus en plus. Je ferme les yeux. Je ne peux pas retenir un râle lorsque je me vide dans le verre. Je transpire. Je suis évidement écarlate. Je porte le verre à ma bouche. Madam MacPride m’arrête.

– Attends, nettoies d’abord tes doigts.

Un mince filet de sperme coule entre mes doigts. Je pose le verre, porte ma main à la bouche et lèche avec application. Je retrouve le goût du sperme que j’ai déjà avalé ce matin, alors mélangé au suc de Carole.

– Je pense que tout cela a du te donner soif, non ?
– Oui Madame MacPride, un peu.

Obéissant à cet ordre déguisé, je porte le verre à ma bouche et lentement, très lentement, je bois. J’apprécie le vin. J’apprécie le sperme. J’apprécie le restaurant. Et, plus que tout, j’apprécie ce que je suis devenu. Je ne suis ici, le sexe à l’air, en train de boire mon propre sperme dans un verre, que l’objet des perversion de Carole, Alex et leurs amis. Je suis conscient maintenant que, dans cette combinaison, plus rien ne me fait peur. Je ne suis plus du tout enfermé dans mes principes et mes tabous.

Le repas se poursuit gentiment, sans nouvelles bizarreries que l’on m’ordonne de faire. Par contre, je soupçonne fortement le serveur d’avoir remarqué que mon sexe n’est plus couvert. Ses yeux louchent régulièrement sur moi, un petit sourire amusé sur le visage. Tout se passe bien donc, jusqu’à ce qu’Alex demande l’addition. C’est ce moment que choisit Carole pour s’emparer du morceau de cuir qui me cache le sexe. Ce geste provoque chez moi l’équivalent d’une balle en plein cœur. Elle va m’obliger à sortir du restaurant dans mon état actuel.

Le sexe à la vue de tous !

Je sens mon cœur s’accélérer, de petites perles de sueurs coulent sur mon front. L’adrénaline monte en moi. Comment vais-je pouvoir me sortir de cette situation ? Alex se lève, suivi de Madame MacPride et de son mari. Je sens chez eux une envie folle d’éclater de rire. Je me tourne vers Carole, puis vers Madame MacPride. Carole se lève à son tour. Voyant que je reste assis, elle se tourne vers moi.

– Et alors, tu ne nous suis pas, tu restes là ?

Je ne réponds pas. Je sens ma mâchoire inférieure s’affaisser.

– Allez, habilles-toi et dépêches-toi.

Elle me lance le carré de cuir. Je ferme les yeux, remercie le Saint-Patron des soumis, ainsi que tous les autres Saints-Patrons de la terre et m’empresse de remettre ma combinaison en ordre.

Nous sortons.

Chapitre IX : Promenade.
————-

Arrivé dans la voiture, Carole me demande si je serai sorti du restaurant sans mon “cache-sexe”. Je lui réponds que non, mais que si je n’avais pas eu le choix, j’aurai bien dû m’y résoudre.

– Ne te fais pas de souci, tu sais, nous ne sommes pas là pour faire des scandales. Mais je dois avouer que j’ai bien aimé ton visage lorsque tu m’as vu prendre le morceau de la combinaison. Rassures-toi, nous ne te ferons rien qui puisse te porter préjudice. Enfin, pour l’instant….

J’espère que ces dernières paroles n’ont été dites que pour augmenter mon trouble, et mon incertitude et non parce qu’elles sont vraies. Mais Carole et Alex m’ont assuré plusieurs fois que rien ne pourrait m’arriver d’irréparable lorsque je suis avec eux. Nous poursuivons donc ce week-end fou. Nous ne sommes que le samedi en début d’après midi et j’ai déjà fait et subi plus de choses que je ne l’imaginais possible en une vie entière. Les MacPride nous ont quittés, apparemment à cause d’un rendez-vous dans un cinéma porno. Je me doute que leur après midi va bien se terminer. Carole me parle du programme de notre après-midi.

– Tu sais Julien, la majorité des hommes adorent voir des femmes baiser ensemble. Moi, ce que j’aime, c’est voir des hommes baiser, et Alex aussi aime voir ça. Toi je ne sais pas si tu aimes voir, mais je suis certaine que tu va aimer le faire pour nous, n’est-ce pas ?
– C’est à dire que… je ne sais pas trop…
– Mais moi je le sais pour toi ! Tu vas te faire enculer parce que j’ai envie que tu te fasses enculer. Et tu vas aimer cela parce que j’ai envie que tu aimes ca.

Un sourire effrayant apparaît sur son visage.

– Et je suis certaine que tu en redemanderas.

Je ne sais pas si j’en redemanderai, mais je sais une chose, c’est que je n’ai aucun à priori contre. Je suis là pour faire de nouvelles expériences et aucune, du moins je pense, n’est irréalisable. Que l’on aime ou pas, on ne peut répondre à cette question qu’après avoir goûté. Et je vais goûter à la sodomie si Carole me le demande. On verra plus tard si j’en redemande.

La voiture se dirige vers la sortie de Paris, en direction d’un bois dont je ne connais pas le nom. Nous y pénétrons, empruntons des chemins plutôt calmes. Nous dépassons une voiture dont la porte entrouverte laisse dépasser une jambe dont le pied retiens une petite culotte en dentelle. Trois hommes matent par la vitre baissée la propriétaire de la culotte qui apparemment se branle tant pour son plaisir que celui des voyeurs. Plus loin, nous nous arrêtons. Carole descend et me fait signe de la suivre.

– A genoux.

Alors que je m’exécute, Carole s’accroupit devant moi, ses seins sont à hauteur de mon visage. Elle prend ma tête entre ses mains et plonge son regard au fond du mien. Après m’avoir embrassé fougueusement elle penche sa tête pour approcher sa bouche de mon oreille.

– Tu sais, Julien, aucun encore de nos soumis n’a été aussi brillant que toi. Mais Alex et moi voulons que tu nous demande de continuer. La prochaine étape, je te l’ai dit sera de te faire prendre par des hommes, ici à la vue de tous. Alex et moi aimerions que tu en exprimes le désir. Et je suis sûre que tu le veux aussi au fond de toi-même, non ?

J’ai la gorge sèche. Je la regarde, un peu perdu. Oui, Carole à tout à fait raison, j’en ai envie. Mais je crois cependant que si je suis ici, c’est que c’est une décision que je n’ai jamais été capable de prendre seul. Je savais que Carole et Alex me pousseraient à faire des choses que je n’ose pas faire par moi-même. Je sens tout à coup une main se poser sur mon épaule. Je sursaute. Ce n’est qu’Alex, mais il remarque mon regard affolé. Il se penche et amenche sa bouche près de mon oreille, son regard
en direction des arbres alentours qui commencent à découvrir deux ou trois hommes qui regardent dans notre direction.

– Tu n’as pas le choix, Julien. Tu vas te faire prendre, ici, devant nous. Que tu le demandes ou pas n’y changera rien. Mais je veux juste être certain que tu en as vraiment envie. Je suis persuadé que tu as aussi envie de le dire, cela te libérera et tu apprécieras encore plus. Alors ?

Nouvelle hésitation. Deux hommes s’approchent maintenant dangereusement. Après avoir pris une grande inspiration, je me lance.

– Oui…
– Oui quoi Julien ?
– J’ai envie de me faire prendre… Maintenant.
– Bien ! Lève toi et choisis.

Je vois à son sourire et à celui de Carole qu’ils sont contents de moi. Tout comme moi, c’est la première fois que je demande à me faire enculer, même avec ma copine je n’ai jamais osé alors que j’en ai souvent eu envie. Alex tend le bras vers les deux hommes qui sont à côté de nous maintenant. Il me demande de choisir lequel des deux va m’enculer. Je réaliserai plus tard que le choix portait sur le premier à m’enculer car les deux évidemment vont profiter de moi. Je me lève donc et m’approche des deux hommes. Leur sourire est la seule chose que je distingue, je serai incapable de les reconnaître dans la rue, je suis dans un autre monde, un état second. J’espère d’ailleurs qu’eux aussi ne me reconnaîtraient pas s’ils me croisaient. Je tends ma main vers l’entrejambes de l’un d’eux. Je m’agenouille pendant que le second passe derrière moi et me détache la partie de ma combinaison qui me cache le cul. Je fais jaillir la queue de celui qui me fait face et la prends dans ma bouche alors que je sens un doigt mouillé s’insérer dans mon intimité.

L’homme derrière moi fouille mon anus de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. Il me dit qu’il va m’enculer profondément, qu’il va me faire jouir parce que je ne suis qu’une salope qui aime se faire prendre par tous les trous. C’est la première fois que l’on me parle ainsi. Je ne suis, ici encore plus qu’hier soir au château et ce midi au restaurant, qu’un objet servant au plaisir des autres. Mon plaisir ne vient que de cet état, celui de soumis aux ordres de ces inconnus qui m’ont
pris en mains. L’homme insère bientôt un second doigt dans mon cul, suivi d’un troisième. Ca me fait mal car il ne me ménage pas. Je suce toujours la queue qui a maintenant une taille plus que correcte. J’aperçois du coin de l’œil Carole qui se caresse lentement et Alex, dont le camescope ne perd pas une miette de mes ébats.

La queue de l’homme qui me force le cul depuis un moment se présente bientôt à ma porte secrète. Elle n’a aucun mal à trouver un chemin déjà bien ouvert par les doigts qui l’on précédée. Les paroles de cet homme ont sur moi un effet étrange. J’ai comme l’impression de sortir de moi-même. Et d’ailleurs, mes souvenirs de la fin de cette séance sont plutôt flous pour moi. Je me rappelle que l’homme est sorti brutalement de mon cul pour venir se branler et jouir sur mon visage. Le second a pris sa place et a joui très vite en moi. Je sentais le sperme couler de mon anus lorsque d’autres hommes nous ont rejoint et m’ont tous utilisés. Je ne sais plus exactement combien ils étaient. J’étais dans un rêve…

Chapitre X : Réveil.
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Je me réveille. Ils m’ont fait boire. Beaucoup. Je ne sais plus trop comment je suis arrivé là. J’ai oublié. J’ouvre les yeux. Alors que j’essaie de me tourner, je me rends compte que je suis attaché, les bras en croix et les jambes écartées. Je suis nu, évidemment. Comme souvent depuis le début de ce week-end complètement fou, je n’ai pas le droit à la pudeur. Il faut toujours que je sois prêt à Les servir. Dès qu’Ils en expriment le désir, je dois être prêt à leur procurer du plaisir. J’ai mal à la tête. J’ai bu. Je ne peux pas bouger, mes liens sont solidement fixés, comme toujours. J’entends des voix, plusieurs, dans la pièce à coté. Des rires aussi, féminins. Tout à coup, je réalise que je ne connais pas cette pièce, ni ce lit. La pièce est vide, hormis le lit auquel je suis attaché. Un rayon de soleil entre par la fenêtre. Il court sur le lit et finit sa course au bas de mon ventre, comme un doigt pointé sur mon sexe qui durcit. Habitude matinale qu’il à toujours eu. J’aime faire l’amour le matin. Ohhhh, ma tête…

Tout à coup, la porte s’ouvre. Une femme entre, magnifique. J’aime les femmes, et j ‘adore encore plus leur donner du plaisir. Celle-là est rousse, ses longs cheveux courent sur ses épaules. Ses yeux sont bleus. En me voyant, elle sourit. Je rougis, je ne la connais pas.
– Mmmmmhhhh !!! Mais c’est mignon ce que je vois là ! Dit elle en s’approchant. Ses longues jambes sont chaussées de bottes en cuir. Elle porte un body, noir, en cuir. La vue de ses seins, de son corps si peu caché par ses vêtements contribue un peu plus à mon érection.
– Tu n’as pas honte. Bander de la sorte…..
Elle rit, moi pas ! Je rougis, comme je sais si bien le faire, même si ce n’est pas voulu. Elle pose sa main sur mon sexe et commence un va et vient qui je sais va me faire vite jouir. Mon souffle s’accélère. Je ne peux pas bouger. Je suis à sa merci. Elle fera de moi ce qu’elle veut. Je suis à elle. C’est la première fois que je la vois et pourtant je suis à elle. Je suis sa chose.
– Sylvie, vient voir çà. Il démarre au quart de tour.
Cette fois ci, c’est une brune, les yeux ver
ts, des cheveux courts qui entre dans la pièce. Elle est vêtue d’une combinaison de latex, rouge. Je ne sais plus ou me mettre. Je ferme les yeux.
– Je crois qu’on va bien s’amuser aujourd’hui avec lui. On va faire un tas d’heureux !!!
– Oui, quand je suis entrée, il bandait déjà…
Mon souffle se fait de plus en plus saccadé. La rousse dont je ne connais toujours pas le nom enlève sa main. Elle approche la bouche de mon sexe, y dépose un baiser.
– Bon repose-toi bien mon mignon… tu va avoir besoin de toutes tes forces aujourd’hui. Ils seront nombreux à t’observer.
Une dernière caresse, la plus frustrante, et les deux créatures sont sorties. Je suis à nouveau seul, mon sexe plus dur que jamais.

Je ne sais toujours pas ou je suis, ni ce qui m’attend. Hier soir, j’étais chez Eux, Alex et Carole, après être revenu du bois ou une bonne dizaine d’homme m’a utilisé. Ma mémoire revient peu à peu. Je me rappelle que nous sommes rentrés. Je sais que j’ai du lécher leur sexe, l’un après l’autre. J’aime autant celui d’Alex que celui de Carole. Ensuite, alors que j’étais allongé sur la table basse, les mains attachés aux pieds de la table, Carole s’est assise sur mon visage. J’ai goûté son sexe, j’en ai bu le suc. La table était froide, son sexe chaud. J’ai lancé ma langue le plus loin possible dans son intimité. Je l’ai sentie jouir sur mon visage. Pendant ce temps Alex prenait des photos. Puis, Carole s’est levée. Elle s’est empalée sur mon sexe, me tournant le dos. Je voyais ses fesses rebondies, fermes, aller et venir sur moi. Elle a pris mes jambes, les a écartées. Alex s’est mis face à elle, puis, tout en l’embrassant, s’est mis à me pénétrer. Je me souviens que nous avons jouis ainsi, tous les trois. Mais eux ne s’occupaient pas de moi. Ils étaient enlacés, moi en elle et lui en moi. Puis je les ai servit, nu sous mon tablier. Ils m’ont fait boire… et je me suis retrouvé là !

La rousse a parlé de nombreuses personnes qui seront là pour m’observer. Qui seront-ils ? encore des gens que je ne connais pas ? Certainement. Mais je sais une chose. Je ferais tout ce qu’il me demandera, car je sais que le châtiment peut être parfois désagréable pour celui qui désobéit. Mais j’ai envie de dépasser mes limites, de faire des choses que je n’ai même pas imaginées. Je veux être un objet de plaisir.

Ca fait une bonne demi-heure maintenant que je suis seul dans cette pièce, toujours attaché au lit. J’essaie d’imaginer ce qui va m’arriver. Mais je n’en ai aucune idée. Petit à petit, le doute s’insinue en moi. Doute qui peu à peu se transforme en peur. La porte s’ouvre enfin. Un homme entre, nu lui aussi. Non, pas complètement nu, il porte un collier auquel est attachée une corde. Cette corde, elle est tenue par la rousse de tout à l’heure. Dans l’autre main, elle tient ce qu’on pourrait appeler une

cravache. Ils s’avancent tous les deux vers moi. Ils m’observent. La femme s’adresse à moi.

– On va voir si tu sauras t’en sortir aujourd’hui… Toi Détache-lui les mains et mets-toi en position.

L’homme s’approche de moi. Il détache ma main gauche, fait le tour du lit et libère la droite. Il m’aide à m’asseoir sur le lit, les jambes toujours écartées. Puis, sans un mot, il monte sur le lit, debout, et présente son sexe à ma bouche. Je regarde la femme, hésitant. Sans prévenir, elle me donne un coup de cravache. Je n’ose pas crier de peur d’en recevoir d’autres.

– Allez !!! Tu crois être là pour te reposer ? Suce-le !

Doucement, je prends son sexe dans ma bouche. Je le suce, le lèche. Ma langue cours sur sa queue. Je prends ses couilles dans ma bouche pendant que je le branle lentement de la main gauche. Nous sommes observés par la femme rousse qui fait des commentaires sur ma façon de faire. Au bout de quelques instants, la brune, Sylvie, entre, au bras d’un homme. Tous les trois me regardent sucer cet inconnu. Je fais de mon mieux pour leur plaire. Cet homme, debout devant moi n’est là que pour le spectacle. Nous ne sommes pas là pour notre plaisir, mais pou
r le Leur. Même si lui ne tarde pas à jouir. Il se retire et joui sur mon visage. Je sens sa semence chaude couler sur ma joue, dans mon cou et sur mon corps. Au bout de quelques secondes, Sylvie prends la parole et s’adresse à celui qui vient de jouir sur moi.

– Bien, maintenant mets-lui ce collier et cette laisse.

Il s’exécute et m’attache une laisse, puis se retire. Je suis maintenant seul avec ces deux femmes et cet homme. Toujours attaché par les pieds, du sperme partout sur le corps et le visage. Je me rends compte de ma position. Je ne sais vraiment pas ou me mettre, d’autant que mon sexe est fièrement dressé depuis que j’ai sucé cet inconnu. Ils m’observent, sans dire un mot. L’homme sort de la pièce. Les deux femmes détachent mes pieds, un chacune. L’homme revient vite et jette sur le lit un body pour homme en latex noir et un manteau long.

– Habille-toi.

C’est la première fois que je m’habille ainsi. J’ai l’impression que ce body ne cache rien, au contraire, il en montre plus que ma nudité habituelle. Il fait ressortir mon impudeur forcée. J’aime la sensation du latex sur mon corps. Cela se voit. Ils sont conscients que j’aime ça. L’homme me tend la veste, que je mets. Il attrape ma laisse et me tire brusquement. Je le suis. Nous sortons. Dans la rue. Les gens m’observent, ils ne doivent pas souvent voir un homme ainsi tiré par une autre, au bout d’une laisse. J’ai honte. Il me jette à l’arrière d’une voiture, prends le volant. Je ne connais pas notre destination.

Que va-t-il m’arriver d’autre ? Jusqu’où va aller ma soumission ? Quelle vont être les limites de ce qui va m’arriver ? Je me doute que ce qui m’est arrivé n’est rien en comparaison de ce qui m’attendent. Sur ces questions, l’homme dit quelque chose qui augmente un peu plus mon désarroi et ma peur.

– Tu vas voir, je suis sûr que tu vas aimer l’arène…

Chapitre XI : La Comtesse.
————-

Au bout de quelques minutes de voiture dans Paris, nous arrivons. Je n’ai pas dit un mot de tout le voyage. Je n’ai pas envie de parler. Et de toute façon, on ne m’en a pas donné l’autorisation. La voiture entre dans une cour et une grande porte cochère se referme derrière nous. De nombreux véhicules de luxe sont présents dans la cour. L’homme coupe le moteur. J’attends. Deux femmes discutent non loin de la voiture. Elles ne semblent pas nous avoir remarqués. L’homme descend, leur parle quelques instants. Il revient vers moi, j’aperçois un sourire non dissimulé sur le visage des deux femmes. Il ouvre la porte et attrape ma laisse.

– Pose ta veste et Descend !

Obéissant aux ordres, je ne me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture, les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux féminins posés sur moi, il s’adresse à elles.

– Je vous présente Julien, mais évidemment, ici, il portera le nom qui vous plaira.
– Bonjour.
– Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
– Nous te trouverons un nom plus tard, pour l’instant Jean Paul
va te présenter à la Comtesse.

Celui dont je viens d’entendre le nom pour la première fois tire sur ma laisse et m’entraîne à l’intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus, je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m’attend. Que peut donc bien être cette arène ? Je sais un chose, c’est que j’ai envie que l’on m’utilise… et j’ai le pressentiment que je vais être exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une grande pièce qui n’est visiblement que le hall d’une grande maison de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main. Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d’une réception donné par et pour le “Tout Paris”. Tous m’observent, me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux. J’ai l’impression que les femmes présentes ici ont été sélectionnées grâc e à leur beauté. Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception en costume.

Alors que je suis debout, au milieu de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s’approche de moi. La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.

– J’aime cette matière. Dit-elle. Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte sont multipliées.

En disant cela, sa main s’aventure plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes. L’homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant. Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex. Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n’ose pas bouger. Il est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe avec un plateau de petits fours. Le couple m’abandonne pour se
servir puis se dirige vers l’escalier, comme tout le monde. C’est à ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle il m’a abondonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif en or. Ses avant-bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus sa féminité.

Jean se rend compte tout de suite de l’état dans lequel m’a laissé le couple.

– Mmmmhhhh … Comtesse, regardez-moi ça …. notre petit ami est pris d’une érection. Cela doit être dû à votre beauté.

Agissant en maîtresse de maison, et en maîtresse tout court, elle s’adresse à Jean Paul.

– Laissez moi régler cela je vous prie.
– Bien sûr.

Sans rien dire, elle me regarde quelques secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à coup, sans que je m’y attende, une gifle s’abat sur mon visage.

– Qui t’a ordonné de bander ?

Après une seconde gifle, elle ordonne.

– Réponds !
– Personne.

Une troisième gifle.

– Personne Comtesse ! Et si tu reste ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
– Bien Comtesse.

Sur ces mots, sa main se dirige vers mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d’entrée d’une grande demeure parisienne. Un tas de gens m’observent et je leur montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c’est possible.

– A genoux !
– Bien Comtesse.
– Branle-toi.

Lentement, ma main se dirige vers mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation, je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens se sont arrêté dans les escaliers, font même demi-tour pour apprécier le spectacle que je leur offre. J’entends des murmures, je distingue même quelques mains qui s’aventurent sous quelques robes.

– Tu ne jouiras que quan
d je te l’ordonnerai. Ici, c’est moi qui commande.
– Oui Comtesse.
– Regardez le bien, mes chers amis. C’est lui que vous allez retrouver dans l’arène aujourd’hui. J’espère qu’il vous plaira. Jean Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m’en a dit beaucoup de bien.

Elle tourne autour de moi, je suis humilié. Je ne suis plus qu’un objet, un robot. On ordonne et je m’exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue. Alors qu’elle pose un doigt sur mon épaule et qu’elle le fait courir lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.

– Maintenant, tu vas jouir pour moi. Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que ce que l’on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n’oseras jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à tous à un point extrême, et c’est toi qui seras l’objet de ce plaisir. L’arène est ce qui va t’arriver de pire, mais aussi de meilleur. Tu vas perdre toute notion de temps, de dignité, de fierté et de pudeur. Mais tu vas découvrir ce qu’est le vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche-toi…

Ne pouvant me retenir plus longtemps, et surtout parce qu’elle me l’a demandé, je jouis, sans un mot. Je n’ose pas faire le moindre bruit. C’est tout juste si ma respiration s’est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main, de petites tâches se sont formées sur le sol.

– Lèche !

Lentement, je porte ma main à ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi-même, je ne suis que celui que l’on me demande d’être. A partir de maintenant, mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse…

– C’est bien, lève toi m’ordonne t-elle.

Alors que je
m’exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul. Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit spectacle improvisé retournent dans les escaliers pour se diriger au premier étage.

– Jean Paul, vous pouvez l’amener dans l’arène maintenant.
– Bien sûr Comtesse, avec plaisir.

Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons vers une porte qui se trouve sous l’escalier. Jean Paul tends la main et ouvre la porte…

Chapitre XII : L’arène.
————–

Derrière la porte se trouve un petit couloir, long de deux mètres tout au plus se terminant par une autre porte. Sur le coté gauche se trouve un crochet auquel Jean Paul attache ma laisse, après m’avoir détaché. Il me pousse devant lui, ouvre la seconde porte et me voilà dans ce qu’Ils appellent l’arène. C’est une pièce ronde, assez grande, elle doit faire une quinzaine de mètres de diamètre. Les murs sont recouverts de glaces qui doivent faire chacune deux mètres de large. Dans n’importe quel sens que
je regard e, je vois mon image sur les murs. Il y a dans cette arène une lumière plutôt faible. Au-dessus des glaces, à environ deux mètres du sol, de nombreux rideaux font le tour de la pièce. Au centre de la pièce se trouvent deux anneaux fixés au sol à environ cinquante centimètres d’intervalle. Jean Paul me guide jusqu’entre ces deux anneaux, puis se retourne et me laisse seul, sans me dire un mot. Il repart par la porte que nous avons empruntés pour entrer. Lorsqu’il la referme, je m’aperçois qu’il n’y a pas de

poignée de ce côté de la porte, donc aucun moyen de sortir d’ici.

J’entends des voix, nombreuses, des rires aussi. Tout à coup, les rideaux se trouvant au-dessus des glaces se lèvent, mais très lentement. Les voix se taisent. J’ai les yeux baissés, mais je sais que les rideaux ont libéré la vue de tous les gens que j’ai vu plus tôt dans le hall. Tous les yeux sont posés sur moi. Je lève lentement la tête pour apercevoir qu’il y a trois rangées de spectateurs. Un spot s’allume, je me retrouve au centre d’un cercle de lumière. Comme un artiste arrivant sur scène, j’ai le trac. Mais à la différence d’un artiste, je ne sais pas en quoi va consister le spectacle, même si je ne doute pas d’en être l’acteur.

– Tournes-toi !

Cette voix, je la connais. C’est la voix de la Comtesse. Je me tourne et la cherche du regard, mais je suis ébloui par la lumière. Je suis face à la voix maintenant, mais je ne fais que distinguer la forme sensuelle autant qu’autoritaire de la Comtesse. Je suis dos à la porte par laquelle je suis entré.

– A genoux !

Alors que je m’exécute, j’entends la porte s’ouvrir derrière moi. Alors que je commence à tourner la tête pour voir qui entre dans l’arène, la Comtesse m’apostrophe :

– Qui t’a ordonné de tourner la tête ? Personne ! Tu ne bougeras que quand on te l’aura demandé.

Je sens des mains sur mes jambes, deux de chaque coté. On tire sur mes mollets pour les écarter de sorte qu’ils soient collés aux deux anneaux fixés au sol. Puis mes genoux sont fixés aux anneaux. J’ai les jambes écartées, je ne peux plus les refermer. Tous les regards sont posés sur moi. J’entends quelques murmures d’admiration, mais je n’ai pas la tête à remercier toutes ces personnes qui m’observent. On m’a souvent dit que j’étais mignon, mais ici, j’ai trop peur de ce qui va m’arriver pour y penser. Tout au fond de moi, je sais qu’il ne me sera fait aucun mal irréversible. Mais je ne peux m’empêcher de penser que tout peut basculer d’un moment à l’autre. Mes mains sont attachées dans mon dos à l’aide de menottes en cuir. Les liens sont solides et très serrés. Je n’ai aucun espoir de pouvoir me libérer. Des menottes en cuir sont aussi fixées à mes chevilles auxquelles sont reliées les menottes que je porte aux poignets. De cette manière, je suis obligé de me tenir droit, je ne peux pas me pencher en avant. Pour terminer, une cagoule en latex m’est passée sur la tête. Un seul orifice placé au niveau de la bouche me permet de respirer. Je suis dans l’obscurité maintenant. Les bruits se font sourds à travers la cagoule, mais je distingue tout de même la voix de la Comtesse lorsque les deux personnes se retirent.

– Te voilà prêt maintenant. Il me faut aussi te trouver un nom. Attends que je réfléchisse… Oh, et puis non, tu m’as l’air tellement bien dans ta fonction d’esclave que tu n’as pas besoin de nom. Nous t’appellerons donc Esclave, tout simplement. Mais en tant qu’esclave, tu n’auras pas droit à la faiblesse. Tu devras obéir sans limites aux ordres qui te seront donnés. Il faut que tu sache que tout ce qui va t’arriver ici sera filmé, et chaque participant aura droit bien entendu à une copie de tes exploits.

Je suis dans le noir le plus total, de plus en plus affolé. J’aimerai fuir, mais je suis attaché. J’entends un murmure dans le public. Je sens des présences près de moi, nombreuses. Une main de femme me caresse à travers le body et une voix me murmure à l’oreille.

– Je suis ici pour te diriger. Tu es là pour donner. Et tu vas te donner ! To
n corps et ton esprit ne t’appartiennent plus. Si tu ne m’obéis pas, j’aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule aperçu.

Sur ce, je sens les lanières de ce qui est sans conteste un fouet. Elles glissent lentement sur mes épaules. Puis je sens un coup de fouet sur mes bras tendus, un autre sur les mollets au sol, ensuite sur les cuisses et pour finir sur le ventre. J’ai eu mal, mais cela reste supportable. J’essaie donc de bouger le moins possible, pour ne pas subir le fouet un peu plus.

– Tiens-toi droit !

Je tire sur mes bras pour me redresser le plus possible. Mes chevilles sont légèrement décollées du sol. Je sens deux jambes féminines qui se collent à mon corps, devant moi.

– Lèche, et appliques toi.

C’est avec plaisir que je me rends compte que le sexe que l’on me présente est épilé, complètement. Ma langue s’aventure dans les plis de cette chatte qui m’est offerte. Le femme lève une jambe pour laisser un peu plus de place à ma langue. Je m’insinue dans ce corps inconnu. je lèche ce clitoris, l’aspire, le prends délicatement entre mes dents. Je l’embrasse puis lance ma langue profondément à l’intérieur. Des doigts aident ma langue, mais je ne sais pas s’ils sont ceux de la propriétaire de cette chatte délicieuse ou ceux d’une autre inconnue. Je sens son plaisir me couler dans la gorge. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens les contractions typiques de l’orgasme agiter ce doux vagin. J’entends les cris de bonheur de celle que je suis en train de faire jouir. Je ne cesse pas pour autant de lécher le clito. Puis elle se retire. Mon sexe s’est dressé au travers de mon body depuis un moment déjà.

– C’est bien. Elle a bien joui. Passons à la suite. J’ai dans la main un scalpel, et je te conseille de ne surtout pas bouger.

Sur ces mots, je sens la lame sur mon épaule gauche. Lentement, elle découpe le haut de mon body. Je tremble, j’ai peur, je ne vois pas ce que l’on me fait. La bretelle gauche cède. Puis la droite, alors qu’une fine coupure fait couler une petite goutte de sang sur mon épaule. Le body ne tient plus que par les hanches. Mes pectoraux imberbes sont maintenant à la vue de tous.

– Tu as bougé, tant pis pour toi… La prochaine fois, le scalpel ira peut être un peu plus profond si tu ne fais pas attention.

Une autre paire de jambe se colle à mon ventre. La main qui quelques secondes plus tôt tenait le scalpel me fourre un sexe masculin dans la bouche. Je suis obligé maintenant de sucer cet homme que je ne connais pas. Alors que je le prends dans ma bouche, je sens un liquide chaud jaillir sur mon torse. Un autre homme, qui se branlait près de moi, vient de jouir. Une main étale le sperme. Je suce cette bite du mieux que je peux. De temps en temps, un homme joui sur moi. J’ai le corps, le visage et le dos recouvert de sperme. L’homme ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je sens un filet de sperme couler au coin de ma lèvre pendant que je continue de lécher le gland lentement.

– Je vois que tout cela te fait bander très fort, mais ne compte pas jouir. Ici, c’est le plaisir des autres que tu dois servir. Et cela ne fait que commencer…

Chapitre XIII : Film.
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Cela dure ainsi un long moment, certainement plus d’une heure, voire même deux ou trois. J’ai complètement perdu la notion du temps. Chaque queue qui joui dans ma bouche est remplacée par une chatte, et vice-versa. Je ne croyais pas pouvoir un jour atteindre un tel niveau d’avidité. J’ai peut être donné du plaisir à une vingtaine de personne, sans compter ceux et celles qui se sont masturbés autour de moi, et sur moi aussi. Mais certains d’entre eux ont du utiliser les services de ma bouche en plusieurs fois. Et pendant tout ce temps, la voix qui me parle à l’oreille n’a pas arrêté de me parler, peut être pour me donner du courage, mais certainement aussi pour me montrer à quel point je suis devenu esclave de mes désirs et de leurs plaisirs à eux.

Enfin, tout cela s’arrête. Ma cagoule m’est retirée. Le spectacle qui s’offre à moi est étrange. Je peux me voir dans tous les miroirs autour de moi. Et je découvre enfin la personne qui m’a parlé depuis tout à l’heure. A mon grand bonheur, il s’agit de Carole. Je n’avais plus espoir de la voir ici. Je me doute qu’Alex est dans les tribunes. Peut-être a-t-il joui sur moi ou dans ma bouche tout à l’heure. Je ne le vois pas. Je penche la tête et observe tout ce sperme sur moi. Certaines coulées sont complètement sèche alors que d’autres sont encore tièdes. Carole se met face à moi et m’embrasse rapidement.

– Je vais finir de t’enlever ce body pour que tu puisses te laver correctement.

Elle attrape le scalpel et délicatement termine de le découper sur les côtés. Elle à apparemment l’habitude de manier cet outil… Je m’en tire avec juste avec une légère égratignure. Cela me fait plaisir de voir que Carole prends soin de moi. Mon regard se lève un peu. Je regarde ces gens qui m’observent avec plus ou moins d’attention. Le spectacle est maintenant plus calme. Ils ont quasiment tous un verre à la main. Certains mangent, comme cette femme qui tient dans sa main une cuisse de poulet et la porte à sa bouche en regardant son voisin droit dans les yeux. Dans un autre endroit, cela n’aurait rien eu de particulier, mais ici, on se croirait vraiment au beau milieu d’une orgie romaine. La main de l’homme se pose sur un sein mais descend rapidement. Je ne peux plus voir cette main mais je ne doute à aucun instant de sa destination. La femme continue de manger comme si de rien n’était, un sourire animal posé sur ses lèvres.

Je me rends compte que je ne suis là que pour faire le spectacle. Je suis un film porno vivant. Certains vont se branler au cinéma, d’autre viennent ici. La différence est qu’ici tout le monde ose dire pourquoi il est là. Et les gens n’ont pas peur de se mélanger. La première partie de mon spectacle terminée, certains discutent entre eux comme à l’entracte, d’autres se caressent, mais tout ceci se fait dans une atmosphère étrange. J’ai effectivement l’impression d’être dans un film, je ne suis en fait qu’un acteur, l’acteur d’un rôle que je n’aurai jamais cru jouer un jour. Mais je suis un peu fier de moi, de savoir qu’ici je peux faire tout ce qui m’est interdit, ou plutôt que je m’interdis ailleurs. Alors que je sui perdu dans mes pensées, Carole ma rappelle à la dure réalité maintenant qu’elle vient de me dévêtir complètement.

– Tiens voici un gant et un bac d’eau. Lave-toi bien.

Me voilà donc en train de m’ôter tout ce sperme qui souille mon corps. Cela prends un certain temps car tout est presque sec. Mais apparemment, les gens ne font plus trop attention à moi, hormis quelques regards en coin. Je m’applique à devenir le plus propre possible, n’économisant pas le savon et frottant énergiquement. Je fais tout cela comme détaché, comme s’il m’était habituel de me laver ainsi, à l’aide d’un simple bac d’eau, devant une bonne cinquantaine de personnes. Pendant tout ce temps Carole reste dans l’arène et m’observe avec affection. Lors que j’ai fini, elle vient vers moi et m’essuie lentement. Les gestes de Carole me font du bien. Elle me parle doucement à l’oreille pour me dire que j’ai fait d’énormes progrès, que je suis parfait et que je vais voir comment un garçon tel que moi peut tomber dans la débauche la plus totale.

– Et je suis certaine que si tu savais ce qui t’attend, tu t’effondrerais sur-le-champ.
– Pourquoi, qu’est-ce qui va m’arriver ?
– Tu le sauras bientôt, mais pour l’instant, je vais te laisser, tout le monde ici, et une personne en particulier, veulent savoir comment s’est passé ton week-end.

Sur ce, Carole se retire, me laissant une fois de plus seul avec mes doutes. Qui est cette personne qui veut savoir, plus que les autres, ce qui m’est arrivé pendant le week-end. Quelles surprises me réservent encore ceux qui ont pris en main mon destin. On amène bientôt deux téléviseurs à écran géant que l’on place au centre de l’arène, sans s’occuper de moi qui suis toujours là, seul, debout dans l’attente de la suite. Lorsque les écrans sont installés de façon à ce que tous les spectateurs puissent les voir, la comtesse se lève et prend la parole.

– Esclave, tu as été parfait jusqu’ici dans l’arène. Nous allons maintenant voir quelles ont été tes aventures de ces deux derniers jours. Il faut que tu saches qu’une surprise t’attend à la fin de cette séance. Mets toi debout près des écrans, que tout le monde puisse voir quel est l’acteur de ces séquences qui ont été filmées par notre ami Alex.

C’était donc ça, tous les films pris par Alex depuis vendredi soir vont être diffusés maintenant dans l’arène. Je me vois, là, nu, debout, mon image renvoyée par les miroirs entourant l’arène, attendant de voir mes ébats diffusés devant de nombreuses personnes. Tout à coup, la lumière baisse pour plonger la salle dans le noir, comme au cinéma. Un cinéma dont je vais être l’acteur. Mais autre chose me trouble plus encore. C’est la surprise qui m’attend, et qui est cette personne dont m’a parlé Carole
tout à l’heure…

Les écrans s’allument, l’image est renvoyée partout dans les miroirs de l’arène. Je reconnais tout de suite l’endroit, le magasin où j’ai acheté mon string vendredi à midi. J’apparais bientôt sur l’image. Rien ne va donc m’être épargné, je vais revivre ici toutes mes aventures. Je reste là, comme tétanisé, me regardant descendre aux enfers. D’abord le magasin, puis chez mes Nouveaux Maîtres. Même certaines séquence dont je n’ai jamais soupçonné qu’elles aient pu être filmées, comme mon déshabillage
dans l’entrée ou le repas de vendredi soir à l’auberge. A la vue de ces images, je sens mon sexe se soulever lentement, au rythme de mes pulsations cardiaques, qui s’accélèrent de plus en plus. Lorsque la séquence, dans le bois, où j’ai prononcé le désir de me faire prendre arrive, je peux enfin compter le nombre d’hommes qui m’ont utilisé. Neuf ! J’ai été pris par neuf hommes, à la chaîne. Moi à quatre pattes, souvent un sexe dans la bouche. Par deux fois, ils sont même venus jouir dans ma bouche. La fellation que j’ai prodigué ce matin à mon réveil termine la projection. Les lumières se rallument.

Je suis là, le sexe fièrement dressé maintenant, les gens applaudissent. Ce film a certainement duré plus de deux heures, deux heures ou je n’ai pas arrêté de bander. Je ne sais pas quelle heure il peut être. J’ai perdu toute notion du temps. Mais après une courte réflexion, je me dis que lorsque je me suis réveillé, le soleil était déjà levé depuis un bon moment, il était peut-être dix heures. L’après-midi doit être bien entamé maintenant. Je n’ai rien mangé depuis hier soir.

Les téléviseurs sont sortis de la pièce. Mon sexe retrouve son état normal. C’est étrange, cette sensation de frustration, de ne pas jouir alors que je ne suis là que pour faire jouir les autres. Mais j’adore ça. La comtesse entre et vient me parler.


– Je crois que nous avons tous particulièrement apprécié ce spectacle. Toi aussi je pense. Tu as découvert de nombreuses sensations ce week-end. Tu en connaîtras d’autres avant la fin de cette journée, fais moi confiance. Mais en attendant, peut-être veux tu te reposer un peu, tu es debout depuis longtemps.

– Oui, merci, j’aimerai aller aux toilettes.

– Mais pas de problème.

J’aurai du me douter que cette proposition cachait quelque chose. J’aurai dû savoir que la Comtesse ne propose jamais aux esclaves un peu de répit. A la rigueur elle leur ordonne le répit… J’ai encore décidément beaucoup de choses à apprendre.

Chapitre XIV : Surprise.
————–

– Qu’on lui amène un pot de chambre !

– Quoi ? Ici ? Mais…

La gifle stoppe toutes mes protestations. Cela aussi j’aurai dû m’y attendre. Et j’aurai dû le savoir, on ne proteste jamais. Il va donc falloir que j’urine là, devant tout le monde. Je ne pourrai jamais le faire. Et pourtant, plus je me dis que je n’y ariverai pas, et plus l’envie de pisser est forte. Alors qu’un homme pose un pot de chambre en porcelaine à mes pieds, la Comtesse se met derrière moi et me caresse lentement les fesses.

– Allez, ne nous fait pas attendre.

– Mais, je ne peux pas…

– Détends toi, ou dois-je te donner la fessée ?

– Non Comtesse, j’essaie.

Effectivement j’essaie. Je me dis que de toute façon, les gens présents dans cette arène ont tous assisté à mes ébats de tout à l’heure ainsi qu’à la projection du film. Et comme je n’ai pas uriné depuis que je me suis levé ce matin (on ne m’en a pas laissé le temps). L’envie et la plus forte et un long jet d’urine sors bientôt de mon sexe. Je n’ai jamais eu aussi honte, même pas dans la boutique hier pendant l’essayage.

– Stop !

– Pardon ?

– Arrête toi de pisser ! Tout de suite.

Il me faut faire un effort quasi surhumain pour m’arrêter. Mais au bout d’une seconde ou deux, mon jet d’urine se tarit. L’envie de pisser est encore plus forte. Quelle folie va-t-il encore m’arriver, pourquoi me faire pisser ainsi, devant tout le monde, pour ensuite me dire de m’arrête
r ? Est-ce juste pour voir si j’en suis capable ? Je ne sais pas.

La comtesse me passe un bandeau sur les yeux. Je ne vois plus rien, je suis vraiment désorienté. Au bout de quelques secondes, une main se saisie de mon sexe du bout des doigts. La voix de la Comtesse m’ordonne de recommencer de pisser. Je me lâche donc, le sexe dans cette main inconnue. Je suis tombé bien bas, une fois de plus, je me dis que je suis arrivé au bout, qu’il ne peut rien m’arriver de pire.

Et pourtant…

Tout à coup, une main me retire le bandeau que j’ai sur les yeux.

Mon cœur s’arrête à la seconde ou je découvre le visage de la personne qui me tient le sexe. Je n’arrive pas à y croire. Ma vie est terminée, je ne pourrais plus me regarder en face. Cette personne n’est autre que Soraya, ma copine, l’amour de ma vie. Elle me regarde en silence. Une larme coule lentement du coin de son œil droit. Je ne sais pas quoi dire. Ma tête explose de question. Comment a-t-elle su que j’étais ici ? Comment vais- je lui expliquer ? Va-t-elle toujours vouloir de moi après ça ? Et pourquoi n’a-t-elle rien fait pour arrêter tout cela ? N’est-elle pas partie pour le week-end ?

Alors que je tente de bredouiller son nom, elle murmure un “chut” amoureux et m’embrasse. Je tremble. Mon envie de pisser s’est évidemment arrêtée. Elle me regarde comme si c’était la première fois qu’elle me voyait, et aussi la dernière. Elle me découvre. J’ai peur, je suis persuadé qu’elle ne va plus vouloir de moi.

– Je t’aime Julien.
– M… M… Moi aussi Soraya.

Voilà tout ce que je trouve à dire, “Moi aussi”. C’est d’une platitude inégalable en un instant pareil.

– Je ne croyais pas que tu sois capable de tout ça.
– Mais…
– Tais toi. Tu voulais connaître la soumission. Tu connais.
– Comment as-tu appris ?

La discussion a duré ainsi quelques minutes, pendant lesquelles elle n’a pas lâché mon sexe. Elle m’a tout raconté. Comment elle avait réagit la seule et unique fois ou je lui ai parlé de mes désirs de soumissions. Comment à force de réflexion, elle s’est rendu compte que c’était aussi ce qu’elle désirait. Comme je discute souvent sur Internet, elle s’est arrangée pour entrer en contact avec des gens qui pourraient me donner un premier aperçu de la soumission. Son choix s’est porté sur Carole et Alex. Elle leur a parlé de moi et ils se sont arrangés entre eux pour que je crois notre rencontre sur ce forum due au hasard. Et vendredi soir, c’est avec Soraya qu’Alex discutait sur le forum Internet.

Et moi qui était certain avoir tout choisi. J’étais persuadé de les avoir sélectionné. Mais non. Et a bien y réfléchir, ils sont les seuls que je n’avais pas rencontrés sur un forum dédié au BDSM. Ils ont su faire venir la discussion là où ils voulaient qu’elle aille. Depuis le début je n’ai fait que suivre les désirs de Soraya. C’est tout elle ça ! Tout ou rien ! Faire de Julien un objet sexuel ? Qu’à cela ne tienne ! Un week-end chez Carole et Alex (qu’elle a rencontré de nombreuses fois) est la meilleure des façons de commencer.

C’est ce moment là que choisit la Comtesse pour intervenir.

– Julien, je pense que tu devrais t’agenouiller devant ta nouvelle maîtresse.
– Oui, mets toi à genoux devant moi.

Sans hésitation aucune, je m’agenouille et baisse la tête.

– Définitivement, j’aime te voir ainsi Julien. Le corps entièrement rasé est une chose que j’apprécie particulièrement. Il faudra que tu veilles à rester parfaitement imberbe dorénavant. Et je suis persuadé que Carole et Alex n’apprécieraient pas de te voir autrement

– Qu … Quoi ?

– Mais oui. Nous allons certainement les revoir souvent. Ce qu’ils ont fait de toi ce week-end m’a énormément plu. A partir d’aujourd’hui, tu seras mon plaisir, mais aussi le leur.

– …. Bien ….

– De toute façon tu n’as pas le choix, à compter de maintenant tu n’as plus aucun pouvoir sur moi. Je vais vivre comme je l’entends. Toi aussi d’ailleurs… tu vivras comme je l’entends !


– Je ferais ce que tu voudras, je t’aime.

– Heureuse de te l’entendre dire.

Après quelques secondes ou son regard a été plongé dans le mien, elle s’assoit sur une chaise, amenée là comme par hasard au bon moment. J’ai honte, je suis là, aux pieds de celle que j’aime, et elle sait maintenant tout de ce que je croyais lui cacher. Pour me montrer que je suis devenu pour elle un objet de plaisir, elle saisit ma tête et la porte entre ses jambes après avoir relevé sa jupe.

– Lèche-moi, et Fais-moi jouir !

Fin

Doggy Slave: Qui suis je ?

Doggy Slave: Qui suis je ?